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Fusion SCAC EAF

L’état-major de la DGM rencontre les syndicats

27 avril 2012

logo_campus_franceLe directeur général de la mondialisation, entré en fonction en janvier dernier, la chef de la mission du réseau, le chef du service des programmes et du réseau et la directrice des politiques de mobilité et d’attractivité ont rencontré les organisations syndicales le 25 avril, un mois avant le comité technique ministériel pour faire le point sur la réforme des outils d’influence : fusion des services de coopération et d’action culturelle (SCAC) et des établissements à autonomie financière (EAF) et création des opérateurs.

La DGM est fière de sa fusion SCAC-EAF mais reste imprécise sur l’harmonisation des situations pour les recrutés locaux.

La réforme a atteint son rythme de croisière avec 80 fusions réalisées sur les 85 prévues. L’objectif est pratiquement réalisé. L’expérience est présentée comme très positive, principalement sur les postes à grand réseau (Maroc, Allemagne, Espagne…). Selon le DGM, la réforme permet de profiter d’effets de levier financiers importants, de créer des synergies entre les différents sites. Elle élargit la marge d’action des EAF grâce à une meilleure articulation entre les opérateurs. La réforme a permis d’améliorer l’efficacité et de réduire les cloisonnements au sein du réseau.

Le DGM estime que la réforme s’est mise en place sans difficulté majeure pour les personnels mis à part quelques postes où la situation de départ était complexe. La réforme se traduit par une unicité de gestion et une harmonisation des grilles de rémunération des recrutés locaux. La fusion permet de profiter de possibilités de progression de carrière nouvelles, notamment par la mobilité à l’intérieur d’un pays, au sein d’un établissement unique.

La DGM dispose pour l’instant d’une certaine souplesse dans la gestion des personnels des centres et instituts. La totalité des emplois prélevés sur les SCAC a été basculée sur les EAF dont le plafond d’emploi n’est pas soumis aux contraintes de la RGPP. La réforme n’a donc pas engendré de suppressions de postes.

Lors des redéfinitions des organigrammes, l’importance du poste de secrétaire général d’institut a été renforcée et des postes ont été créés. La complexité de la gestion des instituts appelle des compétences particulières qui sont devenues essentielles au fonctionnement des EAF, sans que cela entraîne pour autant une revalorisation de la rémunération de ces agents.

La CFDT fait remarquer que cet exposé n’est pas conforme aux usages du dialogue social, qui veut que les syndicats disposent d’un minimum de documents de séance. Comment pouvons-nous nous prononcer sur cette présentation idyllique de la situation ? Rien n’est chiffré sur l’harmonisation des grilles, ni sur le cadre général donné à la politique du personnel dans les EAF, laissés trop souvent dans le flou et improvisant les mesures en fonction des données locales et de moyens à disposition. Nous réitérons notre demande d’un point complet sur la situation du personnel de recrutement local dans le réseau, incluant les chiffres sur les harmonisations salariales et en terme de couverture sociale. Nous regrettons l’absence systématique des représentants de la DGM lors des discussions sur la gestion des recrutés locaux avec la DRH.

Le DGM assure qu’aucun recruté local n’a subi de baisse de revenus en raison de la fusion entre les SCAC et les EAF. Il émet le souhait que les agents des EAF soient gérés de la même manière que ceux des ambassades. Ce travail est en cours avec RH3 mais prend du temps et n’a pas pu être réalisé avant la mise en œuvre de la réforme.

Au constat partagé par une majorité des représentants du personnel d’une coopération en berne, d’un manque de visibilité et d’une perte de moyens décriés par les partenaires étrangers, le DGM répond que la fusion SCAC/EAF n’est à l’origine ni de ce manque de visibilité de l’activité ni d’une baisse des moyens. Les compétences transférées aux EAF concernent la coopération culturelle uniquement, la coopération technique restant du ressort des SCAC. On peut effectivement constater une baisse des moyens consacrés à la coopération technique, mais il s’agit surtout d’un transfert de compétences vers l’Agence française de Développement. Le DGM est conscient qu’il convient à présent de stabiliser les acteurs dans leurs missions et de réassurer les SCAC dans leurs fonctions.

Les personnels de CampusFrance ne partagent pas la vision idyllique de la tutelle La directrice des politiques de mobilité et d’attractivité explique que l’installation de l’opérateur est sur les rails. Une nouvelle direction est nommée et un organigramme transitoire est en cours d’élaboration, qui intègre les 22 personnes transférées du CNOUS pour la gestion des bourses. L’opérateur présente un projet de budget à l’équilibre, approuvé par les deux tutelles et qui traduit une volonté de maintien de la qualité de l’accueil des boursiers étrangers, notamment dans les résidences universitaires.

Un militant CGT de CampusFrance ne semble pas partager cet enthousiasme et déclare que, malgré la bonne volonté affichée, le dialogue social au sein de l’opérateur, né de la fusion d’Egide et de CampusFrance, aux histoires, aux missions et aux personnels différents, reste inexistant. Les personnels ne sont ni informés, ni consultés sur le projet d’entreprise, sur le futur organigramme, sur la grille de rémunération et sur les contrats de travail qui seront proposés aux salariés.

L’expérimentation du rattachement des EAF à l’Institut Français doit être menée « sans a priori » Depuis le 1er janvier, 12 pays sont en phase d’expérimentation. Des réunions régulières sont réalisées avec les conseillers de coopération et d’action culturelle (COCAC) concernés. L’expérimentation est menée sur 12 mois et sera évaluée au printemps 2013 pour permettre de décider de la généralisation ou de l’abandon du basculement des EAF dans l’EPIC. Les critères d’évaluation ont été transmis aux parlementaires qui devront juger de la pertinence du système. D’après le DGM, il ressort des premières réunions que la situation des personnels ne pose pas de problème puisqu’ils restent MAEE quel que soit leur statut. Le principal problème rencontré tient à la nécessité de mettre en place rapidement une nouvelle gestion administrative et financière, surtout dans les pays qui ne disposaient pas d’un EAF au préalable.

Le DGM réaffirme le caractère réversible de l’exercice et sa volonté de le mener sans a priori. La décision finale n’est pas prise. Il faudra évaluer la valeur ajoutée de l’établissement public à caractère industriel et commercial Institut français. Une étude pays par pays est menée sur les risques fiscaux encourus par un EPIC présenté comme un service de l’ambassade alors que sa personnalité juridique est bien différente.

Au final, il s’agira bien d’une décision politique. La politique culturelle et d’influence de la France fait-elle partie du cœur de métier du MAEE comme instrument des relations internationales et du rayonnement de la France ou considère-t-on que la logique culturelle rejoint aujourd’hui la logique commerciale ?

Thèmes : Campus France, DGM, Dialogue social, Fusion SCAC EAF, Institut français, Recrutés locaux

Fusion SCAC et EAF et expérimentation Institut Français, réunion de concertation DGA-DGM-syndicats 22 juin 2011

2 juillet 2011

Le Directeur général de la mondialisation (DGM) présente la réforme, rendue nécessaire en raison de la « délisibilité » (sic) du réseau. La réforme s’articule autour de deux axes :

1/ l’expérimentation du rattachement à l’Institut Français du réseau culturel de la France à l’étranger dans 13 postes (Cambodge, Chili, Danemark, Emirats arabes unis, Géorgie, Ghana, Grande-Bretagne, Inde, Koweït, Sénégal, Serbie, Singapour et Syrie) ;

2/ la fusion entre les services de coopération et d’action culturelle (SCAC) et les établissements à autonomie financière (EAF).

Les objectifs sont au nombre de trois :

Visibilité : Pour cette raison il est apparu souhaitable de choisir une « marque unique » : c’est l’« Institut français » ;

Cohérence : Un dispositif a été institué, le même partout : un EAF par pays, avec succursales, et ces structures seront dotées d’un même organigramme, des mêmes règles de gouvernance et d’un même périmètre ;

Souplesse : A cette fin, il faut créer des partenariats et favoriser l’autonomie financière.

En 2013, 94 pays seront à EAF unique et 13 ont été choisis pour une expérimentation réversible en cas d’échec. Le périmètre de l’expérimentation du rattachement du réseau à l’Institut français est identique à celui de la fusion SCAC/EAF.

 

Sur le périmètre :

La RGPP a été initiée antérieurement à la loi sur la réforme de l’action culturelle extérieure et n’a donc pas pris en compte cette dernière. Le périmètre des EAF uniques correspond aux activités des opérateurs Institut français et Campus France : coopération culturelle, y inclus l’audiovisuel, l’enseignement du français, la coopération universitaire, les débats sur les idées et le savoir, et la coopération scientifique quand celle-ci n’est pas logée dans un service à part – c’est le cas dans 10 pays.

Restent donc hors de ce périmètre le développement et la gouvernance démocratique, qui restent en chancellerie, les alliances françaises et l’Agence pour l’enseignement français à l’étranger (AEFE).

Ce choix a été fait pour que les deux EPIC et les EAF traitent d’activités qui sont par nature des activités de partenariats et de cofinancements. Ce paramètre a été choisi en raison de sa simplicité de mise en œuvre pour les postes. 16 postes ont été concernés en 2010, 68 en 2011, 82 le seront en 2012 et 94 en 2013.

Dans les centres culturels et de coopération (CCC) où tout est fusionné au-delà du périmètre, il y aura en fin de parcours une « défusion » pour que le périmètre défini plus haut soit respecté.

Le DGM indique que les ETP et les crédits correspondants seraient transférés des SCAC vers les EAF à l’occasion de la fusion (35 ETP l’ont été au 1er janvier 2011, 130 le 1er juin 2011, 80 le seront en mars 2012). Il confirme que l’objectif de la réforme n’est pas la réduction du nombre d’ETP et rappelle que dans un réseau de 7 000 personnes, 40 ETP ont été supprimés au titre de la RGPP 1 (2009-2011) et qu’un nombre similaire est prévu au titre de la RGPP 2.

Le conseiller de coopération et d’action culturelle (COCAC) se voit investi d’une double responsabilité. Au sein de l’ambassade, il traite des questions de coopération-développement (en ce compris les relations avec l’Agence française de développement) et de gouvernance, et, en sa qualité de directeur de l’EAF, il traite des questions incluses dans le périmètre de la fusion. Une cartographie, SCAC par SCAC est en cours pour déterminer les effectifs qui vont rester au SCAC et ceux qui seront transférés à l’EAF.

Trois exercices distincts sont en cours : la fusion SCAC/EAF, l’expérimentation du rattachement du réseau à l’Institut français et « comment le réseau honore la cible des schémas d’emploi » (sic), en clair la détermination du nombre d’ETP à supprimer.

Les services communs de gestion ne se sont pas vu confier la gestion des EAF car leur savoir-faire en matière de gestion des crédits n’est pas le même que celui qui consiste à gérer les interventions des EAF.

 

Sur l’expérimentation :

L’administration souligne en outre que l’expérimentation est un sujet qui est apparu au cours du débat parlementaire. Elle doit être réversible. S’agissant des personnels, les expatriés se verront proposer un contrat direct avec le Département et seront ensuite mis à disposition, comme cela se pratique pour les personnels concernés des alliances françaises. Le directeur des bureaux de l’établissement public reste le COCAC. Pour les autres personnels contractuels de droit français, le recrutement se fera sur le fondement d’une convention tripartite. S’agissant enfin des recrutés locaux, le transfert des SCAC vers les bureaux de l’Institut français s’effectuera en respectant les droits acquis.

La CFDT insiste sur la nécessité de consulter les instances du dialogue social dans les postes concernés. Il faut associer étroitement les agents à l’expérimentation. Réponse : Si vous constatez que le dialogue social ne se passe pas bien dans un pays expérimentateur, signalez-le nous. D’ici à fin août, un télégramme de compte rendu des réunions de dialogue social devra être adressé par les postes.

Le plafond d’emploi de l’opérateur sera augmenté à due concurrence des ETP transférés, à cet égard l’opération sera donc neutre. Au terme de la période d’expérimentation, la décision de rattacher ou non l‘ensemble du réseau sera prise par le législateur.

 

Calendrier :

Réunion des COCAC les 18 et 19 juillet ; en septembre/octobre 2011, réunion de concertation, après la conférence des ambassadeurs, sur la cartographie du réseau.

Thèmes : DGM, Expérimentation, Fusion SCAC EAF, Institut français

Réseau culturel et de coopération : la valse hésitation

1 février 2010

C’est au tour des postes pilotes, ayant déjà fusionné leur service culturel et d’action culturelle (SCAC) et leur(s) établissement(s) à autonomie financière (EAF) en 2009, de s’arracher les cheveux !

Alors que la réforme des EAF s’est faite à marche forcée dans quelques postes depuis le 1er janvier 2009, l’expérimentation est donc, en partie, arrêtée en pleine course, sans procédure d’évaluation interne ni externe.

On annonce que, par un nouvel avenant à l’arrêté définissant le périmètre des EAF concernés, les compétences autres qu’éducatives et culturelles, hors celles dévolues à l’Agence Française de Développement (AFD), vont passer dans le giron des chancelleries, sous la responsabilité des conseillers de coopération et d’action culturelle (COCAC). Qui peut s’y retrouver ? Certainement pas les partenaires de la France ! Ni les personnels de droit local qui font des aller-retours virtuels du service de coopération et d’action culturelle (SCAC) vers l’EAF puis de l’EAF vers la chancellerie…

Pour le moment leur statut n’est pas modifié, mais ce dernier épisode illustre la difficulté du ministre à redéfinir et à faire fonctionner, même à titre expérimental, un réseau de coopération et d’action culturelle cohérent sur le terrain. Il en va de même à Paris pour la future agence d’action culturelle, à la veille de l’examen par le Sénat du projet de loi qui va notamment définir le statut de cette agence. Heureusement que l’administration avait pris soin de préciser, dans une précédente instruction, que “le Département souhaite assurer [les postes] de l’attention qu’il porte à une mise en œuvre progressive et réfléchie de ces évolutions et à une gestion attentive des ressources humaines” !

Thèmes : Fusion SCAC EAF, réseau culturel

Avenir du réseau culturel : compte-rendu de la rencontre du 26 octobre 2009 avec le ministre

28 octobre 2009

Le ministre a reçu les organisations syndicales le 26 octobre 2009 et leur a déclaré quasiment en ces termes :

“Je demande pardon de vous avoir fait attendre pour prendre ma décision, mais je viens de prendre connaissance du rapport de Dominique de Combles de Nayves. J’ai été déçu par le faiblle taux de réponse au questionnaire lancé cet été sur l’avenir du réseau et j’ai rendu compte au Premier ministre vendredi dernier. Des efforts doivent être engagés avec Bercy pour renforcer notre action culturelle extérieure. La décision prise entraine de déposer un amendement au projet de loi déjà déposé. Le Sénat attend notre texte pour la fin décembre 2009 et l’Assemblée Nationale pour le mois de février 2010. Je conserve mon idée d’inclure le réseau dans l’opérateur culturel, mais cette réforme se fera en 2 temps.

Le premier temps consiste :

  • à transformer le statut associatif de Cultures France en EPIC et à étoffer ses missions en y ajoutant la coopération universitaire et scientifique
  • à procéder à la fusion de certains éléments des SCAC (la partie coopération ne sera pas fusionnée) avec les EAF.

Je veux donner sa chance à ce réseau et aux ambassadeurs et je veux que commence très vite la formation des agents. Il doit y avoir échanges entre le réseau et l’opérateur, un échange de propositions et un accord sur ce qui doit être fait. A défaut de cet accord, l’arbitrage se fera au MAEE. Un groupe de mise en place de cette réforme, auquel les organisations syndicales seront associées, travaillera plus particulièrement sur l’autonomie financière. Dans 2 ou 3 ans on fera le bilan. Si ça marche bien et que la symbiose se fait, si les centres culturels intègrent bien la culture du pays d’accueil, on renforcera l’opérateur. Autour d’une agence renforcée et de moyens disponibles, je ne veux pas que les ambassadeurs se sentent écartés.

Il y aura donc deux agences :

  • l’agence mobilité qui comprendra EGIDE + FCI
  • Cultures France, qui sera renforcée et que CAMPUS France rejoindra.

Il y aurait une TUTELLE UNIQUE : celle du MAEE, mais le conseil d’administration de l’EPIC, au sein duquel le MAEE serait majoritaire, comprendra aussi des représentants du ministère de la Culture, de l’Education nationale et du ministère de l’Enseignement supérieur, des universitaires, des scientifiques et des représentants des industries culturelles. Nous travaillons avec la DGM et le ministère de la Culture à définir le plan de formation afin que les formations puissent se faire au plus vite.”

On peut donc retenir des propos du ministre que le basculement du réseau culturel et de coopération à l’étranger vers le nouvel opérateur n’est pas, au moins pour les deux ou trois ans qui viennent, à l’ordre du jour, mais qu’il pourrait se faire après l’évaluation de cette période, considérée comme expérimentale.

Pour sa part la CFDT-MAE est intervenue sur la base de la déclaration à lire ici, complétée par une demande au ministre de bien vouloir préciser les objectifs de cette réforme dans l’exposé des motifs de l’amendement au projet de loi, chose qui n’a pas été faite dans l’exposé des motifs du projet déposé devant le Sénat en juillet. Car le bilan à deux ou trois ans ne pourra être valablement établi que par rapport à des objectifs clairement définis. Il en est de même pour la formation, dont on sait seulement qu’elle doit démarrer rapidement, mais dont on ne connait pas, à ce stade, les objectifs.

Sur les inquiétudes relatives à la situation des personnels, le ministre a indiqué qu’il n’avait pas l’intention d’utiliser cette réforme pour licencier, même si le DGA a précisé qu’elle aurait pour conséquence un inévitable redéploiement des personnels. Ce dernier a tenu à préciser, en se référant à l’intervention de la CFDT au CTPM du 21 octobre 2009, que les licenciements secs n’interviendraient qu’en dernier recours et seulement après examen de toutes les solutions alternatives.

Thèmes : Fusion SCAC EAF, Opérateurs, réseau culturel

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