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Gestion prévisionnelle des effectifs, des emplois et des compétences, la CFDT dévoile ses premières propositions

8 juin 2015

Le ministre a insisté, lors de son intervention au comité technique ministériel du 13 mai dernier, sur l’importance à accorder à la GPEEC (gestion prévisionnelle des effectifs, des emplois et des compétences). , qui est partie intégrante de l’exercice en cours sur le MAEDI du XXIème siècle. Nous devons « nous interroger sur les ressources dont nous aurons besoin dans 10 ou 15 ans » et nous « poser la question des missions du MAE qui, avec son nouveau périmètre, est devenu le ministère de l’action extérieure de l’Etat au service d’une diplomatie globale ».
La CFDT est intervenue sur ce thème en CTM lors des points consacrés à la gestion prévisionnelle des effectifs, dévoilant à cette occasion, une partie de sa contribution MAEDI 21.
« La CFDT comprend que la GPEEC n’est pas un exercice de pure gestion, ni un exercice comptable pour gérer la crise des moyens mais bien une stratégie de management incluant la réflexion politique du ministère qui engage notre vie commune et nos missions pour les années à venir.

1/ Sur les effectifs : Ils sont en baisse de 16% en 10 ans et la CFDT appelle à mettre un terme à cette déflation. A effectifs constants, il reste suffisamment de travail d’optimisation des ressources humaines à mener.

2/ Sur les recrutements, la CFDT rappelle
– qu’il est indispensable de privilégier les recrutements par concours, ce qui implique à terme la fin des détachements de titulaires sur des contrats et la transformation des emplois de contractuels en postes de fonctionnaires (le document fourni indique que 55% des agents du ministère ne sont pas des titulaires).
– Que, parallèlement, il convient de limiter fortement le recrutement de contractuels en CDD sur des postes sur lesquels le ministère pourrait recruter des fonctionnaires, justifiant cette limitation par l’expertise particulière demandée. La particularité de ces spécialités est cependant toute relative, si on en juge par le grand nombre de postes en jeu. Les chiffres de la fiche (figurant au dossier de séance, ndr) qu’il a été mis fin en 2014 à 465 CDD et procédé à 466 renouvellements ou créations, en CDD également, en administration centrale et dans le réseau.
On comprendra donc qu’il y a nécessité de sortir de la contrainte du cloisonnement entre les groupes G1 (titulaires et CDI en centrale), G2 (titulaires et CDI dans le réseau) et G3 (CDD et volontaires internationaux).

3/ Sur les compétences et les parcours professionnels, la CFDT note que l’administration a qualifié d’« extrêmement diverses » les compétences des femmes et des hommes du MAEDI. Ces compétences sont nécessaires pour remplir les missions attendues dans les domaines de la direction générale, de la politique, du consulaire, du développement (coopération, économie, action culturelle), de la communication, de l’administration, de l’informatique, de la logistique et du patrimoine.

La CFDT fait de cette question des filières, spécialités ou métiers, un axe fort de son action et de ses revendications. Chaque agent du MAEDI doit pouvoir trouver sa place dans le dispositif qui organise le MAEDI.
Prendre en compte cette priorité, c’est décider de transformer le cadre actuel en cadres d’emploi aptes à accueillir les agents du ministère, y compris les agents contractuels et leur permettre de remplir leur mission, puis de progresser par concours internes et promotion, tout en diversifiant leur carrière grâce à une mobilité bien organisée de cadre d’emploi en cadre d’emploi. En prenant l’exemple de la catégorie A, pour remplir cet objectif les cadres d’emploi pourraient être les suivants : cadre d’administration, cadre de développement, cadre général et cadre d’Orient.

Enfin la CFDT demande une amélioration forte de la situation des recrutés locaux. Leurs compétences doivent être reconnues par des parcours professionnels adossés à l’harmonisation de leurs conditions d’emploi, à la formation professionnelle et à la promotion interne.

Rencontre sur le thème des « managements pathogènes » avec la section CFDT-MAE de Paris

8 juin 2015

La rencontre se tiendra le lundi 15 juin 2015 en salle René Cassin au Quai d’Orsay de 13 h 00 a 14 h 00.

 

Adhérents et sympathisants sont cordialement invités à une rencontre sur le thème des « managements pathogènes », organisée par la section CFDT-MAE de PARIS, autour de MM. Philippe Chétrit et Philippe Archain, psychanalystes, travaillant sur la question de la souffrance au travail et fondateurs de l’association La Maison du Travail et du Groupement d’intérêt humain pour la santé au travail (GIHST).

Nous vous invitons à participer à cet échange avec deux professionnels attachés à comprendre la nature de la souffrance au travail induite par certaines méthodes de management et à discuter des enseignements à tirer de leur expérience.

Amitiés syndicales

Thèmes : RPS

La CFDT propose une réforme ambitieuse de la carrière des secrétaires et des conseillers des affaires étrangères

8 juin 2015

Le conseil syndical CFDT-MAE a débattu et adopté le 11 mai dernier une proposition de refonte des parcours professionnels – concours, promotion interne, cadres d’emplois, mobilité -, qui sera partie intégrante de la contribution CFDT à l’exercice MAEDI 21 souhaité par le ministre.

 

Le système actuel génère des frustrations : les secrétaires des affaires étrangères (SAE) font le même travail que les conseillers des affaires étrangères (CAE) pendant les dix premières années de leur carrière, mais, à l’issue de cette période, ils n’ont pas accès aux fonctions de management et ils se heurtent à un « plafond de verre » pendant les trente années suivantes. Les CAE viennent grossir « l’armée mexicaine » dès leur recrutement et peuvent souvent  plafonner durant la deuxième moitié de leur vie professionnelle, soit environ vingt ans. Des contradictions flagrantes existent entre l’exigence affichée de polyvalence et la survalorisation manifeste des fonctions politiques, au détriment notamment des compétences administratives et de coopération. Les agents de catégorie B et les agents contractuels issus de la Coopération n’ont pas facilement accès à des concours internes, trop académiques, qui ne tiennent pas compte des compétences professionnelles. Les femmes restent encore trop peu nombreuses au moment de passer les concours, et l’affirmation ultérieure de la parité par l’administration, lors des processus de promotion au choix, créent des tensions.

Des raisons systémiques expliquent cette situation : les déroulés de carrière initiales, tant pour les CAE que les SAE, qui ne facilitent pas les arbitrages entre vie personnelle et vie professionnelle, notamment pour les femmes ; la coopération, partie intégrante des métiers du MAEDI depuis trente ans, n’a toujours pas été prise en compte en tant que cadre d’emploi. Les concours externes et internes de SAE et CAE sont quasiment identiques et restent trop académiques, y compris les concours internes. Le concours CAE – Orient n’existe que pour affirmer les spécificités (langues, relations internationales et civilisations de zones) du métier de diplomate vis-à-vis des recrutés au sortir de l’ENA.

Afin de surmonter ces difficultés, la CFDT-MAE propose une clarification au service des spécificités et des besoins du MAEDI :

1- En agissant sur les cadres d’emploi et les concours de SAE :

  • Formalisation de quatre cadres d’emploi : cadre d’administration, cadre de développement (coopération et économie), cadre général et cadre d’Orient,
  • Introduction d’un nouveau concours de SAE – cadre de coopération et maintien de l’intégration directe au cadre d’administration au sortir des IRA,
  • Adaptation des concours internes de SAE, élargis aux quatre cadres d’emploi, afin qu’ils soient moins académiques et plus professionnels (notamment pour les cadres administratif et de développement), donc plus incitatifs pour les agents de catégorie B et les contractuels de la coopération,
  • Maintien des spécificités actuelles des concours externes du MAE pour les SAE (langues étrangères, diversité des matières, difficulté des épreuves, …),
  • Formation initiale des SAE à l’IDC plus longue (un an) et structurée autour d’un enseignement professionnalisant, comprenant la formation consulaire,
  • Règles d’accession au principalat inchangées (examen professionnel & promotion au choix).

2- En modifiant l’accès au corps de CAE et les règles de mobilité

  • Suppression du concours externe de CAE Orient et suppression de l’intégration directe au grade de conseiller par voie d’ENA,
  • Maintien du concours interne de CAE, élargi aux quatre cadres d’emploi et non plus au seul cadre d’Orient, moins académique et plus professionnel,
  • Règles d’accession au grade de conseiller inchangées (concours interne & promotion au choix),
  • Critères de mobilité (au minimum dans deux cadres d’emploi en plus du cadre d’origine) pris en compte dès le grade de SAE, tant pour l’accès aux fonctions de management que pour la promotion au grade de conseiller hors-classe.

La suppression de l’accès direct au grade de CAE permettra :

  • L’adaptation des effectifs des corps de catégorie A, A+ et A++ aux postes d’encadrement et la facilitation de leur gestion dynamique,
  • Des carrières plus linéaires, durant lesquelles la polyvalence, la compétence et les capacités managériales seront plus et mieux évaluées, donc réellement valorisées,
  • La suppression de la dichotomie SAE / CAE en début de carrière, aussi artificielle que génératrice de frustrations,
  • La possibilité de travailler plus en profondeur sur les concours externes et internes de SAE, afin qu’ils répondent mieux aux exigences et aux spécificités du MAE, notamment pour les langues étrangères, dites « rares ».

La refonte des concours externe et interne de SAE autorisera :

  • L’affirmation des spécificités des concours du MAEDI (langues, civilisations de zone, relations internationales, …) comme base à une formation professionnelle à l’IDC, qui intégrerait la formation consulaire,
  • L’élargissement des profils recrutés, tant en externe qu’en interne, pour enfin correspondre à l’ensemble des métiers du MAEDI,
  • Des concours internes de SAE plus professionnels, donc plus incitatifs et ouverts pour les catégories B et pour les contractuels,
  • La reconnaissance accrue des compétences spécifiques aux métiers de la coopération et la valorisation des cadres d’emploi administration et développement,
  • L’arrêt progressif du recours abusif à des personnels précaires (CDD) pour effectuer des tâches et missions pérennes confiées au MAEDI, par la constitution progressive d’un véritable corps de SAE du cadre de développement

Il en résultera également une meilleure visibilité en termes de perspectives et de progression de carrière avec:

  • Des candidates plus nombreuses au concours externe de SAE du fait de la possibilité pour nos collègues féminines d’arbitrer plus sereinement entre vie personnelle et vie professionnelle, notamment dans la première partie de leur carrière,
  • La possibilité pour tous les SAE de se préparer progressivement à prendre des responsabilités toujours plus importantes (formation continue, sanction de l’examen professionnel SAEP ou du concours interne CAE, promotion),

La nécessité  de réellement développer les champs de compétences (mobilité dans au moins deux cadres d’emploi  en plus du cadre d’origine), au travers des alternances entre postes à l’étranger et administration centrale

Thèmes : Catégorie A

Vers un gros coup de rabot sur les prestations d’action sociale ? 26 mai 2015

4 juin 2015

La commission permanente sur les prestations sociales est une création récente, suite aux demandes formulées par les organisations syndicales. Ce groupe de travail est présidé par la déléguée pour la politique sociale (DPS), accompagnée des assistant-e-s de service social, en visioconférence avec Nantes. La CFDT est représentée par Vanessa Reznik et Thierry Duboc.

Les prestations d’action sociale dans le collimateur de la DGAFP

La DPS précise d’emblée, de manière énigmatique voire inquiétante, que ce groupe de travail n’a d’objectif que de « sécuriser les prestations sociales accordées par le MAEDI ». La direction générale de la fonction publique (DGAFP) a organisé des réunions de réflexions sur les prestations sociales ministérielles et interministérielles. Le dossier concernant ces discussions se trouve actuellement à de la direction de la sécurité sociale (DSS)…
La CFDT demande des précisions sur ce que la DPS veut dire exactement par « sécuriser les prestations sociales » ? Sont-elles menacées de taxation ?
Réponse : La ministre Mme Lebranchu a replacé ces discussions au niveau du Conseil commun de la fonction publique, incluant les trois versants de la fonction publique. A l’heure actuelle, dans le secteur privé les prestations sociales sont assujetties à des cotisations sociales. La loi n’est, actuellement, pas appliquée aux agents de l’Etat. En mars 2015, les organisations syndicales (OS) nationales ont été invitées ont été informées d’un projet de circulaire. Seules quelques prestations ponctuelles seront exemptées mais celles liées aux gardes d’enfants ou la prestation rentrée scolaire (prestations les plus versées pour le MAEDI) seraient assujetties aux charges salariales et patronales (l’employeur devra payer l’URSSAF et les agents seront prélevés de la CSG et RDS). Le projet de circulaire est actuellement à l’arrêt et le conseil commun de la fonction publique devra statuer.

Aides et secours

La DPS confirme que les associations reçoivent bien une aide financière. L’ADOS accorde les prêts et l’Amicale d’entraide accorde les aides financières. La CFDT s’étonne du peu de visibilité sur les secours inférieurs à 500€ et demande des précisions sur les montants accordés et sur les motifs de ces prêts.
La DPS indique que la majorité de ses prêts sont attribués pour des secours alimentaires, le paiement d’honoraire d’avocat, des découverts bancaires et des dettes. Le montant de ces prêts se situe aux alentours de 490 € (juste en dessous du seuil de 500€ au-delà duquel les administrateurs de l’ADOS sont consultés…). Dans un premier temps, les assistantes sociales évaluent l’urgence « immédiate » mais ces secours d’urgence sont souvent complétés par d’autres secours ou prêts dans le cadre d’un suivi par les assistants sociaux.

Aide ménagère à domicile

Cette aide financière versée par l’Amicale d’entraide aux retraités du MAE ou à leurs ayants-droits, est accordée en fonction du quotient familial. L’Amicale prend en compte un pourcentage de l’aide-ménagère à domicile. La prise en charge par l’APA (Allocation personnalisée d’autonomie) d’une auxiliaire de vie ne peut pas être associée à celle d’une aide-ménagère. Cette aide est surtout accordée à des retraités qui ont souvent des carrières en pointillés. Cette aide-ménagère à domicile a été supprimée de 2011 à 2013, rétabli en 2014 mais nos retraités ne peuvent pas bénéficier de ses aides ménagères à domicile car les barèmes utilisés par la CNAV ne sont pas adaptés à nos agents publics dont les retraites sont en moyenne supérieures à celles des retraités du régime général.

Prêt installation logement/prêt amélioration de l’habitat

La DPS rappelle que ces prêts sont soumis à condition de ressources. Il appartiendra à l’Association des œuvres sociales de revoir sa doctrine et éventuellement de diminuer le plafond de ressources. 8 prêts ont été accordés en 2014, 6 pour des agents C, 1B et 1A

Petite enfance plus rose à Paris qu’à Nantes ?

Le MAEDI ne refuse plus aucune candidature pour les crèches en région parisienne. Ces crèches sont proposées près du lieu de travail ou près du domicile de l’agent. Il n’existe pas énormément de places de crèches dans Paris car la plupart des fonctionnaires habitent en banlieue parisienne. Pour l’année 2014/2015, 86 candidatures ont été instruites, 27 enfants ont été accueillis, les 59 cas restants ont choisi un autre mode de garde. A noter toutefois que le placement en crèche en cours d’année reste compliqué. Les micro-crèches (moins de 10 enfants) sont très appréciées. Le tarif du système de micro crèche ou de crèche collective est à coût identique pour les agents.
A Nantes, les places en crèche restent plus compliquées à obtenir que de trouver une assistante maternelle auprès de la mairie. Il y a plus d’assistantes que d’enfant à garder. Pour le placement en crèche, les enfants nantais sont inscrits auprès de la SRIAS (16 places) et la responsable DPS (antenne Nantes) indique qu’aucun agent ne s’est présenté dans son service pour indiquer qu’il n’avait aucun moyen de garde pour son enfant.
La DPS signale avoir reçu par mail des retours positifs concernant la problématique des crèches dans son ensemble.

Fiche prestations : un grand flou à dissiper d’ici le comité d’action sociale de novembre

La DPS propose une revalorisation du quotient familial pour 2016 pour stopper le glissement des tranches inférieures vers des tranches supérieures depuis deux ans.
La DPS évoque également, mais de manière très allusive, toute une série de modifications dans les prestations d’action sociale.
La CFDT fait valoir que toutes les propositions de l’administration sont fort intéressantes mais que cette rubrique est trop floue, faute d’exposé des motifs, de vision sur l’économie d’ensemble du projet et sur les besoins des collègues, et d’indication sur les moyens financiers disponibles.
Les membres de la commission approuvent le principe d’un sondage auprès des bénéficiaires de l’action pour déterminer leurs attentes en matière de prestations sociales. Ils conviennnent que les propositions de modifications doivent faire l’objet d’une étude évolutive sur chaque prestation et que cette commission permanente devra se réunir au mois d’octobre, en tout état de cause avant le comité d’action sociale du 17 novembre 2015, pour discuter de l’évolution des prestations./.

Thèmes : Prestations

Lettre du syndicat n°252

1 juin 2015

LDS spéciale charte du temps.

Concours de la filière des systèmes d’information et de communication : copie à revoir

29 mai 2015

La CFDT est intervenue lors du comité technique ministériel du 13 mai dernier pour faire remarquer que le projet de réforme des concours d’attaché et de secrétaire des systèmes d’information et de communication ne tenait pas compte de l’évolution des missions confiées aux agents des corps SIC.

« Autant les objectifs de la réforme des concours ASIC et SESIC sont partagés par la CFDT, autant les points principaux décrits dans la note sont inquiétants dans le sens où ils montrent une méconnaissance de ce que sont devenues les missions quotidiennes des agents SESIC et ASIC.

  • Suppression de l’épreuve de culture générale pour les ASIC.

Cette épreuve n’existe pas dans l’actuel arrêté d’organisation du concours. L’épreuve en question est à la fois une épreuve technique qualifiante et une épreuve permettant d’apprécier la qualité et les motivations des candidats. Aucune question de « culture générale » n’y est posée.

Cette épreuve mériterait d’être au contraire dédoublée afin que les membres du jury puissent bénéficier du temps nécessaire pour apprécier le parcours, la qualité et les motivations des candidats. Un oral technique qualifiant séparé permettrait lui de s’assurer que les candidats possèdent toutes les qualités techniques requises.

  • Suppression de l’épreuve facultative de questions juridiques.

Alors que certains précédents rapports de jury demandaient que cette épreuve soit rendue obligatoire, il est projeté ici de la supprimer. La réglementation associée aux télécommunications, à la protection du secret de la défense nationale et à la commande publique est pourtant prégnante dans les fonctions quotidiennes des ASIC et SESIC.

  • Abaissement du coefficient de l’épreuve de note de synthèse pour les ASIC et SESIC

Le projet de  diminuer le coefficient de la note de synthèse est inquiétant. Cette épreuve est, en effet, la seule permettant au jury de s’assurer de la capacité des candidats à structurer leurs idées et à s’exprimer à l’écrit dans un français correct.

  • Introduction d’une épreuve de mathématique appliquée.

Cette épreuve, très théorique, ne nous apparait pas être un outil de sélection efficace. Enseignées rapidement en début  de cursus universitaire ou d’école d’ingénieur, les mathématiques appliquées n’ont concrètement aucune application dans les missions actuelles et futures des ASIC et SESIC. Les épreuves « mineures » et remplacées par les mathématiques appliquées sont fondamentales, elles permettent de s’assurer que les futurs lauréats ont des connaissances étendues sur les différents domaines de l’informatique et donc qu’ils seront en capacité d’exercer dans les différentes missions de la DSI.

Les missions des ASIC et SESIC ont fortement évolué depuis une quinzaine d’années. Ce projet n’en tient pas compte, bien au contraire. La CFDT souhaite donc que la réforme des épreuves des concours de la filière SIC soit abordée lors du groupe de travail DSI.   

Thèmes : ASIC, concours, SESIC

La Charte du temps du MAEDI est négociée et votée en comité technique ministériel

29 mai 2015

1df239275e5f6d67099a254b5b97e683La Charte du Temps a été approuvée au CTM du 13 mai dernier par l’ASAM, la CFDT et la CFTC, et ce n’était pas une mince affaire ! En effet, le texte initialement présenté par l’administration faisait l’impasse sur des revendications qui, pour la CFDT, constituaient des lignes rouges : règles précises de fermeture des bureaux le soir, évaluation de l’application de la Charte, prise en compte de la problématique du temps de travail des expatriés et des recrutés locaux, droit à la déconnexion…
Aux termes de plusieurs échanges en séance avec l’administration, dont il faut saluer ici l’esprit constructif, et avec l’appui de la CFTC, la CFDT a fini par obtenir un texte de compromis reprenant l’essentiel de ses demandes (voir nos amendements soulignés dans le texte ci-dessous), ce qui permettra que cette Charte du Temps reste un document vivant, qui ouvrira la voie à d’autres avancées.
La CFDT a demandé au directeur général de l’administration de soumettre ce document à la signature des organisations syndicales.

Eléments d’introduction

L’amélioration de la gestion du temps représente un défi majeur pour le Département, à la croisée d’enjeux multiples : préservation de l’équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle, promotion de l’égalité professionnelle, amélioration de la qualité de vie au travail, dans une perspective d’accroissement de notre performance collective.
Dans un contexte où les charges pesant sur chacun d’entre nous sont importantes, il est indispensable de poursuivre nos efforts pour repenser nos méthodes de travail, faire évoluer nos comportements et notre culture, sans remettre en cause notre capacité à nous mobiliser.
Si des progrès significatifs ont été accomplis depuis plusieurs années, il reste du chemin à parcourir. En particulier, il nous faut rompre avec le cliché selon lequel notre temps de présence au travail et une disponibilité sans aucune limite sont le reflet de notre engagement et de notre valeur professionnelle.
La présente charte a pour objet de promouvoir un ensemble de principes et de bonnes pratiques dans le cadre de l’organisation du travail et des relations entre tous les agents au sein du Département, qu’ils soient fonctionnaires ou contractuels de droit public français ou de droit local, en France comme à l’étranger
Elle comporte cinq chapitres :
– Exemplarité des encadrants
– Adéquation entre ressources disponibles, volume de travail et objectifs à atteindre
– Respect de l’équilibre entre vie privée et vie professionnelle
– Professionnalisation de la conduite des réunions
– Du bon usage de la messagerie électronique
Les encadrants auront une responsabilité particulière dans sa mise en oeuvre, mais c’est l’engagement de tous qui permettra qu’elle soit un succès et d’atteindre notre objectif d’une meilleure conciliation entre vie professionnelle et vie personnelle, élément central de la politique de ressources humaines du Département.
Soumise au comité de direction, au comité technique ministériel et au comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail, la charte est applicable dès sa signature et peut être invoquée par chaque agent.
Elle est affichée en tout endroit utile, diffusée à l’ensemble des agents et mise en ligne sur Diplonet. La mise en oeuvre de la charte de temps fera l’objet d’une évaluation régulière au moyen d’indicateurs statistiques définis dans le cadre du dialogue social permettant d’en mesurer la portée pratique, notamment à l’étranger. Un rapport sera présenté annuellement au comité technique ministériel. Au vu de l’évaluation de la mise en œuvre de la charte dans les postes, la question de la compensation des astreintes et heures supplémentaires pourra faire l’objet de dispositions complémentaires.

  1.  Exemplarité des encadrants

Si la gestion du temps de travail est une responsabilité partagée à tous les niveaux de la hiérarchie, le rôle des encadrants dans ce domaine est déterminant. Ils doivent incarner, par leurs comportements, l’esprit d’équipe, le respect, les qualités d’écoute, de réalisme et de professionnalisme qu’ils souhaitent inspirer à leurs collaborateurs.

1. Valoriser dans leurs discours et faciliter par leurs pratiques l’équilibre de vie et le bien-être au travail.
Les horaires tardifs, hors circonstances particulières, sont en général le signe d’une mauvaise organisation personnelle ou collective du travail et ne sauraient constituer un élément d’évaluation positif. Au-delà de la gestion des horaires au quotidien, les encadrants veillent, pour eux-mêmes et pour leurs collaborateurs, à la prise régulière des jours de congé et de récupération. Ils montrent l’exemple d’horaires équilibrés à leur équipe.
2. Prendre en compte les particularités de chacun tout en veillant à la cohésion d’équipe.
Les encadrants sont les promoteurs d’une culture managériale ouverte et respectueuse des contraintes et de la vie privée de tous les agents. Ils sont les premiers garants de l’égalité professionnelle. Leurs choix organisationnels ne doivent pas avoir pour effet d’isoler ou stigmatiser les agents qui pourraient avoir des contraintes spécifiques.

2. Adéquation entre charge de travail, ressources disponibles et objectifs à atteindre

3. Planifier au maximum les tâches en anticipant des délais réalistes et en identifiant les urgences et les priorités.
Une organisation du travail bien structurée est un préalable indispensable à l’installation d’un climat de travail serein et efficace. Elle relève de la responsabilité des encadrants qui, au sein de leur équipe et en tenant compte du contexte, identifient les tâches à accomplir, les priorisent, les planifient et les répartissent entre les collaborateurs. Des délais réalistes pour la réalisation des travaux sont fixés par la hiérarchie en accord avec les agents.
4. Favoriser le fonctionnement en binôme.
Le travail en binôme permet une répartition des tâches comme des responsabilités, et donc de la charge de travail. Il constitue une réponse au principe de continuité du service public. Ce mode de fonctionnement revient à désigner, pour le suivi de chaque dossier, un agent responsable et un agent tenu régulièrement informé de son évolution afin d’être en mesure de le suppléer en cas d’absence. Il s’applique si possible aux encadrants qui sont encouragés à désigner un adjoint dans l’exercice de leurs responsabilités. A condition d’en avoir défini les règles au préalable, le fonctionnement en binôme peut également se traduire par un travail en commun sur tout ou partie des dossiers, voire à l’interchangeabilité des agents, lorsque les circonstances le permettent.
5. Utiliser l’entretien professionnel pour évoquer toute question relative à la gestion des priorités, la délégation, la charge de travail, la disponibilité des ressources nécessaires.
L’entretien professionnel annuel constitue une occasion privilégiée d’aborder, au-delà des résultats et des perspectives de chacun, tout sujet relatif à l’exercice du travail quotidien notamment l’organisation du service et les méthodes de travail.

3. Respect de l’équilibre entre vie personnelle et vie professionnelle

6. Préserver des horaires raisonnables, y compris pour les cadres.
Le principe des horaires variables s’applique à l’administration centrale (règlement intérieur du 19 novembre 2012) et dans les postes dont le règlement intérieur le prévoit. Les bornes horaires de référence des services (en général comprises entre 08h00 et 20h00) doivent être définies en concertation avec l’ensemble des agents. Elles tiennent compte des spécificités de chaque service tout en permettant de concilier vie personnelle et vie professionnelle. Pour ne pas allonger inutilement la journée de travail, ces horaires doivent naturellement être respectés et la pause méridienne ne doit pas être excessive. En guise de signal, l’éclairage des différents sites sera éteint tous les soirs à 20h00 au plus tard. Les agents qui restent sur leur lieu de travail après l’heure de fermeture signalent leur présence à l’administration.
7. Anticiper les dépassements d’horaires liés à des pics d’activité et informer les agents concernés.
Si certaines situations imprévisibles peuvent entraîner des horaires tardifs (crise, commande urgente par exemple), d’autres peuvent et doivent être anticipées, et le service organisé en conséquence. En outre, une information régulière et en amont est essentielle pour permettre aux agents de trouver une organisation personnelle pour les périodes où ils seront plus mobilisés que d’ordinaire. Les astreintes et, dans la mesure où elles s’avèrent strictement nécessaires, les permanences, répondent au principe de continuité du service public. Elles seront planifiées pour tenir compte des spécificités des services et des réalités locales justifiant la mobilisation des agents en dehors des horaires habituels. Les modalités de compensation des astreintes, permanences et heures supplémentaires effectuées par les recrutés locaux sont définies, au terme d’un dialogue social, par une disposition figurant dans le règlement intérieur des recrutés locaux.
8. Programmer les déplacements et missions afin de limiter leur impact sur l’organisation professionnelle et personnelle des agents.
De la même façon que pour les pics d’activité prévisibles, les déplacements et missions doivent être anticipés au maximum et les agents informés suffisamment à l’avance pour ne pas être mis en difficulté sur le plan personnel ou familial
9. Planifier les réunions dans la plage horaire 9h-18h, en évitant les moments où l’on sait que certains participants seront absents.
Sauf urgence ou circonstances particulières, les réunions doivent être organisées à des horaires compatibles avec l’exercice de responsabilités familiales ou d’autres contraintes personnelles. La programmation d’une réunion les jours de temps partiel, de congé ou de mission doit être évitée dans toute la mesure du possible.
10. Définir l’heure à partir de laquelle les commandes reçues seront traitées le lendemain
Pour les commandes tardives ou de dernière minute, les services demandeurs seront invités, sauf situation d’urgence avérée, à patienter jusqu’au lendemain pour permettre aux agents de respecter les horaires arrêtés dans leur direction. Les services sont incités à planifier, autant que faire se peut, les commandes avec les demandeurs (cabinets, autres administrations) pour établir un plan de charge équilibré.
11. Limiter strictement les sollicitations en dehors des horaires de travail
Les outils de mobilité (token et itineo) doivent être attribués aux agents en ayant exprimé le besoin. Ces outils offrent aux utilisateurs une plus grande souplesse, voire une certaine liberté, dans l’organisation de leur journée de travail. Pour autant, ils ne doivent pas conduire à un effacement de la limite entre vie professionnelle et vie privée. Ils ne doivent pas donner lieu à des échanges de fond sur les dossiers en soirée ou le week-end. L’octroi d’outils de mobilité ne doit pas empêcher un droit des agents à la déconnexion en dehors des horaires de travail. Ce point pourra faire l’objet d’une attention particulière dans le rapport d’évaluation présenté au CTM.
12. Organiser la prise de ses jours de congé et veiller à la prise de congé de ses collaborateurs
La prise des congés est un droit, mais elle s’impose également à tous pour des questions de prévention des risques psychosociaux et plus généralement de santé publique. Elle doit être anticipée et organisée en tenant compte des variations d’activité des services et dans le respect de la règlementation applicable.

4. Professionnalisation de la conduite des réunions

Les réunions sont une occasion privilégiée pour les services de partager des informations, de mettre en place des stratégies et d’aboutir à des décisions. Elles sont par définition consommatrices de temps. A cet égard, il convient de respecter quelques règles pour rentabiliser au mieux l’exercice.
13. Indiquer une heure de début et de fin et privilégier les réunions courtes
Les réunions ne devraient en général pas durer plus de 1h30, et en tout état de cause être calibrées en fonction de leur objet. En cas de réunion multi-thèmes, celle-ci pourra être scindée en plusieurs parties clairement indiquées dans la convocation afin de ne mobiliser les différents participants que le temps nécessaire.
14. Organiser des réunions efficaces.
Les réunions répondent à un besoin précis et doivent être maîtrisées pour économiser le temps des participants. La convocation, adressée suffisamment à l’avance, comprend un ordre du jour détaillé et n’est envoyée qu’aux services dont la participation est indispensable. Les organisateurs veilleront à transmettre les éventuels documents préparatoires et préciseront si des documents doivent être apportés en séance. Un compte-rendu comprenant un relevé de décisions ainsi qu’une identification des personnes responsables sera systématiquement rédigé et soumis aux différents participants dans un délai rapide.
15. Respecter les règles élémentaires de bonne conduite
La ponctualité s’impose à tous, de même qu’il est naturel d’avertir si l’on sait qu’on doit arriver en retard ou partir en avance. La réunion doit commencer sans attendre les retardataires. Durant la réunion, il est exclu d’effectuer d’autres tâches en parallèle, par exemple répondre au téléphone, consulter ou rédiger ses messages, ou lire des documents sans rapport avec l’objet de la réunion.
16. Favoriser l’usage des audio et visioconférences
Les audio et visioconférences permettent d’éviter la perte de temps et d’énergie liée à un déplacement. Elles offrent la possibilité d’une collaboration accrue en organisant plus fréquemment et facilement des rencontres entre agents des différents sites.

5. Du bon usage de la messagerie électronique

La messagerie électronique constitue un outil à part entière de l’environnement professionnel. Le volume des correspondances échangées, en constante augmentation, appelle quelques règles de bonne conduite pour une utilisation raisonnée de cette ressource.
17. S’imposer rigueur et précision dans sa communication
L’objet du message doit être clairement identifié à l’aide de mots-clefs et préciser, assorti si besoin d’un délai, s’il s’agit d’un message pour information, avis ou action. Autant que possible un même message ne doit porter que sur un seul sujet. Il doit être rédigé avec clarté et concision de sorte à ce que sa compréhension soit aisée et rapide. Le caractère « TTU » ou « signalé » d’un message doit être indiqué à bon escient. Pour éviter d’engorger inutilement les boîtes des destinataires, les expéditeurs veilleront à la pertinence de l’adressage et du « répondre à tous ».
18. Ne pas céder à l’instantanéité du courriel
L’utilisation de la messagerie électronique, devenue incontournable, présente de nombreux avantages mais aussi des inconvénients : elle peut induire du stress, une surcharge informationnelle, une dépersonnalisation des relations, mais surtout une forme de dépendance ayant pour effet d’interrompre constamment le travail. Pour enrayer ce phénomène, il est important de réguler sa correspondance, déconnecter régulièrement Outlook, réserver des plages horaires pour consulter ses messages et y répondre, favoriser le face à face ou le téléphone.
19. Gérer les pièces jointes
D’évidence, les pièces jointes doivent être en rapport avec l’objet du message. Lorsqu’elles sont nombreuses, elles doivent également être résumées dans le corps du message. Les documents confidentiels ou sensibles ne doivent être transmis que par messagerie sécurisée ou via le portail Diplomatie. Pour ne pas saturer les boîtes de messageries, les pièces jointes volumineuses seront envoyées à l’aide de l’outil Colimatic. Les expéditeurs veilleront également à choisir un format utilisable par le plus grand nombre.
20. Eviter les envois en dehors des heures de référence du service
Envoyer ses messages en dehors des horaires de référence risque d’induire chez le destinataire un sentiment de culpabilité ou d’urgence à devoir répondre. Les courriels seront de préférence préparés en mode brouillon et envoyés pendant les heures habituelles de travail.

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