CFDT

Affaires étrangères

  • Accueil
    • Nos publications 2025
    • Nos publications 2024
    • Nos publications 2021-2023
    • Lettre du Syndicat (LDS)
  • Nous connaître
    • Qui sommes-nous ?
      • Histoire de la CFDT-MAE
      • Histoire du syndicalisme
      • Histoire de la CFDT
        • La CFDT en 21 dates
        • Marylise Léon présente la CFDT et son action
      • Les amiantés du Tripode
    • Pourquoi adhérer à la CFDT ?
      • Rejoignez la CFDT-MAE !
    • Nous contacter
    • Nos résultats
    • Nos enquêtes et Webinaires
  • Nos revendications
    • Parcours, emplois et métiers
      • Parcours professionnels
        • Affectations
        • Conditions d’expatriation
        • Evaluation et promotion
        • Formation professionnelle
        • Retraite
      • Qualité de vie au travail
        • Management
        • Temps de travail
          • Télétravail
          • Semaine de/en 4 jours
          • Charte du temps
          • Sujétions en poste
        • Santé au travail
          • Risques au travail
            • Prévention des risques
            • Risques RPS
            • Risques physiques
          • Discriminations
        • Congés et CET
          • Congé menstruel
      • Métiers et filières
        • Métiers diplomatiques et consulaires
        • Métiers culturels et de coopération
        • Métiers de la filière SIC
      • Rémunération
        • En Centrale
        • A l’étranger
      • GPEEC
    • Titulaires et contractuels
      • Agents titulaires
        • Catégorie A+
          • AE
          • CAEMP
        • Catégorie A
          • ASS
          • ASIC
          • SAE
        • Catégorie B
          • SCH
          • SESIC
        • Catégorie C
          • ADJACH
          • ADJTECCH
      • Agents contractuels
      • Agents de droit local
    • Egalité professionnelle
    • Questions immobilières
      • Sites en France
      • Emprises à l’étranger
    • Réformes en cours
      • Etats généraux 2022-2023
  • Dialogue social
    • CSA, formations spécialisées
      • CSAM
      • CSAC
      • Formations spécialisées
        • Ministérielle
        • Centrale
        • Nantaise
        • Etranger
    • CSAPE et CCL
      • 700 élus CFDT à l’étranger
      • Formations syndicales
      • Missions à l’étranger
      • Responsables de zone
    • CAP et CCP 2025 : vos élus
      • Promotions 2024-2025
      • CAP des ASS
    • Autres instances
      • CAS
      • Réunions informelles
  • Syndicat
    • Nos instances
      • Commission exécutive
      • Conseil syndical
      • Commissaire aux comptes
      • Permanence syndicale
    • Nos sections
      • En France
      • A l’étranger
    • Nos congrès
      • 11ème congrès (2022)
    • Nos textes
      • Règlement intérieur
      • Statuts du syndicat
    • Nos comptes
  • Adhérer
  • Français
    • Français
    • English
    • हिन्दी
    • Русский

Et un et deux et trois…

2 juillet 2018

Ce sera le nombre de fois qu’il faudra voter aux prochaines élections professionnelles… Le 6 décembre prochain, toutes les instances de dialogue social de la fonction publique française seront en effet renouvelées et il faudra voter 3 fois pour espérer gagner !

  • A l’étranger
  • si vous êtes un agent public : pour le comité technique ministériel (CTM), le comité technique de proximité à l’étranger (CTPE) et la commission administrative paritaire ou consultative (CAP ou CCP).
  • Si vous êtes un recruté local : pour le comité technique ministériel (CTM), le comité technique de proximité à l’étranger (CTPE) et la commission consultative locale (CCL).

 

  • En Centrale
  • Si vous êtes titulaire : pour le comité technique ministériel (CTM), le comité technique d’administration centrale  (CTAC) et la commission administrative paritaire (CAP).
  • Si vous êtes contractuel : pour le comité technique ministériel (CTM), le comité technique d’administration centrale  (CTAC) et la commission consultative paritaire (CCP).

Ces élections sont essentielles pour la CFDT-MAE, première organisation syndicale du ministère de l’Europe et des Affaires étrangères. Elles seront l’occasion de confirmer sa représentativité, d’étoffer sa présence,  de mettre en valeur ses analyses et de faire avancer ses revendications dans l’intérêt de tous les agents travaillant dans les réseaux diplomatique, consulaire et culturel.

Nous comptons également sur vous comme représentants. Présentez votre candidature pour les scrutins locaux CTPE et CCL.

 

Thèmes : CTAC, CTM, CTPE, Elections

Programmation 2019 des effectifs : y a-t-il un pilote dans l’avion ? –24 mai 2018 au CTM

12 juin 2018

La CFDT revient sur son intervention, au comité technique ministériel de mai dernier, sur l’exécution de la programmation des effectifs en 2018 et sur l’exercice de programmation 2019 avec, en particulier, la cible des suppressions d’emplois à atteindre pour le Département qui avait été initialement fixée à – 100 ETP par la lettre-plafond du 1er ministre.

  • Exécution du schéma d’emplois 2018

La CFDT interroge l’administration sur le bilan de la programmation 2018.

La CFDT déplore ces 100 nouveaux emplois supprimés

La CFDT déplore ces 100 nouvelles suppressions et constate que l’atteinte de cette cible par la DRH a été rendue possible par des suppressions supplémentaires d’effectifs liées à la seconde vague de PPD, la poursuite de l’exercice « grands formats » et postes à gestion simplifiée (PGS) ainsi que 14 nouvelles transformations de postes d’expatriés (1 A et 13 C) en recrutés locaux dont plus de 60% concernent des fonctions de secrétariat.

La direction des ressources humaines (DRH) répond qu’elle partage les soucis des organisations syndicales et qu’il n’est jamais facile de transformer des emplois et de supprimer des postes de travail. Elle souligne qu’elle privilégie les mises en retraite plutôt que les licenciements secs pour les recrutés locaux et qu’en 2018, il y a eu moins de transformations de C en ADL puisque les postes de travail « évidents » ont déjà été transformés. D’une manière générale, la DRH met en avant une programmation « de plus en plus difficile » à réaliser.

Exercices « grands formats » et consulats « d’influence »

La CFDT relève que ce sont les agents de catégorie C (à 40%) ainsi que les ADL (à 33%) qui auront le plus été touchés par les suppressions dans le cadre de l’exercice « grands formats » ou « grands postes ». Cet exercice va-t-il perdurer sachant qu’il aura contribué en 2018, selon la fiche, à près de la moitié de réduction programmée des effectifs à l’étranger ? Outre le Bénin et Madagascar, qui ont été les plus affectés par les suppressions d’emplois, la CFDT souhaiterait connaître les autres pays concernés par l’exercice « grands formats ».

Enfin, pour les consulats dits « d’influence » des nouvelles initiatives sont-elles à l’ordre du jour notamment pour 2019 ?

En ce qui concerne l’exercice « grands formats », dont la liste des pays concernés n’a pas changé, la DRH indique que celui-ci est à présent achevé et qu’à ce jour, il n’y en a pas d’autres de prévu. Pour les postes à gestion simplifiée, elle rappelle que cet exercice s’étale sur plusieurs années et qu’un effort, à ce titre, sera demandé en 2019 mais qu’il ne s’agit pas d’une mesure nouvelle.

Transformations d’emploi de VI en SESIC

La CFDT note également, avec intérêt, deux transformations de postes de VI en postes de SESIC, à Beyrouth et Abidjan : s’agit-il d’une mesure ponctuelle ou bien d’une volonté assumée de transformation d’emplois dans la filière SIC ?

La DRH explique que la transformation de postes de VI en SESIC est le fruit d’un dialogue avec la DSI, le profil « volontaire international informaticien » n’étant pas facile à trouver. Elle ajoute qu’il n’est donc pas à exclure que d’autres transformations aient lieu dans le futur.

Plan de recrutement :

La CFDT constate que le plan de recrutement comporte 148 recrutements concours et sorties d’école (ENA, IRA) auxquels s’ajoutent 32 recrutements spécifiques (PACTE, militaires, travailleurs en situation de handicap) : ce plan va-t-il permettre de recruter plus d’agents titulaires C en 2018 afin de compenser la sur exécution de -50 emplois GI (titulaires et CDI à la Centrale) réalisée en 2017, due à une trentaine de départs en retraite non anticipés par la DRH ?

Enfin, on signale dans la fiche remise aux organisations syndicales que ce plan de recrutement devrait permettre la prise en compte de l’affectation d’agents titulaires sur des postes auparavant occupés par des contractuels dans le réseau culturel. De quels postes parle-t-on ? Et combien d’emplois sont-ils concernés ?

La DRH indique que la répartition entre le recrutement « spécifique » et le recrutement « classique » est fixée par elle en fonction du nombre total de recrutements à effectuer au titre d’une année.

  • Programmation 2019 et schéma d’emplois

La CFDT remarque, malgré la cible annoncée l’année dernière de – 100 ETP en 2019, qu’aucun élément de programmation n’est annoncé dans la fiche de séance. Est-ce volontaire ? Le schéma d’emploi prévu pour 2019-2022 reprend-il les – 100 ETP pour 2019 ou bien cette cible est-elle revue à la hausse ?

Quelle est la programmation des effectifs 2019, dans la mesure où la fiche CTM n’en parle pas ? Dans le prolongement du discours fait au Ministre et des objectifs assignés au Département, nous craignons que la période 2019-2021 ne soit propice à des suppressions supplémentaires d’emplois.

La direction des ressources humaines rappelle que le Département est en « pleine année budgétaire » et que des négociations avec Bercy sont en cours. Il est donc trop tôt pour avoir une visibilité autre que celle de la lettre-plafond de -100 ETP de prévu en programmation 2019.

Existe-t-il une 3ème vague de PPD de prévu ?

Notre organisation demande à connaître les grands principes qui vont guider la DRH – en liaison avec les secrétariats de programmes, les directions géographiques et l’inspection – pour atteindre cette cible ? Existe-t-il une 3ème vague de PPD de prévu ou un nouvel exercice de type « grands formats ou grands postes » est-il déjà planifié ?

La DRH confirme qu’il n’existe pas « aujourd’hui » de 3ème vague de PPD de prévu.

Transformations d’emplois et réseau consulaire

L’exercice de transformation des postes à l’étranger va-t-il être plus important que prévu en 2019 et concernera-t-il des agents C et A dans les mêmes proportions que pour l’année 2018 ? Enfin, le réseau consulaire sera-t-il le plus touché, comme en 2018, par ces transformations ?

S’agissant des transformations d’emplois, la DRH étudiera les possibilités « au cas par cas ».

Thèmes : ADL, Agent contractuel, agents de l'état, agents titulaires, ASIC, CTM, Emploi, schéma d'emplois, SESIC

La CFDT-MAE s’adresse au Ministre au comité technique ministériel – 24 mai 2018

24 mai 2018

Monsieur le Ministre,

Monsieur le Secrétaire général,

Mesdames et Messieurs les Directrices et Directeurs,

L’ensemble de votre administration, Monsieur le Ministre, compte aujourd’hui 13 500 ETP pour interagir avec le monde entier et gérer notamment plus de 2 millions de nos compatriotes établis à l’étranger ainsi que des millions de Français de passage. En comparaison, la ville de Paris avec 50 000 agents au service de ses 2,2 millions d’habitants apparaît bien dotée. Vous aviez d’ailleurs été frappé lors de votre prise de fonctions, par l’insuffisance des moyens de ce ministère.

Malgré ce constat, de nouveaux objectifs de suppressions d’emplois ont été assignés au Département, en particulier dans le réseau, sans même établir une cartographie précise, fidèle et sincère de nos missions et de nos postes à l’étranger.

Cela ne nous semble pas la bonne méthode.

On sait que les mesures qui seront annoncées après ce CTM, dans le cadre du plan « Action Publique 2022 », se traduiront par un nouveau schéma de suppressions d’emplois pour la période 2019-2022. Les objectifs de ce plan sont :

– de réduire de 10% la masse salariale à l’étranger d’ici 3 ans ;

– de diminuer de 33% les fonctions supports ;

– de réduire drastiquement le réseau consulaire, en particulier en Europe ;

– de poursuivre les coupes sombres au nom du principe d’adaptation et de modularité du réseau.

  • Réduction de 10% de la masse salariale

Certes, il s’agit de la masse salariale de l’ensemble des réseaux et des opérateurs (hors AEFE) sous plafond d’emplois, y compris ceux des autres administrations, mais l’objectif pleinement assumé est bien de réduire de 10% les crédits de rémunération dans chacun des ministères concernés par l’action de la France à l’étranger. Ainsi, le Département devra-t-il recruter plus de contractuels recrutés sur place (CRSP) au détriment d’emplois de titulaires, notamment dans le champ culturel et de coopération, supprimer plus de postes de fonctionnaires pour faire baisser la masse salariale et privilégier les transformations d’emplois en particulier d’agents de catégorie C au sein des réseaux. Cela n’est pas acceptable.

Réforme des IRE

En matière d’indemnités de résidence à l’étranger, si la tentative de supprimer les IRE en Europe semble aujourd’hui écartée, la CFDT-MAE rappelle cependant que le pouvoir d’achat est faible pour les agents C et leurs familles, notamment dans les pays européens. Il est inutile de vouloir calquer le classement de nos emplois sur celui d’autres ministères dont les contraintes et la charge de travail à l’étranger ne sont pas du tout de même nature.

  • La « Mutualisation » des fonctions supports est-elle un jeu de dupes pour le Département ?

Sur le papier, le projet que les ambassades deviennent des « agences de l’Etat à l’étranger » avec un plafond d’emplois unique et un budget unique de fonctionnement nous paraît aller dans le bon sens. Nous sommes d’accord aussi pour réaffirmer le périmètre de responsabilités des ambassadeurs à l’ensemble des services de l’Etat à l’étranger.

En revanche, l’objectif de supprimer jusqu’à 1/3 des emplois consacrés aux fonctions supports ne nous convient pas du tout.

Les recrutés locaux et les agents C seront les premiers touchés

Il est précisé que ce nouveau périmètre de gestion exclut les agents occupant des fonctions « métiers » qui resteront sous la tutelle de chaque ministère. Mais alors quels sont les personnels qui seront concernés par les réductions de 17% à 33% des fonctions supports ? Quelques expatriés d’autres administrations affectés sur des fonctions de gestion administrative et financière ? Non, tout porte à croire que ce seront nos collègues recrutés locaux, qu’ils travaillent pour le Département ou pour une autre administration, ainsi que les agents de catégorie C de notre ministère.

Ces mesures désorganiseront les services supports et pourront tout au plus dégager quelques dizaines d’ETP d’économies au MEAE, guère plus dans les autres administrations. D’ailleurs, on constate déjà, dans la phase de recensement actuel des opérateurs, que Business France et l’AFD refusent localement de donner des chiffres à nos postes et renvoient systématiquement à leur direction centrale.

  • Coupes sombres dans le réseau consulaire

Notre présence consulaire n’apparaît pas démesurée au regard de la taille des communautés françaises dans le monde et pourtant la principale piste d’économies recensée par « AP 2022 » se trouve être le réseau de la DFAE, sur le principe que l’activité de guichet pourrait être remplacée par des services en ligne.

Les fausses promesses du consulat « numérique » prévu à l’horizon 2020

A notre sens, si les expériences de pré-demande de documents en ligne (passeports) et le déploiement de logiciels « métiers » (France-visas, registre des Français hors de France notamment) constituent un progrès évident pour les usagers, ils ne sauraient justifier à eux-seuls de lourdes suppressions d’emplois à l’étranger. En effet, c’est bien la protection consulaire d’urgence et l’indispensable relation de proximité qui demeurent les plus chronophages, les plus complexes et les plus exigeantes pour les agents sur place.

Notre présence est sous-dimensionnée en Europe

Bien plus, en Europe par exemple, le réseau consulaire est sous-dimensionné par comparaison à ceux de nos partenaires britanniques et allemands et pourtant nos ressources à nous continuent de baisser, alors que celles du Royaume-Uni ont amorcé un virage positif.

Rapatriement de services consulaires en Europe

Pour la CFDT, le rapatriement d’activités des postes consulaires vers la France ou plutôt la centralisation en France d’activités consulaires est une mesure coûteuse qui détériore le service aux usagers sans bénéfice avéré pour le Département. A cet égard, avant tout transfert supplémentaire d’activités consulaires vers la Centrale, il nous semblerait utile de réaliser une évaluation du Bureau des transcriptions Maghreb.

L’état-civil en Suisse : 1ère victime en Europe

On sait que le rapatriement de l’état civil consulaire de tous nos postes européens est prévu d’ici 2022. Ce sera fait en septembre pour Zurich et puis suivra Genève, au plus tard en septembre 2019, et Bruxelles en dernier.

Plus globalement, on parle de transférer l’administration des Français des pays limitrophes aux collectivités territoriales frontalières. Où en est-on de ce projet que nous redoutons ?

  • « Adaptation » et « modularité » du réseau

Sur la base des plafonds d’emplois déterminés par mission et par zone géographique, les ambassadeurs devront faire des propositions de schéma d’emplois pour la période 2019-2022. La CFDT craint la poursuite de l’exercice « grands formats », l’extension des postes à gestion simplifiée (PGS) ainsi que de nouvelles transformations de postes d’expatriés en particulier ceux de catégorie C. Et en Europe, dans le réseau culturel, de nombreux postes d’expatriés pourraient être transformés. Il faut que cela cesse.

Une 3ème vague de PPD en Europe ?

Par ailleurs, la CFDT tient à souligner qu’elle s’opposera à toute proposition visant à créer des nouveaux postes de présence diplomatique (PPD), que cela soit en Europe ou ailleurs.

Quid des CRASIC ?

Enfin, la CFDT s’inquiète du devenir des centres régionaux d’assistance des systèmes d’information et de communication, notamment en Europe.

* **

Pour conclure, la CFDT ne soutient pas les mesures du plan « AP 2022 » et condamne une méthode incohérente qui a fait l’impasse sur le dialogue social.

Au nom de la CFDT-MAE, je vous remercie./.

Thèmes : Administration centrale, Agent contractuel, agents de l'état, agents titulaires, ASIC, Crasic, CTM, Indemnité de résidence, Postes à l'étranger, réunion, SESIC

CTM des 24 et 25 mai : vous pouvez compter sur la CFDT-MAE !

16 mai 2018


Graves menaces sur les indemnités de résidence à l’étranger, sombres promesses du « consulat numérique », tristes perspectives de réduction du réseau… le pire est à venir. La CFDT-MAE sera en première ligne pour vous défendre lors du prochain Comité Technique Ministériel.

Le CTM, c’est la réunion deux fois l’an du Ministre et de l’administration avec les syndicats représentatifs pour traiter toutes les questions concernant le ministère et ses agents. On y parle de l’administration centrale comme de l’étranger, et de tous les sujets qui intéressent l’ensemble des 16 500 collègues fonctionnaires, contractuels et recrutés locaux.

Grâce à votre confiance accordée lors des élections de 2014, notre syndicat – qui défend toutes les catégories de personnels et refuse tout corporatisme – a obtenu six sièges de titulaires sur un total de quinze. Ce sont eux qui, au nom de la CFDT, se prononcent sur les textes présentés pour avis par l’administration. Des experts désignés par la CFDT-MAE, en fonction des sujets à débattre, apportent leur maîtrise de champs professionnels qu’ils connaissent bien. Ces élus et experts CFDT sont des collègues titulaires de catégories C, B et A, des agents de recrutement local et des contractuels de droit public qui ont choisi de s’investir afin de porter vos revendications en matière d’emplois, de rémunérations et de conditions de travail.

C’est dans un contexte défavorable marqué par la baisse continue, dramatique et insupportable des moyens et des effectifs du Département, dénoncée par la CFDT, que nous continuerons à faire entendre notre voix – et donc votre voix – sur des questions aussi importantes que :

  • la transparence des affectations,
  • les groupes d’IRE et leur revalorisation,
  • le classement des pays ou villes par zones A, B et C,
  • la durée de temps de séjour,
  • le maintien du réseau consulaire sur fond de numérisation croissante,
  • le reclassement des primes RIFSEEP en Centrale,
  • le sort des agents contractuels de droit public,
  • l’externalisation à la DSI ou aux visas,
  • l’avenir des Instituts français et du réseau culturel et de coopération,
  • la gestion des recrutés locaux, la révision de leurs grilles ou de leurs cadres salariaux et leur intégration par la voie des concours,
  • la reconnaissance et la valorisation des parcours professionnels de tous ainsi que la progression harmonieuse des carrières.

Le menu de la prochaine réunion sera copieux. Car si la CFDT appelle à la grève pour le 22 mai prochain, c’est que les raisons de hausser le ton sont nombreuses : effectifs menacés, précarisation annoncée, ressources et rémunérations à la baisse. Nous redirons clairement que notre ministère doit avoir les moyens d’assurer ses missions et de poursuivre ses ambitions. Nous nous opposerons à toutes mesures contraires à l’intérêt du ministère et à celui de ses agents.

Nous défendrons notre futur avec vigueur et audace !

Thèmes : agents de l'état, CTM, Indemnité de résidence, Postes à l'étranger, Primes, Rémunération, réseau

La CFDT-MAE envoie une délégation au Comité régional de la CFDT Ile-de-France – 6 février 2018

7 février 2018

Forte de ses 1 350 adhérents, la CFDT du ministère de l’Europe et des affaires étrangères a mandaté deux délégués au Comité régional d’Ile-de-France du 6 février 2018, présidé par Philippe Lengrand, secrétaire général de l’union régionale interprofessionnelle (URI) de la CFDT. Sihem Aidel, jeune permanente parisienne et Thierry Franquin, secrétaire général, représentaient notre syndicat.

Décryptage de l’actualité syndicale et revendicative

Marylise Léon, secrétaire nationale, a décrypté l’actualité revendicative pour les 47 syndicats présents, et, plus spécifiquement pour ce qui nous intéresse, a rappelé l’analyse des enjeux des annonces inquiétantes faites à la presse par les pouvoirs publics sur le point d’étape du plan gouvernemental « action publique 2022 ». A cet égard, elle a apporté la grille de lecture de la confédération sur les positions et les stratégies développées par les différents acteurs concernés.

Marylise Léon (à gauche), Philippe Lengrand et Marinette Soler, secrétaire générale adjointe de la CFDT Ile-de-France (à droite)

La tenue du 49ème congrès CFDT à Rennes

Etape majeure de la vie syndicale de la confédération CFDT, le prochain congrès de Rennes accueillera, du 4 au 8 juin 2018, l’ensemble des délégués représentant les différentes structures cédétistes (syndicats, fédérations, unions régionales interprofessionnelles, union des fédérations de la fonction publique, unions des cadres et des retraités). A cette occasion, Marylise Léon co-auteure de l’avant-projet de résolution qui deviendra la feuille de route de la CFDT jusqu’en 2022 a présenté les grandes lignes de ce texte et a appelé les syndicats à l’enrichir en proposant des amendements. La CFDT-MAE y travaille déjà et soumettra des aménagements au document qui sera voté au Congrès.

Marylise Léon (secrétaire nationale) et Philippe Lengrand (secrétaire général IDF)

Les élections professionnelles dans la fonction publique

Autre enjeu majeur pour la CFDT, les élections professionnelles du 6 décembre 2018 qui concerne les trois versants de la fonction publique ainsi que la Poste, Orange et divers organismes. Les agents de l’Etat seront appelés à voter pour leurs représentants, au MEAE il s’agira des représentants aux comités techniques (CTM, CTAC et CTPE), aux commissions administratives paritaires (CAP), aux commissions consultatives paritaires pour les contractuels de droit public (CCP) et aux commissions consultatives locales (CCL) pour les recrutés locaux. La représentativité nationale de la CFDT, qui ambitionne de devenir la 1ère organisation syndicale dans la fonction publique, sera déterminée par les résultats obtenus aux différents comités techniques (le CTM au MEAE). Cinq millions et demi d’électeurs sont concernés et parmi eux, un million travaillent en Ile-de-France. Au ministère, ce sont 16 000 agents qui seront amenés à exprimer leurs votes aux différentes instances dont ils sont électeurs.

De gauche à droite : Michèle Berrada (secrétaire régionale), Philippe Lengrand et Brigitte Rizzo (secrétaire régionale)

La journée s’est terminée par la présentation des outils et des formations mis en place par la CFDT-IDF pour accompagner le travail des sections sur le terrain et aider les syndicats à obtenir la plus grande représentativité possible aux prochaines élections.

Thèmes : CAP, CCL, CCP, CFDT, CFDT-MAE, Congrès, CTAC, CTM, CTPE, Elections, fonction publique

CTM des 22 et 23 novembre 2017 – Gestion RH des recrutés locaux : des clarifications qui ne vont pas toujours dans le bon sens

16 janvier 2018

La CFDT-MAE s’est exprimée lors du comité technique ministériel sur les orientations présentées par le Département en matière de politique du personnel et, plus particulièrement, celles concernant les recrutés locaux. En préambule, nos représentants soulignent le caractère exhaustif du document de séance qui indique, très clairement, la position de l’administration sur de nombreux sujets. Toutefois, ce mérite de clarté ne va pas toujours dans le sens du progrès social souhaité par la CFDT.

  • En cas de vacance d’un poste de recrutement local, les candidatures internes doivent être privilégiées

Nous partageons l’analyse de l’administration concernant l’absence de perspectives que rencontrent les recrutés locaux (RL) dans un grand nombre de postes. Ainsi, nous sommes très favorables à ce qu’une politique de recrutement des postes occupés par des RL favorise le recrutement en interne. Nous rappelons, d’ailleurs, que le mot interne sous-entend l’ensemble du réseau du pays concerné. A cet effet, nous soulignons que la formation est un levier essentiel pour permettre à un agent d’évoluer au sein du réseau.

Nous accueillons favorablement, là encore, le fait que l’administration reconnaisse que le recrutement d’un agent représente : « un engagement sur le long terme », et cette affirmation avait, d’ailleurs, déjà été validée dans un précèdent CTM. Trop de postes à l’étranger indiquent encore, lors des recrutements ou dans la gestion courante des équipes, que le recrutement local est un recrutement précaire. Et, sur ce point, le recours aux CDD nous semble abusif dans certains postes.

  • L’évaluation professionnelle n’est pas systématique

L’administration indique que celle-ci est « systématisée » mais, selon nous, il ne s’agit que de la position de la DGA et non celle de la DGM. A ce sujet, nous souhaitons connaître l’état des lieux du réseau culturel concernant l’évaluation des agents de recrutement local, comme nous l’avons déjà demandé lors du dernier groupe de travail sur les recrutés locaux. De plus, l’administration se trompe lorsqu’elle pense que tous les postes procèdent à une évaluation annuelle et systématique des agents de recrutement local car nous constatons régulièrement que cela n’est pas le cas. Cela pose un véritable problème d’équité qui est aggravé quand cette absence d’évaluation est couplée avec la mise en place de l’attribution du mérite. En effet, nous rappelons que l’évaluation des agents est obligatoire dans tous nos réseaux, qu’elle est indissociable de l’attribution du mérite et que l’exercice doit être présenté en commission consultative locale (CCL) pour avis des représentants du personnel (RP). A l’inverse, nous saluons favorablement la prise en compte des besoins en formation des agents lors de l’évaluation mais nous souhaitons savoir si cette prise en compte est réellement effective pour les agents de la DGM.

  • En cas de licenciements, le CTPE et la CCL doivent être consultés !

Nous rappelons que toute sanction disciplinaire ne peut intervenir sans recueillir l’avis des représentants du personnel.

Nous saluons le rappel de l’article 7 du décret sur les comités techniques de proximité à l’étranger (CTPE) et donc l’obligation de consultation de cette instance en particulier concernant les mesures prises dans le cadre de la programmation des effectifs et ses conséquences dans le cas d’éventuels licenciements. Nous précisons que le comité technique « est consulté en amont à titre général » pour les mesures d’organisation et de fonctionnement des services même sans implication en matière d’effectifs. Nous rappelons également que l’examen des conditions de mise en œuvre des campagnes d’évaluation est de la seule compétence du CTPE.

Par contre, nous sommes totalement opposés au passage de la note de séance sur la consultation de la CCL dans le cadre de mesures de licenciement. En effet, ce passage précise que la CCL doit être consultée « dans la mesure du possible, dans un délai raisonnable ». Pour la CFDT-MAE, cela n’est pas acceptable. Dans pareil cas, le poste et le département doivent tout mettre en œuvre pour que la CCL se tienne dans les plus brefs délais.

  • La gestion des RL par la DRH et la DGM est loin d’être unifiée

Sur ce point, nous ne partageons pas le point de vue de l’administration. Pour la CFDT-MAE, la gestion des RL n’est pas unifiée entre ces deux directions générales. D’ailleurs, dans un groupe de travail de l’année dernière et à la suite d’une revendication portée par la CFDT, la DGM indiquait:

« S’agissant de la suggestion d’une gestion unifiée (…) Cela induirait des difficultés de gestion en centrale (effectifs insuffisants et créations inenvisageables). »

Par ailleurs, la note précise que la DGM « s’efforce » de mettre en œuvre le coût-vie. Nous rappelons que la DGM ne doit pas s’efforcer mais bien de mettre en œuvre le coût-vie en direction des agents des établissements à autonomie financière (EAF).

  • Règlements intérieurs des RL au sein des EAF : des progrès restent à faire

Cela va dans le bon sens mais le chemin à parcourir reste encore long : trop d’EAF ne sont pas encore dotés d’un règlement intérieur (RI) et parmi ceux déjà mis en place, un nombre non négligeable sont aujourd’hui obsolètes. Cela est également le cas dans le réseau diplomatique et consulaire.

  • Avenants et contrats de travail: pourquoi changer les règles ?

Nous lisons dans le document de séance que : « Le Département (DRH et DGM) considère qu’un nouveau contrat -consolidé- doit être mis en place quand il s’agit d’introduire des dispositions à caractère structurant et durable (changement de fonction) ».

Cela est surprenant car la DGM écrivait exactement l’inverse au dernier CTM :

« le recours à un nouveau contrat de travail ne se justifiait que pour une refonte totale des documents contractuels…et que les autres modifications des contrats s’effectuaient par voie d’avenant.»

Nous rappelons que le contrat de travail est le lien juridique qui relie l’employé à son employeur et qu’il n’y a aucune raison de le remettre en cause, qu’elle qu’en soit la mesure à mettre en place. Et dans la cadre de mesures nouvelles, nous souhaitons que cela s’effectue par voie d’avenant uniquement.

  • L’administration ne reprend pas l’ancienneté des agents lors d’un reclassement

Il n’y a pas ou peu de reprise d’ancienneté pour les agents bénéficiant d’une mesure de reclassement que cela soit dans le cas d’un cadre salarial ou d’une grille salariale.

Là encore, la note de séance indique une différence de traitement entre la DGM et la DGA. En effet, la DGM peut, elle, prévoir une reprise totale de l’ancienneté.

  • Coût-vie et nouveau contrat de travail

L’administration a pris la décision ne plus appliquer le coût-vie pour les personnels qui ont refusé de signer un nouveau contrat de travail dans le cadre de l’application d’une mesure nouvelle les concernant. La CFDT-MAE demande à l’administration de fournir les éléments légaux permettant l’application d’une telle mesure.

  • Dialogue social dans les postes : le bon travail de la DRH est à poursuivre

Nous réaffirmons l’amélioration du dialogue social à l’étranger. A cet égard, nous tenons à saluer le gros travail des équipes de la DRH en direction des postes. Cependant, nous constatons encore des difficultés notamment sur la maitrise du périmètre des instances locales et en particulier de la CCL. Par conséquent, la CFDT-MAE est très favorable à ce qu’un cadre règlementaire soit donné à cette instance. Cela constituerait une avancée majeure pour le dialogue social à l’étranger en évitant que cette commission ne soit perçue comme une simple chambre d’enregistrement, permettrait d’accorder plus de temps aux débats et améliorerait significativement la prise en compte des questions qui touchent l’ensemble des agents de recrutement local. En outre, cette instance pourrait avoir une compétence interministérielle, comme c’est déjà le cas pour le CTPE. Enfin, cela mettrait un terme à la non-consultation des RP en cas de recrutement, de sanction ou d’évaluation des agents du poste.

Thèmes : ADL, CCP, Conditions de travail, contrat de travail, CTM, CTPE, DGM, Dialogue social, Drh, EAF, réseau, RL

CTM des 22 et 23 novembre 2017 – Handicap : la convention FIPHFP signée in extremis le 11 décembre 2017 !

15 janvier 2018

La CFDT s’était tout au long de cette année inquiétée du retard pris par la signature de la convention avec le Fonds pour l’Insertion des Personnes Handicapées dans la Fonction Publique (FIPHFP), qui est le fonds qui « accompagne les employeurs publics dans la mise en œuvre de politiques d’inclusion professionnelle ».

A la date du comité technique ministériel (CTM) des 22 et 23 novembre 2017, cette convention qui devait couvrir les trois années 2017-2019 n’était toujours pas signée.

Rappel des interventions de la CFDT

Lors du CTM des 28 et 29 juin 2017, la CFDT avait posé des questions sur la politique du Département relative au handicap et avait interrogé l’administration par écrit puisque le point n’avait pu, faute de temps, être abordé en séance. Par courrier électronique du 5 juillet 2017, la CFDT avait demandé, compte tenu de la baisse de 30 % du FIPHFP sur les années 2017-2018-2019, si cette dernière allait être compensée. L’administration a répondu par une lettre du 3 novembre 2017 dans laquelle il est en substance indiqué que les services seraient mis à contribution et que des solutions étaient recherchées pour 2018.

Divergence de vues entre le FIPHFP et le ministère

La CFDT a relevé que le ministère s’était acquitté d’une pénalité de 20 000 € en 2015 et a demandé ce qu’il en était pour les deux années suivantes. L’administration a rendu compte d’une divergence de vues entre le FIPHFP et le ministère quant aux modalités de fixation de la somme due à ce titre. Le FIPHFP estime que seules les dépenses pour l’accessibilité exclusive du personnel en situation de handicap peuvent être prises en compte dans le calcul des sommes qu’il a vocation à  financer, mais non celles dédiées à l’accès du public, ni celles dédiées aux accès mixtes, alors que le ministère fait valoir qu’il n’est le plus souvent pas possible de les distinguer, dans la mesure où les personnes en situation de handicap et leurs collègues ainsi que le public empruntent les mêmes voies d’accès aux bâtiments. L’administration a indiqué avoir bon espoir d’arriver à un accord.

La CFDT souhaite une communication interne autour du plan triennal 2017-2019

Enfin la CFDT a demandé à l’administration si elle allait procéder à une communication interne autour de ce plan, notamment auprès des principaux intéressés, à savoir les personnes en situation de handicap, et veiller à ce que les intéressés, qui doivent renouveler leur demande de reconnaissance de la qualité de travailleur handicapé (RQTH) tous les cinq ans, ne négligent pas de la faire, car toute omission est irrattrapable.

L’administration a indiqué transmettre aux intéressés une information sur la mise en place de la nouvelle convention lorsque celle-ci aura été signée par le MEAE et le FIPHFP, assortie d’une communication sur le plan. Ces documents ont en effet été mis en ligne le 22 décembre 2017 (https://intranet.diplomatie.gouv.fr/spip.php?article5592).

Quant au rappel relatif au renouvellement de la RQTH, l’administration nous a clairement indiqué que le pôle « égalité des chances » veille à rappeler régulièrement aux agents dont la RQTH vient à expiration de bien vouloir renouveler leur demande et de lui fournir une copie de ce document nécessaire afin de pouvoir continuer à mettre en œuvre les aménagements de poste dont ils ont besoin.

Cette politique systématique de rappel a été confirmée à la CFDT par le haut fonctionnaire en charge du handicap et de l’inclusion, dont la nomination dans chaque administration a été demandée par le Premier ministre par une circulaire du 23 octobre 2017.

Lors du CTM des 22 et 23 novembre 2017, l’administration a annoncé la nomination sur ces fonctions de M. Jean-Michel MARLAUD.

Ce dernier a rencontré la CFDT-MAE le 5 décembre 2017. Lors de cette rencontre la CFDT a rappelé les axes principaux de ses revendications en faveur des collègues en situation de handicap. Compte tenu de la forte implication de notre organisation syndicale sur ce sujet majeur (recrutement, insertion et maintien dans l’emploi au MEAE), cette réunion fera l’objet d’un article dédié à venir.

Thèmes : Conditions de travail, CTM, Handicap, Handicapé, handicapés

« Page précédente
Page suivante »
  • CFDT-MAE : Qui sommes-nous ?
  • Nos instances
  • Nous contacter
  • Adhérer à la CFDT-MAE
  • Devenir permanent syndical
  • Rejoignez-nous 1/2 journée ou 1 journée par semaine en 2025

Marylise Léon présente la CFDT

Lecteur vidéo
https://youtu.be/mLU9Wqmyico
00:00
00:00
02:14
Utilisez les flèches haut/bas pour augmenter ou diminuer le volume.

NOS 5 PRECEDENTS ARTICLES

La CFDT revendique l’IFSE majorée pour TOUS les agents du SCEC (CSAC 27/03/2025)

Nos collègues de l’IFAAC méritent une meilleure prime ! (CSAC du 27/03/2025)

Revalorisation des formatrices et formateurs du SCEC

Vers un meilleur accompagnement des agents de retour en centrale (CSAC du 27/03/2025)

Qu’est-ce que la prime spéciale d’installation (PSI) ? (CSAC du 27/03/2025)

Navigation des articles

Articles plus anciens
Articles plus récents

> Toutes nos publications

Les 5 articles les plus lus

  • Liste complémentaire 2024 du concours d’Orient des Administrateurs de l’État : des collègues de grande valeur laissés sur le carreau ?1659vues
  • Affectations à l’étranger : mais où est la « Transparence » ? La CFDT-MAE interpelle pour vous l’administration…1053vues
  • L’expatriation familiale des agents du MEAE va-t-elle disparaître ?1009vues
  • La CFDT s’oppose au travail jusqu’à 22h à Nantes ! (CSAC – 27/03/2025)743vues
  • La CFDT-MAE demande la hausse immédiate des IRE de tous les contractuels de droit public du réseau diplomatique et consulaire !611vues

Archives

Liens utiles

  • CFDT Fédération Interco
  • CFDT Fonctions publiques
  • CFDT Confédération
  • SGEN-CFDT de l’étranger
  • Les amiantes du Tripode
  • Assemblée des Français à l’Etranger
  • Le Sénat au service des français à l’étranger
  • Les députés de l’étranger

Mots-clés

ADL Affectations Agent contractuel agents de l'état agents titulaires Amiante ASIC CAP Catégorie A Catégorie B Catégorie C CCL Congrès covid-19 CTAC CTM Dialogue social DSP Débats Elections Expatriation Formation GPEEC Grève Handicap Immobilier LDS Nantes Postes à l'étranger Promotions Recrutés locaux Retraite RGPP rifseep Rémunération réseau Réseau consulaire réseau culturel Santé au travail Sauvadet SCEC Section Nantes SESIC Temps de travail Télétravail

Contact

  • Courriel : cfdt.mae@diplomatie.gouv.fr
  • A Paris :
    57 bd des Invalides
    75007 Paris
  • Appelez nous au 01 53 69 37 00
  • A Nantes :
    11 rue de la Maison Blanche
    44100 Nantes
  • Venir nous voir

Suivez-nous

  • Twitter