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sénat

Lettre ouverte aux Sénatrices, Sénateurs, Députées et Députés des Français établis hors de France

29 novembre 2024

La CFDT-MAE vous propose de prendre connaissance du courrier transmis par Nicolas Nouelle, élu CFDT à Dublin et Conseiller des Français d’Irlande, mercredi dernier, à tous les parlementaires représentant les Français de l’étranger, pour les convaincre de rejeter l’amendement du sénateur Vincent Delahaye, en commission mixte paritaire.

De nombreux soutiens exprimés par divers canaux

En retour, de très nombreux sénatrices, sénateurs et député(e)s, de tous bords y compris ceux du groupe Ensemble pour la République ou apparentés (Vincent Caure et Stéphane Vojetta notamment), ont exprimé un avis défavorable sur la fiscalisation des IRE et nous pouvons citer, parmi les soutiens les plus actifs et les plus appuyés, la sénatrice Hélène Conway-Mouret et le sénateur Yan Chantrel (groupe Socialiste, Écologiste et Républicain), les sénatrices Mathilde Ollivier et Mélanie Vogel (groupe Écologiste – Solidarité et Territoires) et le député Karim Ben Cheikh, diplomate en disponibilité (groupe Écologiste et Social) ainsi que la sénatrice Olivia Richard et le sénateur Olivier Cadic (groupe Union Centriste) – le même groupe que celui du sénateur Delahaye – et la sénatrice Sophie Briante-Guillemont (groupe du Rassemblement Démocratique et Social Européen).

* * *

Lettre ouverte :

Comme vous le savez, un amendement au projet de loi de finances (PLF) 2025 proposant l’imposition des indemnités de résidence à l’étranger des agents du ministère des affaires étrangères a été voté hier au Sénat.

En tant que Conseiller des Français de l’étranger, mais également agent de l’Ambassade de France à Dublin et représentant du personnel, je connais particulièrement bien cette problématique, tout comme vous, élues et élus des Français de l’étranger. 

Comme chacun le sait, les motivations ayant abouti à l’adoption de cet amendement ne sont pas justes. Et le débat sur l’imposition des indemnités de résidence des agents expatriés des ministères repose sur des considérations erronées. 

C’est la raison pour laquelle, je souhaiterais souligner plusieurs éléments qu’il semble important de rappeler :

Tout d’abord, il n’existe que très peu d’agents logés, et encore moins nourris et blanchis, l’immense majorité des agents devant se débrouiller par eux-mêmes pour assurer leurs conditions d’existence à l’étranger. 

Ensuite, les indemnités de résidence (IRE) viennent compenser les coûts de la vie à l’étranger, permettent d’équilibrer les différences de pouvoir d’achat, et quelques fois de manière très partielle.

Les IRE servent également à garantir des conditions de vie adéquates, en tenant compte des variations des coûts d’alimentation, de logement, de sécurité, d’achat de billets d’avion pour rentrer en France ou d’accès aux services de base (scolarité, santé notamment).

Enfin, travailler dans des ambassades ou consulats implique des sacrifices personnels et familiaux, tels que l’éloignement, l’abandon de carrière des conjoints, l’instabilité géographique et parfois des conditions de vie difficiles (pollution, risques sanitaires, sécurité…) Si les indemnités étaient imposées, cela rendrait les postes à l’étranger beaucoup moins attractifs et dissuaderait des talents qualifiés de partir à l’étranger.

Il est à souligner que cette exonération est également prévue dans les contrats d’expatriation de droit privé, et la France n’est pas une exception, de nombreux pays accordant le bénéfice d’une exonération des indemnités de résidence afin de préserver l’équité et encourager la mobilité internationale.

L’économie de 100-150 millions présentées est inexacte car si ces indemnités devenaient imposables, l’État serait contraint d’augmenter leur montant brut pour maintenir le niveau de vie des agents, ce qui alourdirait paradoxalement les dépenses publiques. Cela aboutirait à un transfert d’argent inefficace entre deux enveloppes budgétaires de l’État.

Pour terminer, est-il nécessaire de rappeler que les agents du ministère de l’Europe et des Affaires étrangères et les agents des autres ministères concernés, ne sont pas de simples expatriés, mais des représentants de l’État français à l’international ? Leur statut et leurs conditions doivent être adaptés aux exigences de cette fonction, y compris la neutralité fiscale sur certaines indemnités nécessaires à l’exercice de leur mission.

Pour toutes ces raisons, je compte sur vous pour peser de tout votre poids politique afin de faire échec à cet amendement en commission mixte paritaire, à la fois dans l’intérêt du service public de la France à l’étranger mais aussi de celui de ses acteurs : les femmes et les hommes, agents de l’État au service de la France à l’étranger.

Respectueusement vôtre,

Thèmes : Assemblée des Français de l'étranger, Conditions d'expatriation, élus, Expatriation, expatriation familiale, Fiscalité, imposition, impôt, Indemnité de résidence, IRE, Rémunération, salaire, sénat, Travail à l'étranger

La CFDT-MAE rencontre les sénateurs chargés du contrôle budgétaire du MEAE – 19 mars 2019

21 mars 2019

La CFDT-MAE a répondu présente le 19 mars à 16 h 00 à l’invitation des sénateurs Vincent Delahaye, vice-président du Sénat, et Rémi Féraud, tous deux rapporteurs spéciaux des crédits de la mission « Action extérieure de l’État » au sein de la commission des finances.

Les deux rapporteurs souhaitaient recueillir les observations de la CFDT-MAE sur les évolutions budgétaires au sein du Ministère, notamment sur la réforme des réseaux de l’État à l’étranger et la mutualisation des fonctions supports dans le cadre d’un contrôle budgétaire portant sur la masse salariale du ministère de l’Europe et des affaires étrangères.

Une réforme incohérente, peu novatrice et avant tout comptable

Comme elle l’avait fait une semaine plus tôt lors d’une audition à l’assemblée des Français de l’étranger, la délégation cédétiste du MEAE, composée de Thierry Franquin, secrétaire général, et de Patrick Ratsito, permanent parisien, a tenu à rappeler les nombreuses incohérences de la réforme actuelle des réseaux de l’Etat à l’étranger et notre refus catégorique de réduction de -10% de la masse salariale à l’étranger, d’ici 2022.

La mise en œuvre purement comptable de cette réforme, sans aucune réflexion en amont sur le périmètre de nos missions à l’étranger n’est certainement pas la bonne méthode pour la CFDT-MAE et place, de facto, le plan “Action Publique 2022” dans la lignée des exercices similaires que furent la RGPP (I et II) et la MAP. Quant à la mutualisation des fonctions « support » – déjà, par ailleurs, très largement engagée au sein du réseau – elle est au cœur de ce jeu de dupes que dénonce notre organisation syndicale.

Des échanges francs et cordiaux avec les sénateurs

La CFDT-MAE, en format bilatéral dans un 1er temps puis rejointe par l’ASAM en cours de rencontre, a pu, tout au long d’échanges francs et cordiaux avec les sénateurs, centrer le débat sur la faiblesse des équipes à l’étranger, la baisse virtigineuse des effectifs du MEAE depuis 2006 (-20%) et, au-delà, depuis 30 ans (-50%), les fausses promesses anticipées du « Consulat numérique », les exemples peu concluants des postes de présence diplomatique (PPD) et des consulats dits « d’influence », la présentation en trompe-l’œil du budget 2019 du MEAE, la défense des indemnités de résidence à l’étranger (IRE) et la faiblesse de certaines IRE, notamment en Europe pour les agents de catégorie C, les projets de régionalisation de certaines activités consulaires et le rapatriement à Nantes de l’état civil consulaire en Europe. Enfin, dans ce contexte de diminution sans fin des moyens et des ressources humaines du Département, la CFDT-MAE a souligné l’extrême dévouement et le très fort engagement professionnel et personnel des agents de ce Ministère sans qui l’action extérieure de la France ne serait pas ce qu’elle est.

Aux termes de la loi organique du 1er août 2001 (art. 57) relative aux lois de finances (LOLF), la commission des finances du Sénat suit et contrôle l’exécution des lois de finances et procède à l’évaluation de toute question relative aux finances publiques. Pour l’accomplissement de cette mission, le président, le rapporteur général et les rapporteurs spéciaux disposent de pouvoirs d’investigation étendus : le contrôle sur les lieux de l’organisme contrôlé (contrôle sur place), le droit d’obtenir communication de tous documents (contrôle sur pièces) et le pouvoir d’entendre toute personne dont ils jugent l’audition nécessaire.

Thèmes : Action extérieure de l'Etat, Action publique 2022, Assemblée des Français de l'étranger, audition, Budget 2019, Conditions d'expatriation, IRE, MAP, Masse Salariale, Patrick Ratsito, PPD, Réforme, réforme des réseaux de l’État à l’étranger, Rémi Féraud, RGPP, sénat, Thierry Franquin, Vincent Delahaye

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Marylise Léon présente la CFDT

https://youtu.be/mLU9Wqmyico

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Revalorisation des formatrices et formateurs du SCEC

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