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La CFDT-MAE poursuit son ambitieuse politique de formation envers ses représentants du personnel !

1 août 2025

Au mois de juin dernier, cinq recrutés locaux représentants CFDT du personnel (RP) venant du Cambodge, d’Espagne, du Togo, d’Égypte et de Côte d’Ivoire, ainsi que trois permanentes titulaires du Département et correspondantes de zones géographiques, ont reçu une formation à Paris consacrée au rôle des représentants du personnel et au fonctionnement et aux attributions des instances formelles de dialogue social, en particulier celles dédiées à l’étranger (CCL, CSAPE et formation spécialisée FS).

Cette action de formation assurée par la permanence parisienne, d’une durée d’une semaine, a permis de couvrir l’ensemble des thématiques abordées dans le cadre des instances de dialogue social en poste (DSP) et notamment de mettre l’accent sur la signification et la portée du document unique d’évaluation des risques professionnels (DUERP) et de définir les risques psychosociaux (RPS) pour mieux les prévenir et les combattre.  

Les nombreux échanges des militants CFDT-MAE, autour de situations vécues dans leur poste respectif, se sont avérés particulièrement instructifs et enrichissants pour le collectif et ont permis de nourrir la trame de la formation en y apportant des exemples vivants et concrets.

C’est ainsi que chaque participant est reparti de cette formation armé de pistes de réflexion et de précieux conseils pour faciliter la résolution des problématiques rencontrées au sein de leur ambassade, consulat ou institut français. En outre, des liens privilégiés se sont noués entre tous les militants présents, favorisant ainsi entre eux de futurs échanges d’information sur leurs pratiques locales de représentation du personnel et de mutualisation d’expérience en matière revendicative et syndicale.

La CFDT-MAE rappelle que la formation constitue une valeur-clé de notre syndicat, qui favorise l’autonomie et l’émancipation des élus et des adhérents et permet de contribuer à un dialogue social de qualité dans les postes par la construction aboutie de revendications locales et ceci au bénéfice de tous.

La semaine s’est terminée avec un long échange des participants avec le secrétaire général de la CFDT-MAE, portant notamment sur les problématiques – largement communes au sein du réseau – de revalorisation des cadres salariaux et de reclassement individuel des postes de travail.

D’ores et déjà, d’autres actions de formation sont envisagées par la CFDT-MAE, que cela soit dans le cadre de missions syndicales à l’étranger ou bien de visioconférences/webinaires spécifiques à destination des postes, afin de pouvoir former un maximum de collègues, qu’ils soient représentants du personnel élus ou désignés par notre organisation.

Les agents de droit public du Ministère peuvent désormais bénéficier de la retraite progressive dès 60 ans

31 juillet 2025

Dans son article daté du 12 février 2024, la CFDT-MAE vous proposait de faire le point sur le nouveau dispositif de retraite progressive pour les fonctionnaires et notamment les conditions de sa mise en œuvre, son mode de calcul et la pertinence d’y recourir, d’une manière générale, pour les agents de droit public du Ministère de l’Europe et des Affaires étrangères (en effet, les agents contractuels étant affiliés au régime général des salariés, ils bénéficiaient déjà de cette disposition).

  • L’âge d’ouverture du droit à la retraite progressive est abaissé de 62 ans à 60 ans

Les collègues de droit public du Département ayant déjà validé 150 trimestres pourront désormais demander à bénéficier dès 60 ans de ce dispositif qui permet de percevoir une partie de sa pension de retraite (de base et complémentaire) tout en exerçant une activité à temps partiel (de 50 % à 90 %) et en continuant à acquérir des droits à la retraite au titre de cette activité. La fraction de la pension de retraite qui est versée est alors égale à la différence entre 100 % et la quotité de travail à temps partiel effectuée par les agents. Ainsi, par exemple, un temps partiel de 60 % donnera droit au versement de 40 % du montant de la retraite provisoire.

  • Qui est concerné par ce rabaissement d’âge ?

Afin de tenir compte du report progressif à 64 ans de l’âge légal de départ à la retraite, deux décrets publiés au Journal officiel, le 23 juillet dernier, abaissent l’âge d’ouverture du droit à la retraite progressive à 60 ans.

Le Décret n°2025-681 du 15 juillet 2025 concerne notamment les fonctionnaires de l’État et les assurés – dont les agents contractuels – qui relèvent du régime général de retraite et le second Décret n°2025-680 s’applique aux agents des collectivités locales et aux ouvriers des établissements industriels de l’État.

Cette mesure, qui concerne aussi bien les agents de la fonction publique que les salariés du secteur privé, sera mise en œuvre à compter du 1ᵉʳ septembre prochain.

  • Transposition d’un accord national interprofessionnel signé par la CFDT

Cet abaissement de l’âge d’ouverture du droit à la retraite progressive fait suite à la signature, en novembre dernier, d’un accord national interprofessionnel (ANI) sur les conditions d’emploi et de travail des seniors négocié par les partenaires sociaux – et en premier lieu la CFDT – étendu d’abord à tout le secteur privé puis élargi à la fonction publique.

  • La retraite progressive n’est toujours pas de droit

Si l’âge d’ouverture du droit à la retraite progressive, ramené à 60 ans, est effectivement un acquis de la négociation, il n’est pas pour autant un droit opposable, ce que la CFDT regrette. Ainsi, en fonction des nécessités de service, l’administration peut toujours refuser d’accorder une autorisation de travail à temps partiel, une condition indispensable pour pouvoir bénéficier de la retraite progressive.

  • La retraite progressive est-elle une bonne solution pour les agents ? 

En diminuant la quotité de travail des agents et en leur donnant la possibilité de percevoir une fraction de leurs pensions, le dispositif de retraite progressive permet de réaliser une transition adaptée entre la vie professionnelle et la retraite à venir. L’intérêt de cette mesure dépend donc en grande partie des projets personnels et de la situation professionnelle et familiale de chacun.

Ainsi, les agents exerçant actuellement leur activité à 100%, s’ils optent pour une retraite progressive, verront leur rémunération mécaniquement baisser par rapport à un temps complet puisque leur pension sera calculée sur 75% de leur traitement. De surcroît, après la liquidation partielle, les cotisations retraite supplémentaires étant déterminées sur un temps partiel, le montant de la pension définitive sera nécessairement moins élevé (sauf cas particuliers).

A l’inverse, les agents travaillant déjà à temps partiel seront avantagés par ce dispositif de retraite progressive puisqu’ils pourront bénéficier d’une partie de leur retraite pendant leurs dernières années d’activité et qu’ils continueront ainsi à cotiser, à concurrence de leur temps partiel, jusqu’à obtenir leur retraite « complète ».

De même, la retraite progressive est profitable aux agents qui ont prévu de réduire leur quotité de travail en fin de carrière, avec comme conséquence une diminution de leur rémunération, et qui pourront compter sur ce dispositif pour recevoir un complément additionnel de rémunération sous la forme d’une retraite partielle, et ce jusqu’à l’obtention d’une pension de retraite à taux plein.

Thèmes : Agent contractuel, agents publics, agents titulaires, fonction publique d’Etat, Rémunération, Retraites, Temps de travail

La CFDT-MAE vous invite à signer la pétition intersyndicale contre les axes du futur projet de budget 2026 !

24 juillet 2025

Pétition adressée au Premier ministre par l’intersyndicale : CFDT, CGT, FO, CFE-CGC, CFTC, UNSA, FSU, SOLIDAIRES

Signez et relayez la pétition pour REFUSER ce Budget !

JE SIGNE LA PÉTITION

La CFDT, comme l’ensemble des organisations syndicales, appelle à défendre ensemble notre modèle social et la dignité au travail, en refusant ce « musée des horreurs » que représentent les axes du budget présentés par le Premier ministre François Bayrou.

Les pistes d’économie du budget 2026 dévoilées par le Premier ministre, le 15 juillet dernier, sont d’une brutalité sans précédent. Après le mouvement social inédit contre la réforme des retraites, le gouvernement nous annonce à nouveau une litanie de mesures injustes et inefficaces !

Suppressions de jours fériés, coupes dans les services publics, réforme de l’assurance chômage, gel des salaires et des prestations sociales, désindexation des pensions de retraites, doublement des franchises médicales, remise en cause de la 5ème semaine de congés payés…

Le gouvernement a choisi de faire payer les travailleuses et les travailleurs, les précaires, les retraité-es, les malades.

Ce plan s’attaque directement aux piliers du modèle républicain de notre pays, à savoir les services publics et l’ensemble des femmes et des hommes engagés, agents de l’État et de la fonction publique, qui les font vivre au quotidien. De manière très concrète, les grandes orientations budgétaires sont les suivantes :

  • un gel des dépenses de l’État, hors charge de la dette et budget des Armées ;
  • la suppression dès 2026 de 3 000 postes dans la fonction publique, à l’exception des postes d’élèves-professeurs liés à la réforme de la formation des enseignants ;
  • la réinternalisation ou la fusion d’agences et d’opérateurs publics, représentant 1 000 à 1 500 diminutions d’emplois supplémentaires en 2026 ;
  • le non-remplacement d’un fonctionnaire sur trois partant à la retraite à compter de 2027 ;
  • un gel des mesures de revalorisation générales (valeur du point d’indice, attribution de points d’indice majorés) ou catégorielles des rémunérations dans les ministères ;
  • la confirmation de la non-reconduction de la garantie individuelle du pouvoir d’achat (GIPA) des agents publics, supprimée depuis 2024 ;
  • et, comme pour l’ensemble des salariés, l’annulation de deux jours de congés, le 8 mai et le lundi de Pâques.

La CFDT et les autres syndicats dénoncent un « musée des horreurs » budgétaire et exigent un projet respectueux pour la France qui soit porteur d’espoir et de justice sociale.

Thèmes : ADL, agents titulaires, budget, CFDT, contractuels, fonction publique, fonction publique d’Etat, Pétition

Majorations familiales et supplément familial : la CFDT-MAE demande enfin des avancées !

21 juillet 2025

Les majorations familiales (MF) et le supplément familial (SF) constituent des points d’attention cruciaux pour la CFDT-MAE puisque ces deux dispositifs sont au cœur des préoccupations des collègues s’expatriant en famille. Dans ce cadre, à la suite de son intervention au CSAM de mai dernier, notre expert passe en revue ces deux avantages familiaux versés à l’étranger :

  • Les majorations familiales

Présentation du dispositif actuel

L’article 8 du Décret n°67-290 du 28 mars 1967 modifié précise les conditions d’attribution et le mode de calcul des majorations familiales qui peuvent être décomposées en deux parties distinctes :

1) Les frais de scolarité, qui comprennent le remboursement lissé sur 3 ans des droits de première inscription ainsi que le remboursement lissé sur 1 an des droits d’inscription annuelle et enfin le remboursement lissé sur 1 an des frais d’écolage, d’une part ;

2) Le forfait de 60 € mensuel par enfant, d’autre part, qui est présenté comme le pendant des prestations familiales servies en France.

Dans ce cadre, il est important de noter que :

  • le montant des majorations familiales ou « majo » dépend de l’âge de l’enfant (le système actuel définit trois tranches d’âge : de 0 à 9 ans, de 10 à 15 ans et plus de 15 ans) et d’un barème des tarifs AEFE fixé par pays ou par localité (lorsqu’il n’y a pas d’établissement du réseau AEFE, le poste désigne un établissement dit « de référence ») ;
  • pour l’administration, les majorations familiales n’ont pas vocation à couvrir les frais annexes comme les activités parascolaires, la cantine, les transports, les frais de garde, etc.

Un remboursement problématique des droits de première inscription

Les droits de première inscription peuvent être très importants dans certains pays (ils s’élèvent par exemple à 9 000 US$ pour un enfant scolarisé au collège de l’école française internationale de Panama). Les pays concernés sont donc peu attractifs pour les familles, et les agents sont, de fait, dissuadés de demander une affectation dans des postes où les frais à avancer sont conséquents.

En outre, le remboursement étant lissé sur 3 ans, les agents contraints de quitter le poste après une ou deux années, pour des raisons de santé, de problèmes familiaux ou bien encore à cause de la fermeture d’un poste, se retrouvent pénalisés puisque les frais engagés ne seront jamais intégralement remboursés. Il en va de même pour certains missionnaires (gardes de sécurité par exemple) dont les affectations durent 2 ans.

La CFDT-MAE demande un premier versement forfaitaire de 80% pour les droits de 1ère inscription

Pour un fonctionnement plus équitable, la CFDT-MAE demande que l’administration rembourse les droits de première inscription sur le modèle de l’indemnité de changement de résidence (ICR), soit un premier versement à hauteur de 80% puis un second de 20%.

Le premier versement de 80 % pourrait être, par exemple, réalisé sur une base déclarative des agents du montant des frais de première inscription réclamé par l’établissement, avant leur arrivée en poste. Le second versement de 20 % serait conditionné à la production d’un justificatif d’inscription dans un établissement scolaire. Cette formule plus juste et plus souple permettrait de rehausser l’attractivité des postes dans lesquels les frais scolaires de première inscription sont élevés.

Nos autres revendications en matière de majorations familiales

La CFDT-MAE revendique, depuis plusieurs années, que les majorations familiales soient exclues de l’assiette de calcul des retenues logement pour les agents logés par l’État et que le découpage des majorations familiales se fasse a minima en quatre groupes, afin que la petite enfance soit prise en compte de manière séparée.

  • Le supplément familial

C’est l’article 7 du Décret 67-290 du 28 mars 1967 modifié qui définit les modalités du supplément familial.

La situation actuelle

Le supplément familial correspond à un versement mensuel égal à 10 % de l’indemnité de résidence à l’étranger (IRE). Il est versé à l’agent, pacsé ou marié, dont le partenaire/conjoint n’exerce pas d’activité rémunérée ou exerce une activité pour laquelle la rémunération brute totale annuelle est inférieure ou égale à 18 667,19€ au 1er janvier 2024. Le supplément familial est également attribué à l’agent célibataire, veuf, divorcé ou séparé de corps ayant au moins un enfant à charge.

Ainsi, plus le montant du groupe d’IRE perçu est élevé et plus le montant du supplément familial augmente mécaniquement ce qui engendre des inégalités entre les agents, en fonction de leur grade voire de leur échelon et de l’emploi de vocation occupé.

Pour rappel, avant que la CFDT-MAE n’obtienne en 2002 le passage à un taux unique, il en allait de même pour les majorations familiales qui étaient liées à la catégorie des agents. C’est ainsi qu’aujourd’hui, pour une même affectation, les majorations familiales sont les mêmes pour tous les agents et dépendent uniquement de la composition familiale.

Uniformiser le supplément familial pour les agents de toutes catégories

Il convient de souligner que la composition familiale n’est pas prise en compte dans le calcul de l’IRE. Or celle-ci a pourtant un impact indéniable sur le coût de l’expatriation (le logement coûte plus cher avec des enfants par exemple). Pour la CFDT-MAE, il est donc indispensable que le supplément familial varie selon la composition familiale et non pas selon la catégorie et le grade comme c’est le cas actuellement. La CFDT-MAE demande donc que l’administration modifie ce dispositif injuste et uniformise le supplément familial, pour tous les agents quelle que soit la catégorie à laquelle ils appartiennent, en l’adossant à un groupe unique d’IRE.

* * *

Le système actuel de versement et de prise en compte des majorations familiales (MF) ainsi que les modalités d’attribution du supplément familial (SF) induisent des biais et des inégalités parmi les agents expatriés. C’est la raison pour laquelle la CFDT-MAE revendique avec force auprès de l’administration, pour toutes les catégories d’agents, des avancées sur ces deux thématiques essentielles pour une expatriation réussie en famille.

De plus en plus d’adhérentes et d’adhérents rejoignent la CFDT – Communiqué de presse du 22 mai 2025

15 juillet 2025

Par communiqué de presse, du 22 mai 2025, la confédération française démocratique du travail (CFDT), première organisation syndicale de France, a annoncé officiellement une nouvelle hausse du nombre de ses adhérents ; une progression transparente formellement certifiée par les commissaires aux comptes.

Ainsi, au 31 décembre 2024, la CFDT comptait 640 631 adhérents – dont 52 % de femmes et 48 % d’hommes – soit 6 353 adhérentes et adhérents de plus qu’en 2023, ce qui représente une augmentation de +1 % par rapport à l’année précédente.

Il s’agit en fait de la deuxième hausse consécutive après celle de l’année 2023 marquée par un vif regain d’intérêt des salariés et des agents de la fonction publique pour le syndicalisme.

Cette dynamique confirme la confiance des travailleurs et des agents publics dans la CFDT. Un syndicat de proximité qui est à leur écoute et les accompagne au plus près dans leurs revendications et leurs actions.

Une CFDT autonome, au service de ses adhérentes et de ses adhérents, forte de ses nombreuses équipes militantes dans les entreprises et les administrations, qui prône et développe un syndicalisme réformiste résolument ancré dans son époque.

Thèmes : adhérents, CFDT

Création d’une nouvelle section syndicale CFDT à Oran – 3 juillet 2025

11 juillet 2025

Les adhérents de la CFDT-MAE à Oran se sont réunis, le 3 juillet dernier à 12h30, pour tenir leur assemblée générale consacrée à la création de leur section syndicale et élire les nouveaux membres du bureau.

Ont été désignés à l’unanimité par les adhérents :

  • Secrétaire de section : Mme Douriya BOUDJELLAL ;
  • Secrétaire adjointe : Mme Nawal MEDJDOUB ;
  • Trésorière : Mme Fatima Zohra BRAHIMI ;
  • Trésorier adjoint : M. Khalil GHEMRI ;
  • Chargé de communication : M. Malik ALLAL.

Félicitations à nos cinq nouvelles et nouveaux élus !

Le syndicat CFDT-MAE leur souhaite beaucoup de succès revendicatifs et apporte tout son soutien à cette nouvelle section qui permettra d’améliorer les conditions de travail et de rémunération de l’ensemble des personnels du consulat général de France à Oran.

Thèmes : ADL, agents de l'état, agents publics, Recrutés locaux, Section syndicale

57ème congrès de la CFDT Île-de-France : félicitations à la nouvelle secrétaire générale !

4 juillet 2025

450 participants et 78 syndicats, dont une délégation de la CFDT-MAE, se sont rassemblés du 11 au 13 juin derniers à Dammarie-lès-Lys, en Seine-et-Marne (77) afin de participer au 57ème congrès de l’Union régionale interprofessionnelle (URI) d’Île-de-France.

Un temps fort pour la vie démocratique régionale

Cet événement fort de la vie démocratique syndicale francilienne a été le cadre d’échanges constructifs sur la mandature passée et à venir et a permis de débattre et de proposer des pistes de réflexion sur de très nombreuses thématiques du rapport d’activité 2021-2025 et de la résolution d’orientation 2025-2029 (transition écologique, transport, logement, service public de proximité, retraite…)

La nouvelle équipe régionale pleinement mobilisée

Outre cette nouvelle feuille de route, le congrès aura été l’occasion d’élire les membres du nouveau bureau régional, chargé de la mise en œuvre des orientations adoptées par le congrès, et parmi eux la nouvelle secrétaire générale, Badiaa Souidi.

La CFDT-MAE félicite la nouvelle secrétaire générale pour son élection ainsi que l’ensemble des membres du secrétariat régional et leur souhaite tout le succès possible au cours de cette nouvelle mandature !

Coup de chapeau au secrétaire général sortant

Le congrès s’est clôturé par un hommage et des remerciements appuyés à Diego Melchior, qui ne se représentait pas, pour tout le travail effectué depuis ces 12 dernières années, d’abord en tant que secrétaire régional puis secrétaire général adjoint et enfin à la tête de l’URI Île-de-France.

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Marylise Léon présente la CFDT

https://youtu.be/mLU9Wqmyico

NOS 5 PRECEDENTS ARTICLES

Création d’une nouvelle section syndicale CFDT à Oran – 3 juillet 2025

57ème congrès de la CFDT Île-de-France : félicitations à la nouvelle secrétaire générale !

Agents de droit local : un bilan plus que mitigé au dernier comité social d’administration ministériel !

La CFDT-MAE demande la convergence des primes IFSE pour les agents de catégories A, B et C exerçant les mêmes fonctions

Quelles sont les avancées pour nos collègues contractuels de droit public ?

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