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restauration

La CFDT-MAE obtient une belle avancée pour les collègues nantais du site de Casterneau !

23 octobre 2025

Les agents qui ne disposent d’aucune option de restauration collective sur leur lieu de travail ou à proximité immédiate, comme c’est le cas sur les sites des Invalides et du Quai d’Orsay, bénéficient d’un « bonus temps » de 30 minutes leur permettant de se rendre dans un restaurant administratif avec lequel le MEAE a signé une convention.

Ainsi, si les agents affectés sur le site des Invalides et au QO, dès lors qu’ils ne sont pas en télétravail, en congés ou absents pour un autre motif, bénéficient d’un crédit temps automatique, les agents nantais affectés sur le site de Casterneau, quant à eux, ne disposent que d’un bonus temps saisi manuellement et crédité individuellement et a postériori au début du mois suivant.

  • La CFDT-MAE saisit le DRH pour demander l’égalité de traitement

Face à cette différence flagrante de traitement, la CFDT-MAE a revendiqué lors du dernier comité d’action sociale (CAS) du 11 février 2025, présidé par le Directeur des ressources humaines, M. Étienne de Gonneville, une égalité de traitement entre les agents nantais affectés sur le site des archives diplomatiques de Casterneau et les agents parisiens affectés sur le site des Invalides ou du Quai d’Orsay. En retour, la DRH a fait bon accueil à cette demande et nous a signifié mi-octobre que nos collègues de Casterneau pourraient disposer du même bonus de 30 minutes que l’ensemble des agents des Invalides et du Quai d’Orsay.

  • C’est chose faite, la CFDT a été entendue !

Ainsi, à compter du 1er novembre 2025, un crédit temps supplémentaire de 30 minutes sera donc automatiquement accordé (« bonus AURI ») aux agents du centre des archives diplomatiques de Nantes (CADN) afin de compenser leur temps de déplacement pour se rendre au restaurant inter-administratif de la SEMITAN.

Il n’y a pas de petites avancées !

La CFDT se félicite de cette belle avancée pour l’ensemble de nos collègues nantais travaillant rue Casterneau qui pourront désormais accéder, jour après jour, au décompte réel de leur présence travaillée journalière.

* * *

La CFDT-MAE salue la mise en place de cette mesure « de simplification » par l’administration à la suite de la demande exposée par notre syndicat auprès du Président du comité d’action sociale (CAS).

Thèmes : bonus, Cantine, CAS, Casterneau, Dialogue social, Nantes, restauration, Sagha, Temps de travail

La CFDT-MAE rétablit les faits sur la gestion de la restauration à Nantes et du centre de santé à Paris

22 octobre 2025

A l’occasion de la reprise de la gestion du restaurant administratif nantais par un prestataire privé (à la place de l’association ADOS) prévue au mois de décembre 2025 et alors que certains – par précaution ou par opportunisme – se plaisent à réécrire l’histoire, la CFDT-MAE rappelle l’intervention qu’elle avait faite lors de la deuxième journée du comité social d’administration ministériel (CSAM) du 28 mai 2025 sur la note transmise par les services sur la restauration nantaise. En effet, à la lecture de ce document, notre organisation s’était demandé si notre administration n’était pas atteinte d’une forme d’amnésie dissociative.

  • Une absence totale de reconnaissance envers les militants syndicaux bénévoles et notamment ceux de la CFDT-MAE

Cette perte de mémoire se traduit par des évènements manquants dans l’exposé qui nous est présenté et en premier lieu par une absence totale de manifestation d’une quelconque reconnaissance de l’administration vis à vis des agents militants bénévoles, affectés dans les services ou permanents syndicaux mis à disposition par les organisations syndicales sur leurs crédits respectifs de temps syndical.

Ceux-ci ont donné de leur temps personnel, des soirées et des weekends, pour faire tourner une association qui s’est acquittée pendant 20 années de la lourde tâche et responsabilité de fournir une solution de restauration collective aux agents du ministère à Nantes et une offre de soins pour les collègues en poste de passage à Paris et les collègues de retour de postes ou pour ceux affectés dans les services parisiens et franciliens dans un contexte de pénurie médicale.

  • Pendant 20 ans, les organisations syndicales sont devenues les employeurs des personnels de soin et de restauration collective

Cette note occulte la notion de service que l’ADOS (Association des œuvres sociales du ministère des Affaires étrangères) a rendu à notre administration en la déchargeant pendant 20 ans de la gestion d’un restaurant administratif à Nantes et d’un centre de santé à Paris. C’est ainsi que depuis 2006, les organisations syndicales ont porté la lourde charge de la gestion des ressources humaines d’une vingtaine d’employés de droit privé dont elles sont devenues les employeurs, et ont dû gérer les budgets et les coûts liés à ces prestations de services.

  • L’administration s’est retirée de la gestion de l’ADOS depuis 2006

Rappelons que l’administration a quitté soudainement le conseil d’administration de l’ADOS en 2006 et a laissé aux organisations syndicales la responsabilité de poursuivre seules cette entreprise.

Ce sont donc des collègues militants bénévoles qui ont dû supporter, sans y être formés, la responsabilité de recruter et d’administrer des salariés des secteurs de la restauration et du médical et de gérer un budget de plusieurs millions d’euros dont une partie alimentée par les deniers publics. Il faut souligner que, pour ces administrateurs bénévoles de l’ADOS, il existe un risque juridique non négligeable en matière de responsabilité individuelle.

  • Un désengagement progressif et réel de l’administration en matière de ressources humaines

Cette note passe également sous silence le désengagement au fil des années de l’administration, qui en 18 ans, a retiré la totalité des agents mis à disposition de l’association (c’est-à-dire 15 infirmiers de l’État et personnels de cuisine) ce qui a eu pour effet d’entrainer une explosion des charges d’exploitation du restaurant administratif nantais et plus encore du centre de santé de Convention.

La note occulte aussi les difficultés qui ont frappé successivement l’association et qui ont mis en péril cette petite structure associative qu’est l’ADOS, malgré le travail remarquable effectué jusqu’à présent par les administrateurs de l’association dont la CFDT-MAE a très largement contribué au cours de ces 18 années :

  1. La restauration collective a subi de plein fouet la crise sanitaire, elle a été très affectée pendant les confinements et les mesures de distanciation sociale ;
  2. L’inflation galopante du coût des matières premières ont aggravé les difficultés financières ;
  3. La fin brutale du partenariat fondateur du restaurant nantais avec trois autres restaurants administratifs qui permettait de mutualiser à quatre les coûts d’achat de la nourriture et les salaires des employés a donné le coup de grâce.

A la fin de l’exercice 2023, chacun savait que l’association était déficitaire de 377 410 € :

  • – 352 827 € pour les œuvres sociales et le centre de santé ;
  • – 24 583 € pour la restauration à Nantes.

La CFDT alerte l’administration sur la situation financière de l’ADOS dès le 4 juillet 2024…

Dans ce contexte, dès le 4 juillet 2024, la CFDT a alerté l’administration sur la situation financière de l’ADOS particulièrement grave et préoccupante et sur le danger pesant sur l’avenir du restaurant administratif nantais et de ses personnels en l’absence d’anticipation d’une solution de reprise du restaurant nantais et du centre de santé à Paris par un nouveau prestataire financièrement solide.

…et propose une solution de transition en douceur

Cette solution de sortie de crise était, de notre point de vue, la plus satisfaisante possible car, en cas de reprise par un nouveau prestataire, le code du travail prévoit l’obligation de reprendre les personnels dans les mêmes conditions. A contrario, en cas de faillite, les personnels auraient été licenciés sans pouvoir bénéficier d’une indemnité de licenciement, ce qui n’est pas acceptable.

Nous avions donc alors proposé une solution de transition en douceur, un passage de flambeau entre l’ADOS et un nouveau prestataire afin que le restaurant nantais et le centre de santé du site de Convention ne ferment pas.

L’alerte de la CFDT de juillet 2024 à l’administration du Ministère sur la situation financière de l’ADOS à l’occasion de laquelle notre syndicat avait demandé à l’administration de prendre ses responsabilités en mettant tout en œuvre pour :

1/ assurer la continuité de ces deux prestations de service rendues aux agents à Paris et à Nantes ;
2/ garantir la reprise des personnels conformément à l’article L1224-2 du code du travail.

…est malheureusement restée lettre morte, pas même une réunion de point d’étape n’a été proposée pour échanger sur la situation.

* * *

La CFDT-MAE regrette que l’administration et l’ensemble des acteurs concernés n’aient pas pris davantage la mesure des conséquences inévitables des difficultés traversées alors par l’ADOS, et cela malgré notre signal prévenant d’un danger et appelant à prendre toutes les mesures de sécurité utiles à la sauvegarde du restaurant nantais et du centre de santé dont le déficit s’est encore creusé l’année dernière.

Thèmes : ADOS, Centre de santé, convention, Nantes, paris, restauration

Commission restauration, la CFDT arrache un gel de la tarification

14 janvier 2022

La commission permanente restauration, compétente pour les services de restauration collective sur les sites franciliens du ministère, s’est réunie le 9 décembre. La CFDT était représentée par Fahrettin Acar et Boris Dupuy de la Badonnière.

Fréquentation en baisse pour cause de télétravail

La première partie de la réunion se déroule en présence du prestataire Convivio https://www.convivio.fr/. Le nouveau gérant des trois sites (Convention, Quai d’Orsay et La Courneuve) se présente. La fréquentation a été impactée depuis le début d’année 2021 sur les trois sites avec une hausse en septembre mais les chiffres restent légèrement en-deçà des années antérieures à la pandémie, ce qui s’explique notamment par l’augmentation du télétravail. Ces chiffres ont un impact sur la tarification, le coût fixe d’admission étant déterminé lors du marché en fonction des « tranches de fréquentation » (voir plus bas).

Les objectifs de la loi EGALIM https://www.legifrance.gouv.fr/loda/id/JORFTEXT000037547946/ sont rappelés : 50% de produits durables ou sous signes d’origine et de qualité, dont 20% de produits bio dans la restauration collective publique à partir du 1er janvier 2022. Convivio respecte ces objectifs depuis novembre 2021 avec 50,45% de produits durables et 20% de plats végétariens. Tous les jours, une garniture et deux fruits issus de l’agriculture biologique sont proposés.

Au niveau RH, l’équipe est stable et Convivio met en place des formations qualifiantes pour ses salariés. Convivio a bien pris en compte la fermeture prochaine du restaurant du Quai d’Orsay et des consultations sont en cours avec les personnels. Par ailleurs, grâce aux efforts conjoints de Convivio et du MEAE, une remise en état des équipements des cuisines des trois restaurants administratifs a été effectuée.

La CFDT demande une meilleure communication de la part du prestataire et de la DPS sur la mise en place des restrictions sanitaires. En effet le jour-même à Convention, les agents ont eu la surprise de découvrir un nouvel aménagement, effectué sans annonce, alors qu’il y en avait déjà eu un quelques jours auparavant (respect des deux mètres, quinconce…).

La CFDT revient sur la fréquentation en hausse depuis septembre 2021, qui a eu un réel impact sur la fluidité des restaurants. Il faut par exemple 15 à 20 minutes pour être servi à Convention. La délégation pour la politique sociale (DPS) indique qu’elle travaille avec Convivio sur la mise en place de solutions, telles qu’un rappel des horaires sur Diplonet, du personnel « volant » en renfort dans les zones saturées, un libre-service pour les plats végétariens et, en cas d’absence d’un salarié, le recours plus rapide à du personnel intérimaire.

Nous rappelons qu’il est possible de recharger son compte en ligne et suggérons à la DPS de communiquer sur ce point (affichage en caisse et à l’entrée du restaurant). La DPS prend en compte cette remarque de la CFDT et procèdera à un rappel pour la création des comptes en ligne et pour les rechargements.

Tarification 2022, statu quo au moins jusqu’au mois de juin

Le prix du repas est fixé selon les frais d’admission et les composantes du plateau et il varie selon deux modalités : annuellement selon le marché et en fonction de la fréquentation pour les frais d’admission. En 2022, le coût d’admission augmentera du fait du changement de tranche de fréquentation. Une modification tarifaire interviendra le 1er janvier 2022. Pour cela, la DPS prend en charge pour le premier semestre 2022 la différence entre le droit d’admission en vigueur au 1er janvier 2022 et celui qui s’appliquera à partir du 1er juin 2022, soit 0,17€. L’augmentation de 0,16€ qui s’appliquera toute l’année doit être répartie entre la DPS et les agents. La DPS demande aux organisations syndicales de se prononcer entre quatre scénarios pour une prise en charge de cette augmentation.

La CFDT propose un cinquième scénario et demande à ce que l’augmentation soit supportée en totalité par la DPS. Nous faisons valoir que la valeur du point d’indice est gelée depuis des années et qu’un effort de 34 M€ est prévu pour le MEAE dans la partie RH du PLF 2022.

La DPS traîne les pieds en indiquant que ce scénario engendrerait un surcoût de 8 000€ pour la DPS, que les paniers repas, mis en place avec la crise, engendrent une augmentation de 30%, que les frigos connectés vont coûter cher… Mis à part l’ASAM, qui plaide pour un sixième scénario et une augmentation pour la plupart des groupes, les autres OS présentes (CGT, CFTC, USASCC, FO et FSU) se rangent derrière la CFDT. C’est donc notre proposition qui sera soumise à la DRH, avec un maintien des tarifs actuels pour l’ensemble des agents au 1er janvier 2022. Une session exceptionnelle de cette commission pourrait avoir lieu à la fin du printemps pour effectuer un nouveau point budgétaire avec la possibilité d’acter une augmentation tarifaire pour les agents au 1er juin 2022…

Thèmes : Commission de restauration, Convivio, DPS, EGALIM, restauration

Réunion « Covid-19 » : des agents à bout de souffle… – 5 février 2021

17 février 2021

Le vendredi 5 février, l’administration a convoqué une réunion COVID présidée par la Directrice générale de l’administration et de la modernisation (DGA).

Une minute de silence a été observée en mémoire de notre collègue de l’ADF à Libreville.

Puis la DGA nous a informés de la résolution du Premier Ministre et de la Ministre Amélie de Montchalin de renforcer le télétravail au sein de la fonction publique pour faire reculer l’épidémie.

Après avoir rappelé qu’il n’y aurait pas de restitution d’ETP en 2021, la DGA a confirmé sa volonté de veiller au respect des bonnes pratiques en centrale comme en poste, et à la mise à disposition d’équipements de mobilité.

Il faudra donc mettre en place des solutions de bon sens, basées sur l’expérience des précédents confinements. Le Secrétariat général a chargé l’IGAE de faire un audit, après consultation des organisations syndicales, pour définir de nouvelles méthodes de travail.

La DGA a aussi précisé que l’administration appliquait les instructions données par le ministère de l’intérieur en matière de limitation des déplacements internationaux en fonction de l’évolution de la crise sanitaire.

La séquence de questions/réponses a été l’occasion pour la CDFT-MAE de redire à l’administration nos inquiétudes face à votre désarroi, votre découragement et votre souffrance au quotidien dans l’exercice de vos fonctions.

  • Inquiétudes sur les conditions de travail

Pour le respect des droits à congés et de la charte du temps.

Pour la sécurité sanitaire et l’accès à la vaccination quel que soit le pays d’affectation.

En raison du manque de matériel pour travailler en distanciel quand les conditions sanitaires locales imposent le télétravail, mais aussi du manque d’ergonomie des itinéos n’optimisant pas le télétravail pour certaines fonctions.

  • Désarroi, et découragement face à certaines mesures prises récemment par l’administration

Sur la limitation des déplacements internationaux des agents, alors qu’ils vivent loin de leurs familles depuis de longs mois déjà, pour assurer la continuité du service public.

Sur la baisse de l’IRE en dépit de l’investissement professionnel et personnel des agents en cette période difficile.

  • Souffrance dans l’exercice de leurs fonctions

En centrale et en poste, certains agents d’encadrement n’appliquent pas les instructions du département avec « souplesse et bienveillance » comme recommandé par le Ministre lors du dernier CTM.

POUR LA CENTRALE :

L’objectif visé est d’accroître le télétravail en limitant le nombre d’agents présents en même temps (transports en commun, bureaux partagés, open space, cantines). Pour éviter les risques psycho-sociaux, ceux qui ne supportent pas le télétravail total auront la possibilité de venir au moins une fois par semaine sur site.

POUR L’ETRANGER :

75% des postes sont en P.C.A. avec pour instruction de limiter les déplacements internationaux pour freiner la propagation du virus.

CONGÉS :

Concernant les congés cumulés et ceux des agents en poste, il est encore trop tôt pour y répondre mais le Ministre veut faire au mieux pour qu’ils soient pris ou qu’ils soient conservés à défaut.

CONCOURS ET EXAMENS :

Ils seront organisés conformément aux instructions et éventuelles modifications de calendrier données par la DGAFP.

DNUM :

Depuis bientôt un an, la dotation en outils de mobilité a augmenté, surtout depuis le 2ème confinement en novembre 2020, pour répondre aux exigences du télétravail.

Au premier trimestre 2021, il est prévu une dotation de 400 itinéos pour la France et 200 pour l’étranger.  Par contre, cela ne concernera que les agents titulaires du réseau.

Consultez la rubrique « télétravail » pour accéder aux formulaires et trouver la réponse à vos questions ou directement la circulaire relative au télétravail à l’étranger, si vous êtes en poste (uniquement accessible d’un poste Éole).

La possibilité de dotation en équipements supplémentaires de télétravail (écrans plus grands, souris, etc…) dépendra des instructions de la DGAFP.

Pour des raisons de sécurité, les prestataires de la DNUM et du ministère de l’intérieur travaillent sur site, à Breil IV, à Nantes.

VACCINATION / MASQUES :

La DGA confirme qu’il n’y aura pas de différenciation entre les Français vivant à l’étranger et ceux vivant sur le territoire national. La stratégie vaccinale sera adaptée au pays de résidence pour protéger tous les agents et les ressortissants français dans le monde.

Les masques fournis par l’administration, y compris ceux en tissu blanc, sont de type 1 pour respecter les dernières consignes sanitaires.

RECENSEMENT DES CAS COVID :

Depuis le début de la crise, 969 cas ont été recensés : 650 agents du MEAE et assimilés, 274 ADL et 45 VIA ou stagiaires.  Sur ces 969 personnes, 712 ont été diagnostiqués positifs à la COVID19. La majorité des agents concernés sont en Europe et en Afrique.

A l’échelle du réseau, les statistiques mensuelles faites d’août 2020 à février 2021 révèlent une augmentation régulière des contaminations entre septembre et novembre 2020.

Il faut continuer à respecter les gestes barrières même quand on est vacciné.

RESTAURATION :

Le nouveau protocole transmis par la DGAFP impose un espace de 8 m² par convive et une distance de 2 m entre les convives.  Son application entraîne une baisse de la capacité d’accueil des cantines et une augmentation des paniers repas. Un décret autorisant les salariés à manger aussi sur leur lieu de travail devrait intervenir prochainement pour répondre à ces changements.

RISQUES PSYCHO-SOCIAUX :

Les agents mais aussi leurs encadrants sollicitent de plus en plus la cellule psychologique. Le psychologue indique que le télétravail est mal vécu par certains agents car perçu comme une contrainte. Ils se plaignent de sa mise en place en mode vertical et ont du mal à s’y adapter. Il faut donc définir ou confirmer la question de l’autonomie.

Le télétravail et la crise sanitaire entrainent des exigences émotionnelles plus fortes et révèlent que certains supérieurs hiérarchiques ont du mal à soutenir leurs équipes. A tout cela s’ajoute un fort sentiment d’insécurité et d’incertitude sur l’avenir. En poste, les agents doivent en plus faire face à l’agressivité de certains usagers.

La prochaine réunion « Covid » est prévue jeudi 18 février.

Thèmes : ADL, cellule psychologique, Charte du temps, concours, congés, covid-19, CTM, dga, dgafp, dnum, Examens professionels, IGAE, Indemnité de résidence, IRE, itinéo, masques, PCA, restauration, Risques psychosociaux, RPS, Télétravail, vaccinations

Résultats de notre enquête (3/4) : les « C » un peu à l’étroit en centrale

26 juin 2018

Le retour à l’administration centrale, c’est souvent un retour en arrière : en région parisienne (près de 7 sur 10) ou à Nantes, vous retrouvez des fonctions souvent sans relation avec celles que vous aviez exercées en poste, et un niveau de responsabilité un cran au-dessous. En majorité, vous avez le sentiment de rentrer à nouveau dans le cadre de ce que l’on attend d’un « catégorie C » de la fonction publique et de faire ce que vous pensiez qu’on vous confierait quand vous avez passé le concours d’adjoint administratif.

Parmi ceux qui nous ont répondu, près de la moitié sont gestionnaires, contre 20 % qui assument des fonctions de secrétariat, tout juste 8 % celles de rédacteur et à peu près autant d’agents de CAD. Sans compter ceux qui se retrouvent à la formation, dans un service technique, à la valise, à l’état civil, à la communication et à la presse ou encore à la DSI… Et comme vous n’êtes décidément pas contrariants (ou simplement soulagés ?), vous trouvez vos fonctions globalement satisfaisantes, pour une grande majorité du moins.

Mais pour ce qui est des émoluments, c’est plus qu’un retour en arrière, c’est le grand reflux… Votre nouveau traitement, primes incluses, ne vous satisfait pas. Peut-on s’en étonner ? Une majorité (60 %) dit recevoir entre 1500 et 2000 euros mensuels primes incluses, 25 % vont jusqu’à 2 200 euros, 10 % seulement au-delà. La NBI (nouvelle bonification indiciaire) est donc très recherchée, mais moins de la moitié en touche une, tandis que 65 % de ceux qui n’en reçoivent pas estiment que leurs fonctions la mériteraient pourtant. Quant à la question du dégel du point d’indice, plus de 86 % des personnes interrogées souhaiteraient la voir porter comme une priorité par les syndicats.

Il faut dire, et c’est un point commun avec vos collègues de l’étranger, que nombreux sont ceux qui font des heures supplémentaires (plus de 80 %), même si ce n’est qu’occasionnellement pour 45 % d’entre vous. Mais là, contrairement à l’étranger, vous ne rencontrez pas trop de difficultés pour les récupérer (les prodiges de Sagha ?). La charge de travail demeure inadaptée pour 30 % d’entre vous, mais est-ce parce qu’elle est trop (60%)… ou pas assez importante (40 %) ?

En gros, les conditions de travail vous satisfont (plus de 70%) et vous n’êtes pas trop nombreux à trouver qu’elles se détériorent au fil du temps. Vous pointez, comme à l’étranger, la mauvaise organisation des services et cette polyvalence que l’on exige toujours plus des « C » ; vous regrettez le manque d’effectifs et les suppressions de postes, le défaut d’anticipation, le peu de respect rendu à la charte du temps; vous dénoncez aussi l’absence de considération ou le peu d’implication de la hiérarchie. Et même parfois, vous déplorez que la charge de travail de certains collègues défaillants se reporte sur vous. Et puis apparaissent des doléances « spécial centrale » : les temps partiels qui se transforment subrepticement en temps plein, les moments interminables passés dans les transports, les « quelques anciens qui manipulent la hiérarchie » ou les open-space décidément trop bruyants et pas si conviviaux.

Heureusement, vous connaissez mieux les obligations de l’administration en matière d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail, le comité compétent en la matière : le CHSCT et ses missions. Peut-être avez-vous déjà reçu une de ses visites de site ? Le registre santé, sécurité au travail (RSST) est moins célèbre mais plus de 8% l’ont déjà utilisé.

Enfin le logement, ne pose pas vraiment de problème en France pour un peu moins de 70 % d’entre vous (est-ce vraiment un hasard si l’on retrouve la même proportion d’agents logés dans le parc privé ?). 20% d’entre vous ont pu profiter d’un logement-social (ministériel ou interministériel), mais la grande majorité loue un logement privé ou est propriétaire de sa résidence principale. Et s’il n’y a pas plus d’agents logés dans le parc social, c’est peut-être que vous trouvez l’offre de logement du ministère plutôt insuffisante, contrairement à celle qui vous est faite en matière de restauration collective qui, elle, remporte l’adhésion de 75 % d’entre vous. Ah, en France, rien ne va, mais il y a assiette à son appétit !

Suite et fin de notre enquête sur les « C » au prochain épisode, sur un sujet brûlant (et un peu masochiste) : les syndicats. Ne ratez pas le quatrième et dernier volet de notre série sur les « catégorie C » !

 

Résultats détaillés du questionnaire « Centrale ».

Thèmes : Administration centrale, Charte du temps, concours, fonction publique, logement, Point d'indice, Primes, Rémunération, restauration

Commission restauration : les prestations s’amELIOR ! – 5 juin 2018

13 juin 2018

Cette commission restauration convoquée par la délégation pour la politique sociale (DPS) devait restituer aux organisations syndicales, les enquêtes de satisfaction lancées auprès des agents en novembre 2017 ainsi que l’audit des restaurants franciliens (Quai d’Orsay, Convention et La Courneuve).  La société ELIOR (restaurateur des sites franciliens) et le médecin coordonnateur de prévention, étaient également présents. La CFDT-MAE était représentée par Rodolphe PAULIN.

Les agents confirment l’amélioration de leur restauration

A l’instar de la commission restauration de janvier 2018, cette réunion a permis de constater que les prestations de restauration se sont améliorées même si des ajustements restent à faire comme le confirme la synthèse des enquêtes ci-dessous.

Grosse satisfaction chez les agents

84 % de satisfaction pour le restaurant de la Courneuve et 80% pour ceux du Quai d’Orsay et Convention. Entre 81% et 88% des agents considèrent passer un moment agréable lors du déjeuner. Paradoxe de ces bons ressentiments, un sur deux indique ne pas recommander son restaurant administratif à d’autres collègues.

Ce que les agents apprécient

L’amabilité du personnel, la qualité des services, le goût des produits laitiers sont mis en avant par les agents. La facilité à trouver une place sur les sites de La Courneuve et du Quai d’Orsay est également beaucoup appréciée.

Ce que les agents apprécient moins…

La chaleur ou température insuffisante des plats, le choix et le goût des entrées, la rapidité relative de certaines caisses ainsi qu’une information qui reste perfectible.

Concernant la propreté de la vaisselle, Elior  indique que les appareils de nettoyage ne disposent pas tous d’un dispositif permettant l’utilisation d’un liquide de rinçage, ce qui engendre des traces sur tous les couverts.

Par ailleurs, le manque de couverts est expliqué, entre autre, par une « évaporation » quotidienne de ces derniers.  Sur ce point, chaque agent doit veiller à ne pas utiliser les couverts des restaurants dans un autre lieu que celui…du restaurant.

Audits externes : en rapport avec le ressenti des agents

Le personnel

·         Plus grande stabilité au niveau de l’encadrement. A cet effet, l’arrivée dernièrement d’un chef gérant sur le Quai d’Orsay a grandement amélioré la situation sur ce site

Offre alimentaire et approvisionnements

A corriger

·         Un meilleur respect des labels prévus au cahier des charges

·         Approvisionnement en couverts (disparition du fait des consommateurs)

·         Chaleur des plats (tous les sites)

·         Variété des plats et effort de présentation

 

A maintenir

·         Offre de la cafétéria mieux pourvue (Convention)

Respect de l’hygiène et autres règlements

A corriger

·         Problèmes liés à la présence de nuisibles sur le site du Quai d’Orsay

·         Problèmes liés à la présence de pigeons sur le site de Convention (quai de déchargement)

·         Acquisition d’un appareil à rayons X plus large et d’un transpalette électrique par le Département (en cours)

Qualité de service

A été corrigé

·         Problèmes avec le personnel de service sur le site de Convention

A maintenir :

Les animations, l’application Timechef, les repas de Noël, l’affichage

Satisfaction des convives :

·         De nombreux commentaires positifs sur le cahier de suggestions, notamment sur le site du Quai d’Orsay depuis l’arrivée d’un nouveau chef gérant

 

Commentaires : Si les débuts du prestataire ELIOR ont été pour le moins difficiles, il ressort de cette commission une volonté du prestataire de faire avancer les choses et d’être plus à l’écoute des agents, le prestataire reconnaissant des erreurs dans certains domaines. La DPS, qui assure un suivi rigoureux malgré une équipe resserrée, contribue très largement à la bonne conduite du dispositif francilien de restauration.

Thèmes : restauration

Restauration parisienne : du progrès !

17 janvier 2018

 

La commission restauration, placée auprès du comité d’action sociale, s’est réunie le 6 novembre dernier. L’objet de cette commission concernait les trois restaurants parisiens (La Convention, le Quai d’Orsay et La Courneuve). Cette commission avait réuni les responsables de la délégation pour la politique sociale (DPS), du cabinet CANTINEO, et du prestataire Elior Entreprises.

La tenue de cette commission de restauration a permis, en outre, de vérifier la bonne exécution des prestations de la société Elior entreprises.

Point sur la mise en œuvre du marché passé avec la société Elior Entreprises.

Le constat général est qu’après 10 mois de fonctionnement avec le nouveau prestataire, la qualité s’est globalement améliorée. En revanche, les exigences fixées par le cahier des charges ne sont pas, à ce stade, pleinement atteintes.

Elior rappelle les problèmes de gestion des ressources humaines qui ont perturbé le fonctionnement normal du service. Des problèmes de matériels (congélateur en panne, climatiseurs défaillants,) ont également perturbé le bon fonctionnement du service. En revanche, Elior a installé des fiches de suivi destinées à améliorer toute la chaîne de production et de services.

Les organisations syndicales ont rappelé que la file d’attente au restaurant était problématique, que l’affichage des menus sur le site de la Courneuve manquait. D’autre part, des demandes ont été faites par les OS pour qu’Elior développe le service de grillades blanches, les desserts « maison » et l’affichage bio, encore insuffisant.

Elior informe qu’elle fera le nécessaire pour améliorer ces points, qui font l’objet d’un examen attentif. Elle annonce par ailleurs que l’application « Time chef » sera opérationnelle très prochainement, permettant ainsi de diminuer le temps d’attente en caisse.

Travaux à la cantine du quai d’Orsay

Beaucoup de travaux ont été accomplis, même si la date d’échéance de la fermeture programmée de la cantine (2020) approche. Parmi ces travaux, il convient de noter l’amélioration de la ventilation compte tenu du lieu (en sous-sol), des conditions des cuisiniers ainsi que le remplacement des machines à cuire.

Cantine à La Convention

Elior a constaté qu’il y avait des agents qui apportaient leur repas personnel et se servaient en pain. Elior a rappelé que le pain n’est pas gratuit et informe la commission que le fait de prendre un plateau, des couverts, engendre des coûts de nettoyage pour la société.

Ilot saint Germain

La DPS a pris en charge exceptionnellement la différence de prix du plateau repas des agents du MEAE, ainsi que le coût d’acquisition du badge. Or il a été constaté que depuis le mois de juin, sur 100 badges créés, seuls 60 agents se sont rendus à la cantine (dont 48 moins de 10 fois). Dans ces conditions, la DPS a informé les organisations syndicales que l’acquisition du badge ne sera plus prise en charge.

Interventions de la CFDT-MAE : le syndicat a demandé des indications sur la date de fermeture de la cantine du quai d’Orsay et si d’autres options de relocalisation étaient envisagées. En effet, l’administration avait annoncé au dernier CTAC que la ville de Paris allait reprendre le site à l’été 2018 et envisage une convention avec le ministère de l’Agriculture (pour son restaurant rue Barbet de Jouy) pour les agents concernés. Mais cette cantine est déjà très fréquentée, voire saturée. Un autre lieu peut-il être envisagé, notamment celui du ministère chargé de l’Education nationale ?

Réponse de l’administration : l’administration précise qu’elle ne connaît pas à ce stade la date exacte de fermeture du site. Elle a toutefois rappelé les deux options qui se présentent à elle : soit une convention avec AURI ; soit le ministère devient membre de l’association des restaurants inter-administratifs. Cette deuxième piste semble privilégiée à ce stade sans qu’aucune confirmation n’ait été apportée. Enfin, l’administration indique que le site du ministère de l’Education nationale n’est en effet pas à exclure. En tout état de cause, il faudra attendre les décisions du COPIL. Affaire donc à suivre…

Thèmes : restauration

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