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Ils ont été représentants CFDT dans des postes… pourquoi pas vous ?

29 août 2018

Bientôt les élections : l’occasion de renouveler le CTPE et la CCL de votre poste. Vous seriez bien candidat… mais vous ne connaissez pas bien le fonctionnement de ces « machins-là » et leur rôle essentiel dans la vie des implantations de l’Etat français à l’étranger. Vous ne savez pas trop comment ça marche, le dialogue social en poste, ni en quoi ça consiste, être représentant… Nous avons interrogé plusieurs d’entre eux qui ont tenté l’aventure lors du précédent scrutin sous les couleurs de la CFDT. Certains étaient alors, comme vous, complètement novices en la matière : ils vous racontent leur expérience.

Être à l’écoute et convaincre les collègues de s’engager !

Avec un premier constat : oui, cela prend un peu de temps d’être représentant du personnel en poste. Notamment pour préparer des réunions qui, pour le CTPE ou la CCL, ont lieu au moins deux fois l’an. Si l’on veut avoir son mot à dire et ne pas simplement entériner un ordre du jour cousu main par le SCG, il faut donc battre le rappel en amont, identifier les questions qui devront être posées, entendre les avis de ceux dont on est le porte-parole : « il faut prendre le temps de se mettre à l’écoute des collègues et de leurs problèmes, voire de leur souffrance » raconte l’un d’eux, membre d’un CTPE depuis trois ans.

Mais les représentants ne sont pas seuls en cela. Il y a souvent avec eux une équipe, dont il est important qu’elle soit à la fois soudée et représentative de tous les services concernés. Ce qui n’est pas toujours facile à mettre en place : l’une des personnes interrogées se souvient des difficultés pour « avoir une liste équilibrée entre titulaires et ADL », une autre des moments passés à « convaincre les agents de se présenter, les convaincre que c’est dans leur intérêt de le faire… et dans leur intérêt d’aller voter ! ». Des moments pris sur un agenda souvent déjà chargé : « on ne peut pas forcément y consacrer tout le temps qu’on voudrait, on a aussi notre travail à faire »…

Est-ce difficile ?

Être représentant, est-ce vraiment difficile ?« Ce n’est pas le mot idoine, dit l’un d’eux, c’est un travail enrichissant, qui permet d’établir des ponts avec l’administration, et c’est aussi un challenge ! ». Une élue CFDT depuis 2009 se demande même « pourquoi, en France, être représentant du personnel est perçu comme quelque chose de négatif, alors que c’est une expérience intéressante ! ».

Mais tous n’ont pas le même enthousiasme. Pour l’un d’eux, au contraire, « ce n’est pas difficile, c’est simplement très inconfortable. Le conseil donne un avis et ne prend pas de décision, comme pour toute chose dans une ambassade, puisque c’est le chef de poste qui prend toutes les décisions. On se demande par moment pourquoi on se réunit puisque le conseil n’influence jamais les décisions de l’ambassadeur… un ambassadeur qui réunit le CTPE parce que cela lui est imposé par Paris… » Aïe, la vie n’est donc pas toujours rose dans le royaume merveilleux du dialogue social en poste. Ce que résume l’une de nos représentantes, qui qualifie une première expérience en CTPE et CCL de « très difficile » : « pas évident de défendre l’indéfendable ! »

« C’est difficile surtout », tranche un autre, « si les revendications n’aboutissent pas : le personnel est mécontent et crie à l’inaction du représentant ». Secrétaire d’une section CFDT, il précise aussi que le dialogue avec l’administration se complique « quand il s’agit de revendications d’ordre pécuniaire », ou que l’on discute « d’avantages non prévus dans le code du travail local ».

Une caisse de résonance…

Car tous s’accordent sur un point : le représentant est un « tampon entre les représentants de l’administration et les agents », ou plutôt une « caisse de résonance »… Un rôle qui peut avoir des conséquences diverses : l’un a le sentiment « d’être plus respecté », une autre l’impression d’être devenue « le vilain petit canard !». Car ceux que l’on défend ne sont pas toujours reconnaissants : « Les collègues ne voient pas bien l’intérêt des messages que vous leur envoyez pour les interroger, pour rendre compte… ». Ou bien ils ne comprennent pas votre hiérarchie des priorités : « au moment de préparer les ordres du jour des réunions, chacun trouve sa question prioritaire et aimerait avoir une réponse immédiatement ».

« On essaie d’être un interlocuteur légitime » dit l’un, et ce n’est pas toujours facile répond l’autre : « certaines questions sont complexes et prennent nécessairement du temps, mais les agents n’en sont pas forcément conscients ». Sans compter qu’en face, le représentant de l’administration, lui, n’est pas toujours rompu à la pratique du dialogue social. On peut avoir affaire tour à tour avec un « ambassadeur qui ne supporte pas les avis contraires », et avec un premier conseiller « ouvert au dialogue et capable de prendre en compte l’histoire du poste et les opinions des uns ou des autres ». Devinez celui qui laisse le souvenir le plus cuisant…

Malgré les difficultés, la satisfaction d’agir et de prendre l’initiative…

Ils ont tous eu des moments de découragement, nos représentants : « quand nous n’avons pas pu éviter le licenciement d’un collègue », quand l’ambassadeur « a fait mine de ne pas être au courant » d’une situation de harcèlement qu’il connaissait pourtant, ou quand on s’entend dire « que de toute façon, ces commissions ne servent à rien ». Pourtant, la plupart d’entre eux persistent et signent : prêts à poursuivre l’expérience, ils se représentent aux prochaines élections. Malgré les difficultés qu’ils rencontrent, trouveraient-ils aussi quelques satisfactions ?

« La satisfaction d’agir », précise l’un d’eux, élu dans les deux derniers postes où il a été affecté : « au lieu de rester les bras ballants face à ce qui ne va pas, on peut prendre l’initiative et tenter de faire bouger les lignes ». On n’est d’ailleurs pas seul à batailler : le syndicat est là pour épauler les représentants, les informer, les conseiller, les soutenir. Il ne faut pas hésiter à l’interroger en cas de doute : ses permanents peuvent avoir l’idée qui vous permettra de sortir de l’impasse, ou le contact qui débloquera une situation. La CFDT-MAE organise aussi des missions à l’étranger qui sont l’occasion d’apporter sur le terrain son expertise ou de former ses élus.

…Et de faire avancer les choses !

Et puis il y a, par-dessus tout, la satisfaction des victoires que l’on remporte. Car n’en déplaise aux désabusés de naissance, on ne se démène pas pour rien : « une augmentation générale de la grille des salaires du poste », « la validation d’un nouveau système de congés », « l’obtention d’une autre semaine de congés payés »… « Chaque petite avancée donne motif à se réjouir ». « On vit de bons moments et parfois des moments difficiles ; on donne de son temps, de son énergie, mais au bout du compte, on s’enrichit au contact des autres », conclut une représentante qui sera candidate CFDT, cette année encore, lors du scrutin de décembre prochain. Parce qu’elle en est consciente : le dialogue social en poste, « en définitive, c’est une grande chance… ». Une chance de se faire entendre, une chance de changer les choses… une chance à saisir.

Thèmes : agents de l'état, CCL, CTPE, DSP, Elections

CTM des 24 et 25 mai 2018 – Informatique et réseaux : une filière « sous tension »

28 août 2018

La CFDT-MAE revient sur son intervention, au comité technique ministériel de mai 2018, sur la politique de la Direction des systèmes d’information (DSI) et, de manière plus générale, sur l’évolution de la filière des systèmes d’information et de communication (SIC). Notre organisation syndicale interroge notamment l’administration sur l’externalisation, les recrutements, l’adhésion des corps au régime indemnitaire RIFSEEP, la revalorisation des salaires des contractuels, la transparence et le projet « Horizon ».

  • La DSI est parmi les directions les plus impactées par l’externalisation

La DSI est parmi les directions les plus engagées et donc l’une des plus menacées par l’externalisation. Cette dernière, qui laisse à penser qu’il serait possible de rendre des ETP sans réduire le périmètre des compétences, est un leurre.

Une perte de compétences pour un coût élevé

Dans bien des cas, nous avons des personnels au long cours qui sont employés par des sociétés prestataires de service (SSII) et le Département y perd la maîtrise des compétences qu’il possédait autrefois en interne. Ce sont des collègues qui travaillent avec nous pendant des années sur des projets parmi les plus importants comme le système des visas (RMV) et la comptabilité (COREGE). Le prix des prestations est très élevé, sans que nos collègues des sociétés prestataires soient pour autant bien payés par la société avec laquelle nous avons signé un contrat et qui les emploie. Ils se retrouvent sans perspectives de carrière, sans stabilité. L’Etat paye un prestataire pour en réalité satisfaire sa politique de réduction des effectifs.

La CFDT réaffirme son attachement au service public français

C’est ce modèle que nous refusons. La CFDT réaffirme son attachement au modèle de service public français, avec ses fonctionnaires et ses agents contractuels de droit public.

Nous constatons que nous allons à contrecourant du mouvement actuel de « ré-internalisation » des fonctions informatiques. Parce que dans un marché tendu, les informaticiens préfèrent, comme tout le monde, une situation stable, dans une équipe, avec des formations, un déroulé de carrière plutôt qu’une prestation en clientèle. Et loin de faciliter le travail de l’administration, l’externalisation transforme le dialogue social, pas toujours aisé, en relations commerciales, toujours tendues, toujours très difficiles.

 

  • La CFDT demande plus de cédéisations et des recrutements directs en CDI

Nous regrettons que l’administration attende systématiquement le tout dernier moment  pour cédéiser les collègues quand elle pourrait le faire bien avant. Et elle pourrait même recruter des personnels en CDI directement (comme cela est évoqué dans le point d’étape de la DGAFP sur la filière SIC, cité page 29 du Rapport Blarel).

  • Adhésion des corps SIC au régime indemnitaire RIFSEEP

Les discussions sont en cours quant à la possibilité du maintien des primes informatiques même si nous ne savons pas encore si toutes le seront. Le dialogue est constructif et tout laisse à penser qu’une solution satisfaisante sera trouvée rapidement. En cas de blocage, la CFDT-MAE consultera ses adhérents sur les différentes options proposées.

Nous n’oublions pas néanmoins la volonté très largement partagée parmi les agents SIC de la fusion des corps en interne avec les collègues de même catégorie de la filière généraliste du Ministère.

  • La CFDT revendique la revalorisation des salaires des CDD et des CDI

Parce que le marché de la filière SIC est tendu en France, les salaires que nous proposons aux CDD et aux CDI, en général, vont croissant. Cet accroissement de la rémunération offerte aux contractuels nouvellement recrutés va beaucoup plus vite que la revalorisation à peine perceptible des agents les plus anciens. Au point que dans un même service, sur des mêmes fonctions, les salaires peuvent varier de 2 500 à 4 000 €, d’un agent contractuel en CDI à un autre. Nous connaissons l’exemple d’un agent « ancien » qui encadre un « jeune » contractuel dont le salaire est 50% plus élevé que le sien. Cette situation injuste et insupportable appelle à une révision rapide des salaires.

  • Une transparence 2018 qui s’est mal passée pour les ASIC

La CFDT rappelle que la moitié des affectations à l’étranger des ASIC en 2018 se sont faites hors des règles proposées par la DRH pour le corps des ASIC. Autant dire que, vu par les agents, la transparence s’est mal passée.

Ce point a été plus longuement évoqué lors de notre intervention, en séance, sur le bilan du « mouvement » 2018.

  • La CFDT attend avec impatience des précisions sur le projet « Horizon »

Nous comprenons la mission de M. Etienne comme la direction d’un projet de conception puis de déploiement d’un réseau non protégé – une sorte de non-Éole à l’étranger. Tous les agents, quel que soit leur statut, en seraient pourvus, au sein du réseau diplomatique et consulaire comme au sein des Instituts français et de recherche. Les personnels accèderaient à l’ensemble des applications du Département qui deviendraient disponibles, en totalité ou partiellement, en mode Web : « France-Visas » et Crocus entre autres mais pas seulement. Plus besoin d’agents de confiance possédant le niveau de sécurité nécessaire pour administrer ce réseau, des logiciels intrusifs s’en chargeraient. Pour les sujets les plus sensibles, quelques « happy few » conserveraient leurs outils de mobilité (Itinéo, Smartéo et Dphone).

Cette perspective nous inquiète comme elle inquiète les agents de la DSI qui ne sont pas assez informés. La CFDT-MAE attend avec impatience des précisions de l’administration sur les conséquences humaines de la mise en œuvre de ce projet.

 

Thèmes : agents de l'état, agents titulaires, ASIC, CTM, DSI, Emploi, fonction publique, SESIC, Transparence

Congrès CFDT de Rennes : la fédération Interco défend les services consulaires à l’étranger – 4 juin 2018

18 juin 2018

49ème congrès CFDT à Rennes

Le congrès confédéral CFDT de Rennes a accueilli, du 4 au 8 juin 2018, 1 750 délégués représentant les différentes structures cédétistes (syndicats, fédérations, unions régionales interprofessionnelles, union des fédérations de la fonction publique, unions des cadres et des retraités) dont 250 jeunes de moins de 35 ans.

Ce fut un moment important et intense pour la CFDT, consacré aux échanges parfois critiques mais toujours constructifs, aux débats d’idées et aux votes portant sur le bilan et les orientations proposées pour les 4 prochaines années par la direction sortante. Déjà 1ère organisation syndicale du secteur privé, la CFDT ambitionne de devenir, tous secteurs confondus, la plus représentative en France après le 6 décembre 2018, date des prochaines élections professionnelles dans la fonction publique.

Forte d’une délégation de quatre membres dont une jeune militante, la CFDT-MAE s’est prononcée en faveur du rapport d’activité 2014-2018 ainsi que du projet de résolutions 2018-2022. Elle a également renouvelé sa confiance à Laurent Berger, réélu avec 94% des votes, au sein du bureau national.

Laurent Berger défend son bilan devant les 1 750 délégués présents au congrès

 

Défense d’un service consulaire de proximité

A la demande des conseillers fédéraux, dont le secrétaire général de la CFDT-MAE, la responsable de la fédération Interco et secrétaire nationale, Claire Le Calonnec, est montée à la tribune pour défendre la fonction publique et en particulier le service public de proximité.

A cette occasion, la secrétaire générale de la fédération des agents publics territoriaux et des agents publics des ministères, outre le nôtre, de l’intérieur, de la justice et des affaires sociales a rappelé, en particulier, la nécessaire proximité de l’action publique de l’Etat à l’étranger. En totale opposition avec les objectifs de réduction drastique des effectifs à l’étranger, elle a déclaré : « …Et nous venons d’apprendre le projet de lourdes suppressions d’emplois à l’étranger au ministère des Affaires étrangères. Pourtant, les 2 millions de Français qui vivent à l’étranger, et ceux encore plus nombreux qui voyagent chaque année hors de France, ont droit eux aussi à un service public de qualité, à une relation de proximité avec l’État français et notamment à la protection consulaire d’urgence. Certes, l’e-administration est en route, et c’est très bien… quand elle fonctionne, mais outre qu’elle n’est pas accessible à tous pour différentes raisons, elle ne répond pas à tout et ne remplacera jamais l’accueil et l’accompagnement indispensables, dans les situations fragiles ou complexes… ».

Intervention de Claire Le Calonnec au nom de la fédération Interco

Pour entendre l’intégralité de cette intervention rendez-vous sur notre page facebook.

 

Malgré quelques voix discordantes entendues au cours de ce congrès, celui-ci s’est conclu avec un vote à près de 88% de la résolution d’orientation générale 2018-2022 et le bilan de l’action de l’équipe sortante a été jugé positif à 83% par les délégués. Forte de la confiance renouvelée de ses adhérents, la CFDT poursuivra son action en faveur d’un syndicalisme d’intérêt général et démocratique, porteur de progrès social et d’émancipation pour tous.

 

 

 

Thèmes : agents de l'état, agents titulaires, Congrès, schéma d'emplois

Programmation 2019 des effectifs : y a-t-il un pilote dans l’avion ? –24 mai 2018 au CTM

12 juin 2018

La CFDT revient sur son intervention, au comité technique ministériel de mai dernier, sur l’exécution de la programmation des effectifs en 2018 et sur l’exercice de programmation 2019 avec, en particulier, la cible des suppressions d’emplois à atteindre pour le Département qui avait été initialement fixée à – 100 ETP par la lettre-plafond du 1er ministre.

  • Exécution du schéma d’emplois 2018

La CFDT interroge l’administration sur le bilan de la programmation 2018.

La CFDT déplore ces 100 nouveaux emplois supprimés

La CFDT déplore ces 100 nouvelles suppressions et constate que l’atteinte de cette cible par la DRH a été rendue possible par des suppressions supplémentaires d’effectifs liées à la seconde vague de PPD, la poursuite de l’exercice « grands formats » et postes à gestion simplifiée (PGS) ainsi que 14 nouvelles transformations de postes d’expatriés (1 A et 13 C) en recrutés locaux dont plus de 60% concernent des fonctions de secrétariat.

La direction des ressources humaines (DRH) répond qu’elle partage les soucis des organisations syndicales et qu’il n’est jamais facile de transformer des emplois et de supprimer des postes de travail. Elle souligne qu’elle privilégie les mises en retraite plutôt que les licenciements secs pour les recrutés locaux et qu’en 2018, il y a eu moins de transformations de C en ADL puisque les postes de travail « évidents » ont déjà été transformés. D’une manière générale, la DRH met en avant une programmation « de plus en plus difficile » à réaliser.

Exercices « grands formats » et consulats « d’influence »

La CFDT relève que ce sont les agents de catégorie C (à 40%) ainsi que les ADL (à 33%) qui auront le plus été touchés par les suppressions dans le cadre de l’exercice « grands formats » ou « grands postes ». Cet exercice va-t-il perdurer sachant qu’il aura contribué en 2018, selon la fiche, à près de la moitié de réduction programmée des effectifs à l’étranger ? Outre le Bénin et Madagascar, qui ont été les plus affectés par les suppressions d’emplois, la CFDT souhaiterait connaître les autres pays concernés par l’exercice « grands formats ».

Enfin, pour les consulats dits « d’influence » des nouvelles initiatives sont-elles à l’ordre du jour notamment pour 2019 ?

En ce qui concerne l’exercice « grands formats », dont la liste des pays concernés n’a pas changé, la DRH indique que celui-ci est à présent achevé et qu’à ce jour, il n’y en a pas d’autres de prévu. Pour les postes à gestion simplifiée, elle rappelle que cet exercice s’étale sur plusieurs années et qu’un effort, à ce titre, sera demandé en 2019 mais qu’il ne s’agit pas d’une mesure nouvelle.

Transformations d’emploi de VI en SESIC

La CFDT note également, avec intérêt, deux transformations de postes de VI en postes de SESIC, à Beyrouth et Abidjan : s’agit-il d’une mesure ponctuelle ou bien d’une volonté assumée de transformation d’emplois dans la filière SIC ?

La DRH explique que la transformation de postes de VI en SESIC est le fruit d’un dialogue avec la DSI, le profil « volontaire international informaticien » n’étant pas facile à trouver. Elle ajoute qu’il n’est donc pas à exclure que d’autres transformations aient lieu dans le futur.

Plan de recrutement :

La CFDT constate que le plan de recrutement comporte 148 recrutements concours et sorties d’école (ENA, IRA) auxquels s’ajoutent 32 recrutements spécifiques (PACTE, militaires, travailleurs en situation de handicap) : ce plan va-t-il permettre de recruter plus d’agents titulaires C en 2018 afin de compenser la sur exécution de -50 emplois GI (titulaires et CDI à la Centrale) réalisée en 2017, due à une trentaine de départs en retraite non anticipés par la DRH ?

Enfin, on signale dans la fiche remise aux organisations syndicales que ce plan de recrutement devrait permettre la prise en compte de l’affectation d’agents titulaires sur des postes auparavant occupés par des contractuels dans le réseau culturel. De quels postes parle-t-on ? Et combien d’emplois sont-ils concernés ?

La DRH indique que la répartition entre le recrutement « spécifique » et le recrutement « classique » est fixée par elle en fonction du nombre total de recrutements à effectuer au titre d’une année.

  • Programmation 2019 et schéma d’emplois

La CFDT remarque, malgré la cible annoncée l’année dernière de – 100 ETP en 2019, qu’aucun élément de programmation n’est annoncé dans la fiche de séance. Est-ce volontaire ? Le schéma d’emploi prévu pour 2019-2022 reprend-il les – 100 ETP pour 2019 ou bien cette cible est-elle revue à la hausse ?

Quelle est la programmation des effectifs 2019, dans la mesure où la fiche CTM n’en parle pas ? Dans le prolongement du discours fait au Ministre et des objectifs assignés au Département, nous craignons que la période 2019-2021 ne soit propice à des suppressions supplémentaires d’emplois.

La direction des ressources humaines rappelle que le Département est en « pleine année budgétaire » et que des négociations avec Bercy sont en cours. Il est donc trop tôt pour avoir une visibilité autre que celle de la lettre-plafond de -100 ETP de prévu en programmation 2019.

Existe-t-il une 3ème vague de PPD de prévu ?

Notre organisation demande à connaître les grands principes qui vont guider la DRH – en liaison avec les secrétariats de programmes, les directions géographiques et l’inspection – pour atteindre cette cible ? Existe-t-il une 3ème vague de PPD de prévu ou un nouvel exercice de type « grands formats ou grands postes » est-il déjà planifié ?

La DRH confirme qu’il n’existe pas « aujourd’hui » de 3ème vague de PPD de prévu.

Transformations d’emplois et réseau consulaire

L’exercice de transformation des postes à l’étranger va-t-il être plus important que prévu en 2019 et concernera-t-il des agents C et A dans les mêmes proportions que pour l’année 2018 ? Enfin, le réseau consulaire sera-t-il le plus touché, comme en 2018, par ces transformations ?

S’agissant des transformations d’emplois, la DRH étudiera les possibilités « au cas par cas ».

Thèmes : ADL, Agent contractuel, agents de l'état, agents titulaires, ASIC, CTM, Emploi, schéma d'emplois, SESIC

La CFDT-MAE s’adresse au Ministre au comité technique ministériel – 24 mai 2018

24 mai 2018

Monsieur le Ministre,

Monsieur le Secrétaire général,

Mesdames et Messieurs les Directrices et Directeurs,

L’ensemble de votre administration, Monsieur le Ministre, compte aujourd’hui 13 500 ETP pour interagir avec le monde entier et gérer notamment plus de 2 millions de nos compatriotes établis à l’étranger ainsi que des millions de Français de passage. En comparaison, la ville de Paris avec 50 000 agents au service de ses 2,2 millions d’habitants apparaît bien dotée. Vous aviez d’ailleurs été frappé lors de votre prise de fonctions, par l’insuffisance des moyens de ce ministère.

Malgré ce constat, de nouveaux objectifs de suppressions d’emplois ont été assignés au Département, en particulier dans le réseau, sans même établir une cartographie précise, fidèle et sincère de nos missions et de nos postes à l’étranger.

Cela ne nous semble pas la bonne méthode.

On sait que les mesures qui seront annoncées après ce CTM, dans le cadre du plan « Action Publique 2022 », se traduiront par un nouveau schéma de suppressions d’emplois pour la période 2019-2022. Les objectifs de ce plan sont :

– de réduire de 10% la masse salariale à l’étranger d’ici 3 ans ;

– de diminuer de 33% les fonctions supports ;

– de réduire drastiquement le réseau consulaire, en particulier en Europe ;

– de poursuivre les coupes sombres au nom du principe d’adaptation et de modularité du réseau.

  • Réduction de 10% de la masse salariale

Certes, il s’agit de la masse salariale de l’ensemble des réseaux et des opérateurs (hors AEFE) sous plafond d’emplois, y compris ceux des autres administrations, mais l’objectif pleinement assumé est bien de réduire de 10% les crédits de rémunération dans chacun des ministères concernés par l’action de la France à l’étranger. Ainsi, le Département devra-t-il recruter plus de contractuels recrutés sur place (CRSP) au détriment d’emplois de titulaires, notamment dans le champ culturel et de coopération, supprimer plus de postes de fonctionnaires pour faire baisser la masse salariale et privilégier les transformations d’emplois en particulier d’agents de catégorie C au sein des réseaux. Cela n’est pas acceptable.

Réforme des IRE

En matière d’indemnités de résidence à l’étranger, si la tentative de supprimer les IRE en Europe semble aujourd’hui écartée, la CFDT-MAE rappelle cependant que le pouvoir d’achat est faible pour les agents C et leurs familles, notamment dans les pays européens. Il est inutile de vouloir calquer le classement de nos emplois sur celui d’autres ministères dont les contraintes et la charge de travail à l’étranger ne sont pas du tout de même nature.

  • La « Mutualisation » des fonctions supports est-elle un jeu de dupes pour le Département ?

Sur le papier, le projet que les ambassades deviennent des « agences de l’Etat à l’étranger » avec un plafond d’emplois unique et un budget unique de fonctionnement nous paraît aller dans le bon sens. Nous sommes d’accord aussi pour réaffirmer le périmètre de responsabilités des ambassadeurs à l’ensemble des services de l’Etat à l’étranger.

En revanche, l’objectif de supprimer jusqu’à 1/3 des emplois consacrés aux fonctions supports ne nous convient pas du tout.

Les recrutés locaux et les agents C seront les premiers touchés

Il est précisé que ce nouveau périmètre de gestion exclut les agents occupant des fonctions « métiers » qui resteront sous la tutelle de chaque ministère. Mais alors quels sont les personnels qui seront concernés par les réductions de 17% à 33% des fonctions supports ? Quelques expatriés d’autres administrations affectés sur des fonctions de gestion administrative et financière ? Non, tout porte à croire que ce seront nos collègues recrutés locaux, qu’ils travaillent pour le Département ou pour une autre administration, ainsi que les agents de catégorie C de notre ministère.

Ces mesures désorganiseront les services supports et pourront tout au plus dégager quelques dizaines d’ETP d’économies au MEAE, guère plus dans les autres administrations. D’ailleurs, on constate déjà, dans la phase de recensement actuel des opérateurs, que Business France et l’AFD refusent localement de donner des chiffres à nos postes et renvoient systématiquement à leur direction centrale.

  • Coupes sombres dans le réseau consulaire

Notre présence consulaire n’apparaît pas démesurée au regard de la taille des communautés françaises dans le monde et pourtant la principale piste d’économies recensée par « AP 2022 » se trouve être le réseau de la DFAE, sur le principe que l’activité de guichet pourrait être remplacée par des services en ligne.

Les fausses promesses du consulat « numérique » prévu à l’horizon 2020

A notre sens, si les expériences de pré-demande de documents en ligne (passeports) et le déploiement de logiciels « métiers » (France-visas, registre des Français hors de France notamment) constituent un progrès évident pour les usagers, ils ne sauraient justifier à eux-seuls de lourdes suppressions d’emplois à l’étranger. En effet, c’est bien la protection consulaire d’urgence et l’indispensable relation de proximité qui demeurent les plus chronophages, les plus complexes et les plus exigeantes pour les agents sur place.

Notre présence est sous-dimensionnée en Europe

Bien plus, en Europe par exemple, le réseau consulaire est sous-dimensionné par comparaison à ceux de nos partenaires britanniques et allemands et pourtant nos ressources à nous continuent de baisser, alors que celles du Royaume-Uni ont amorcé un virage positif.

Rapatriement de services consulaires en Europe

Pour la CFDT, le rapatriement d’activités des postes consulaires vers la France ou plutôt la centralisation en France d’activités consulaires est une mesure coûteuse qui détériore le service aux usagers sans bénéfice avéré pour le Département. A cet égard, avant tout transfert supplémentaire d’activités consulaires vers la Centrale, il nous semblerait utile de réaliser une évaluation du Bureau des transcriptions Maghreb.

L’état-civil en Suisse : 1ère victime en Europe

On sait que le rapatriement de l’état civil consulaire de tous nos postes européens est prévu d’ici 2022. Ce sera fait en septembre pour Zurich et puis suivra Genève, au plus tard en septembre 2019, et Bruxelles en dernier.

Plus globalement, on parle de transférer l’administration des Français des pays limitrophes aux collectivités territoriales frontalières. Où en est-on de ce projet que nous redoutons ?

  • « Adaptation » et « modularité » du réseau

Sur la base des plafonds d’emplois déterminés par mission et par zone géographique, les ambassadeurs devront faire des propositions de schéma d’emplois pour la période 2019-2022. La CFDT craint la poursuite de l’exercice « grands formats », l’extension des postes à gestion simplifiée (PGS) ainsi que de nouvelles transformations de postes d’expatriés en particulier ceux de catégorie C. Et en Europe, dans le réseau culturel, de nombreux postes d’expatriés pourraient être transformés. Il faut que cela cesse.

Une 3ème vague de PPD en Europe ?

Par ailleurs, la CFDT tient à souligner qu’elle s’opposera à toute proposition visant à créer des nouveaux postes de présence diplomatique (PPD), que cela soit en Europe ou ailleurs.

Quid des CRASIC ?

Enfin, la CFDT s’inquiète du devenir des centres régionaux d’assistance des systèmes d’information et de communication, notamment en Europe.

* **

Pour conclure, la CFDT ne soutient pas les mesures du plan « AP 2022 » et condamne une méthode incohérente qui a fait l’impasse sur le dialogue social.

Au nom de la CFDT-MAE, je vous remercie./.

Thèmes : Administration centrale, Agent contractuel, agents de l'état, agents titulaires, ASIC, Crasic, CTM, Indemnité de résidence, Postes à l'étranger, réunion, SESIC

CTM des 24 et 25 mai : vous pouvez compter sur la CFDT-MAE !

16 mai 2018


Graves menaces sur les indemnités de résidence à l’étranger, sombres promesses du « consulat numérique », tristes perspectives de réduction du réseau… le pire est à venir. La CFDT-MAE sera en première ligne pour vous défendre lors du prochain Comité Technique Ministériel.

Le CTM, c’est la réunion deux fois l’an du Ministre et de l’administration avec les syndicats représentatifs pour traiter toutes les questions concernant le ministère et ses agents. On y parle de l’administration centrale comme de l’étranger, et de tous les sujets qui intéressent l’ensemble des 16 500 collègues fonctionnaires, contractuels et recrutés locaux.

Grâce à votre confiance accordée lors des élections de 2014, notre syndicat – qui défend toutes les catégories de personnels et refuse tout corporatisme – a obtenu six sièges de titulaires sur un total de quinze. Ce sont eux qui, au nom de la CFDT, se prononcent sur les textes présentés pour avis par l’administration. Des experts désignés par la CFDT-MAE, en fonction des sujets à débattre, apportent leur maîtrise de champs professionnels qu’ils connaissent bien. Ces élus et experts CFDT sont des collègues titulaires de catégories C, B et A, des agents de recrutement local et des contractuels de droit public qui ont choisi de s’investir afin de porter vos revendications en matière d’emplois, de rémunérations et de conditions de travail.

C’est dans un contexte défavorable marqué par la baisse continue, dramatique et insupportable des moyens et des effectifs du Département, dénoncée par la CFDT, que nous continuerons à faire entendre notre voix – et donc votre voix – sur des questions aussi importantes que :

  • la transparence des affectations,
  • les groupes d’IRE et leur revalorisation,
  • le classement des pays ou villes par zones A, B et C,
  • la durée de temps de séjour,
  • le maintien du réseau consulaire sur fond de numérisation croissante,
  • le reclassement des primes RIFSEEP en Centrale,
  • le sort des agents contractuels de droit public,
  • l’externalisation à la DSI ou aux visas,
  • l’avenir des Instituts français et du réseau culturel et de coopération,
  • la gestion des recrutés locaux, la révision de leurs grilles ou de leurs cadres salariaux et leur intégration par la voie des concours,
  • la reconnaissance et la valorisation des parcours professionnels de tous ainsi que la progression harmonieuse des carrières.

Le menu de la prochaine réunion sera copieux. Car si la CFDT appelle à la grève pour le 22 mai prochain, c’est que les raisons de hausser le ton sont nombreuses : effectifs menacés, précarisation annoncée, ressources et rémunérations à la baisse. Nous redirons clairement que notre ministère doit avoir les moyens d’assurer ses missions et de poursuivre ses ambitions. Nous nous opposerons à toutes mesures contraires à l’intérêt du ministère et à celui de ses agents.

Nous défendrons notre futur avec vigueur et audace !

Thèmes : agents de l'état, CTM, Indemnité de résidence, Postes à l'étranger, Primes, Rémunération, réseau

Tous en grève le 22 mai !

11 mai 2018

A la veille du prochain rendez-vous salarial de la mi-juin, le moment est venu de peser dans la négociation. La CFDT-MAE appelle à se mobiliser et à manifester avec les autres organisations syndicales de la fonction publique.

Face à un gouvernement qui ne voit dans les agents publics qu’une contrainte budgétaire, la CFDT y voit une richesse et réaffirme sa vision : oui, le service public doit exister et oui, il doit être accessible à tous.

Le gouvernement doit nous entendre : il est hors de question que soient supprimés les 120 000 postes prévus, hors de question qu’on les remplace par des contrats précaires, hors de question qu’on remette en cause le statut des fonctionnaires, première étape de la privatisation des services publics.

Pour que la fonction publique demeure en France cette force de cohésion sociale à laquelle nous tenons, nos revendications sont claires :

  • un vrai dialogue social
  • des perspectives dans l’évolution des carrières
  • la défense du pouvoir d’achat

Venez manifester le 22 mai. Pour nous faire entendre, pour peser dans les discussions en cours, pour peser aussi dans celles qui auront lieu bientôt dans le cadre du Comité Action Publique 2022, l’échéance qui décidera de notre futur.

Lire le communiqué d’Interco.

Pour un service public de qualité 
 
La CFDT-MAE appelle à se mobiliser et à manifester avec les autres organisations syndicales de la fonction publique
ce mardi 22 mai

Départ de la place de la République à 14 h 00

Parcours : Place de la République (Boulevard du Temple, Boulevard Filles du calvaire, Boulevard Beaumarchais) –  Place de la Bastille (Rue de Lyon, Boulevard Diderot) – Place de la Nation

Rendez-vous CFDT à 13 h 00 à l’angle du boulevard Voltaire et de la place de la République (les sorties de métro seront certainement fermées sur la place de la République).

 

 

 

Thèmes : Agent contractuel, agents de l'état, agents titulaires, Conditions de travail, Dialogue social, Grève, Pouvoir d'achat

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Marylise Léon présente la CFDT

https://youtu.be/mLU9Wqmyico

NOS 5 PRECEDENTS ARTICLES

La CFDT-MAE demande la convergence des primes IFSE pour les agents de catégories A, B et C exerçant les mêmes fonctions

Quelles sont les avancées pour nos collègues contractuels de droit public ?

Quelle aide attendre de la nouvelle plateforme psychologique mise en place par le Ministère ?

La CFDT-MAE propose l’harmonisation des primes IFSE des agents de catégorie C à la Centrale

Restructuration des services visas en Chine : marche-t-on sur la tête ?

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