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JOP 2024 : un bilan détaillé éclairant mais les critères d’attribution de la prime restent flous

28 octobre 2024

La CFDT-MAE remercie l’administration pour le bilan détaillé du dispositif mis en place en administration centrale pendant les Jeux Olympiques et Paralympiques 2024, fourni lors du CSAC du 9 octobre dernier.

Le document fait état de 28 agents contractuels recrutés en qualité d’assistants de délégation et 185 agents mobilisés comme agents de liaison afin d’accompagner les délégations étrangères.

  • Un bilan détaillé sauf en matière de prime

Le bilan présente de nombreuses statistiques concernant les récupérations horaires, les heures écrêtées ainsi que les jours de télétravail accordés qui sont particulièrement utiles et très éclairantes.

En revanche, un sujet sensible nous semblerait mériter des précisions : c’est celui de la prime versée aux agents qui ont été fortement mobilisés durant les JOP.

Droits à récupération

Les agents mobilisés ont bénéficié de droits à récupération couvrant leurs dépassements horaires, qui leur ont été notifié par la DRH sur la base des décomptes horaires individuels fournis par le service du Protocole. Au total, ce sont 739,5 jours de récupération pour 161 agents de liaison, soit une moyenne de 4,59 jours de récupération par agent. Les agents contractuels ont également eu des droits à récupération, consommés avant la fin de leur contrat.

Les autres services ont également été mis à contribution, ce qui a généré des heures supplémentaires et des REHV pour les agents d’AC (en moyenne 1 REHV par agent).

Le recours au télétravail

Le recours au télétravail a également été largement sollicité, dans le cadre de la mise en œuvre du télétravail étendu autorisé par la circulaire 2024-0119605 du 18 mars 2024. 2 181 agents ont bénéficié d’une autorisation de télétravail, étendu sur une durée hebdomadaire de 5 jours à la semaine pour 675 agents.

Taux d’activité des services parisiens

Le taux d’agents des services parisiens en activité (présentiel et télétravail cumulés) a été de 70,9% du 1er juillet au 31 août 2024 (68% à la même période l’année précédente).

Report d’un mois de la date limite de prise de congés

La moyenne du nombre de congés à écouler au 1er septembre étant sensiblement supérieur à l’année précédente en raison du plan de continuité, un dispositif à titre exceptionnel permet de repousser la date d’écoulement des congés acquis au titre de l’année 2024 jusqu’au 30 juin 2025, en plus des 5 jours de congés annuels (plus deux jours de fractionnement éventuels) pouvant être déposés sur le compte-épargne temps (CET).

  • La « Prime JOP 2024 » sera versée en novembre 2024

Un complément de rémunération plafonné à 1 500 € bruts et attribué selon le degré et la durée de mobilisation est prévu pour les agents MEAE mobilisés directement et fortement dans l’organisation des JOP. Ce complément, versé à partir des dispositifs indemnitaires existants (bonus annuel pour les agents contractuels et le complément indemnitaire annuel (CIA) pour les agents titulaires), est prévu sur la paie de novembre 2024.

Les critères d’appréciation et les niveaux de rémunération

4 critères d’appréciation (durée et intensité de la mobilisation, lieu d’affectation, cycles atypiques des temps de travail et contraintes particulières sur la prise de congés et de fonction) déterminent les 3 niveaux de rémunération prévus, comme suivant :

  • 500 euros bruts lorsqu’au moins 2 des critères précités sont remplis ;
  • 1 000 euros bruts lorsqu’au moins 3 des critères précités sont remplis ;
  • 1 500 euros bruts (montant maximal de prime exceptionnel et réservé aux cas de mobilisation les plus importants).

Pour mémoire, les agents mobilisés sur la base du volontariat, tels que les agents de liaison, qui ont bénéficié d’un régime de récupérations, ont été exclus du dispositif d’attribution de la prime.

Des critères flous difficilement quantifiables…

Pour la CFDT-MAE, ce sujet sensible mérite des précisions. En effet, certains critères d’attribution de cette prime, assez flous et difficilement quantifiables (comme « l’intensité de la mobilisation avant et durant les JOP » ou encore les « contraintes particulières sur la prise de congés ») sont des critères dans lesquels de nombreux collègues vont se reconnaître.

…entièrement laissés à l’appréciation des directions !

Par ailleurs, on comprend que ces critères ont été laissés à l’appréciation de la direction d’appartenance de chaque agent mobilisé, ce qui ouvre, malheureusement, la porte à des différences d’évaluation des efforts consentis.

La CFDT-MAE demande des éléments plus précis sur la cartographie des primes et les missions exercées qui y donnent droit

La prime étant versée sur la paie de novembre, qui est déjà prête au CSRH, et l’identité des bénéficiaires au sein de chaque service ainsi que les montants versés étant donc connus, la CFDT-MAE aurait souhaité des éléments plus précis sur l’attribution de cette prime.

La CFDT-MAE demande par conséquent la communication aux organisations syndicales de la cartographie anonymisée des primes qui seront versées (73 agents identifiés dans 9 directions), avec indication des missions exercées par les bénéficiaires et le calendrier d’exercice de ces derniers.

Réponses de l’administration :

Le DGA adjoint a indiqué qu’il lui semblait que tous les agents éligibles à la prime « JOP » avaient bien été pris en compte. Néanmoins, bien qu’exprimée tardivement, une demande des agents qui n’en bénéficiaient pas alors qu’ils pensaient remplir les critères, était encore possible.

La CFDT demande une augmentation pour les collègues de l’IFAAC et du SCEC ! (CSAC du 9 octobre 2024)

28 octobre 2024

La CFDT-MAE revendique la revalorisation de la prime IFSE des 11 formateurs et des 3 gestionnaires administratifs du pôle formation de l’IFAAC, avec un passage au groupe 1 et l’attribution d’une NBI. Par ailleurs, pour les agents formateurs, elle demande un soutien aux demandes de promotion (passage de catégorie B en catégorie A).

  • La CFDT-MAE demande des avancées salariales pour les collègues formateurs et gestionnaires de l’IFAAC

Dans le tableau de suivi présenté au CSAC d’aujourd’hui, il est indiqué que les formateurs de l’IFAAC bénéficient d’un niveau de prime majoré (groupe 2) correspondant au niveau d’expertise ainsi qu’aux sujétions inhérentes à ces postes. La CFDT-MAE souhaiterait connaitre le détail des sujétions dont bénéficient les formateurs et ce qu’elles couvrent précisément. Par ailleurs, qu’en est-il des gestionnaires administratifs qui sont eux aussi soumis à des contraintes particulières en matière de calendrier des congés ? L’administration nous indique que la possibilité d’attribuer une NBI aux gestionnaires administratifs du pôle formation de l’IFAAC sera examinée avant la fin de l’année en lien avec l’IFAAC, dans le cadre de la révision annuelle de la cartographie des NBI. Nous l’en remercions. Nous y voyons là un début d’avancée.

  • La CFDT-MAE réclame un alignement de l’IFSE pour tous les agents C « officiers d’état civil »

S’agissant du Département exploitation au SCEC, vous le savez, la CFDT a demandé un alignement de l’IFSE de tous les agents de catégorie C étant désignés comme « officiers d’état civil » au SCEC.

La CFDT-MAE se bat depuis des années en faveur d’une campagne de revalorisation de l’IFSE des gestionnaires consulaires qui exercent des fonctions exigeant une haute technicité et une expertise singulière. L’intitulé du poste de ces derniers devrait être requalifié en gestionnaire consulaire spécialisé afin de leur permettre de percevoir la prime du groupe 1 de la cartographie des emplois, qui est la prime la plus haute. Nous nous réjouissons donc de la mesure annoncée lors du CSAC de mars 2024, un travail de revalorisation des primes IFSE versées aux agents du SCEC ayant été entrepris par la DRH en lien avec le service. Il a abouti à la revalorisation de 35 postes de travail avec effet rétroactif au 1er janvier 2024. Même si nous nous félicitons que notre combat ait porté ses fruits et de la poursuite des échanges de l’administration avec le SCEC afin de déterminer si d’autres postes de travail répondent à des critères de technicité et d’expertise spécifiques justifiant une revalorisation, pour la CFDT-MAE la question est tranchée : les quelques dizaines d’agents officiers d’état civil n’ayant pas encore pu bénéficier de cette mesure de revalorisation doivent être inclus dans la prochaine campagne !

Thèmes : Catégorie B, Catégorie C, Dialogue social, ifaac, Nantes, NBI, Primes, Rémunération, rifseep, SCEC

Assemblée générale de la section Paris : des échanges de grande qualité et beaucoup d’enthousiasme ! – 8 octobre 2024

25 octobre 2024

L’assemblée générale de rentrée de la section CFDT-MAE de Paris, s’est réunie à la cafétéria de Convention, le mardi 8 octobre dernier, conjointement présidée par le secrétaire général du syndicat et le secrétaire adjoint sortant parisien.

Les échanges de qualité, nombreux et nourris, ont permis d’aborder entre adhérents et militants les enjeux de l’actualité sociale et salariale du Ministère, de fixer les perspectives de notre action revendicative pour l’année à venir, d’effectuer le bilan de la précédente mandature ainsi que de renouveler les mandats du bureau.

  • Remerciements pour l’action du secrétaire sortant

En introduction, le secrétaire général de la CFDT-MAE, Thierry Franquin, également membre du bureau, a tenu à souligner la forte implication du secrétaire de section sortant, désormais investi dans un nouveau projet professionnel à l’étranger, et a mis en avant le bilan très positif de son action en particulier s’agissant du suivi du dossier des JOP et de son impact sur l’organisation du travail, non seulement à Paris mais aussi à Nantes et dans les postes.

De même, le secrétaire général a remercié le secrétaire adjoint de la section Paris, Étienne Abobi, pour son engagement fort auprès de la section et s’est félicité du choix d’Étienne de représenter sa candidature au bureau.

  • Présentation de la section Paris

Le secrétaire général a évoqué succinctement l’existence des deux sections CFDT-MAE à l’administration centrale, l’une à Nantes et l’autre à Paris ainsi que la présence, au sein du réseau à l’étranger, d’une vingtaine de sections (comme celle, dernièrement créée, de la section Inde). Il a souligné qu’avec 190 adhérents, la section Paris demeurait la plus importante, bien que ces dernières années un rééquilibrage ait eu lieu en faveur de la section nantaise, compte tenu de l’augmentation des effectifs du site de Nantes par rapport à Paris et sa région. Il a également rappelé la singularité de la situation géographique des adhérents franciliens, disséminés sur 6 et bientôt 7 sites différents (Quai d’Orsay, Convention, Invalides, Îlot Saint-Germain, Châtillon, La Courneuve et Spallis à Saint-Denis sans même parler de l’hôtel du Ministre), ce qui ne facilitait pas les échanges en présentiel et le choix des lieux de rencontre.

Enfin, le secrétaire général a signalé que l’équipe des 10 permanents parisiens venait en appui de la section pour la logistique et la communication et pouvait apporter son expertise sur toutes les thématiques qui pourraient être portées par la section Paris.

  • Les sujets de revendication parisiens

Le secrétaire adjoint, après un bref rappel de l’activité de la section en 2023-2024, et notamment du succès de la réunion sur les jeux olympiques et paralympiques organisée au Quai d’Orsay, a entamé un dialogue avec la salle afin d’identifier des points d’attention ou des sujets de revendication parisiens qui pourraient faire l’objet de réunions, sous la forme d’une heure mensuelle d’information (HMI), pour les collègues affectés en Ile-de-France.

Le trio gagnant : immobilier, management et conditions de travail

Sans surprise, le thème des déménagements et des projets immobiliers franciliens ainsi que son corollaire, celui de l’aménagement de nouveaux espaces de travail « innovants » ont été largement évoqués par les adhérents présents. De même, l’analyse en cours des résultats de notre grande enquête portant sur les pratiques managériales au Ministère a déclenché un vif intérêt parmi les collègues. Enfin, la prévention des risques psycho-sociaux et le respect des règles en matière de conditions de travail, de santé et de sécurité ont également été considérés comme une thématique importante à traiter par la section.

Les autres sujets abordés

De nombreux autres points revendicatifs ont été abordés et notamment la semaine en 4 jours, le congé de santé gynécologique, les primes mensuelles IFSE et la cartographie des postes de travail, la baisse drastique du budget 2025 du MEAE, l’attribution des primes JOP, le respect de la charte du temps, la mise en œuvre du télétravail dans les services, le droit à la déconnexion, la diversité dans le recrutement, la parité professionnelle et la lutte contre le sexisme, la restauration administrative ainsi que l’accompagnement des agents en situation de handicap.

  • Élection du nouveau bureau

L’ordre du jour thématique et revendicatif ayant été épuisé, il a alors été procédé au renouvellement des membres du bureau.

Se sont présentés et ont été (ré)élus :

Mohamed CHOKRI, secrétaire de section,

Étienne ABOBI, secrétaire adjoint,

Membres du bureau : Florence CHAMBON, Thierry FRANQUIN, Emmanuel MOURIEZ et Isabelle RICHARD.

Félicitations à tous les membres élus et en particulier à Mohamed qui prend la responsabilité de la section et à Étienne pour le renouvellement de son mandat d’adjoint !

Thèmes : Assemblée générale, Dialogue social, revendications, Section Paris

La CFDT interroge la DIL sur les déménagements et les projets immobiliers en cours – CSAC du 9 octobre 2024

22 octobre 2024

La CFDT-MAE vous propose de prendre connaissance de l’intervention de son expert, au CSAC du 9 octobre dernier, sur les points concernant les projets immobiliers parisiens et nantais et l’alerte signalée par les collègues de la Délégation à la Solidarité et à l’Engagement (DSE) :

« Monsieur le Président,

Tout d’abord, je remercie les collègues de la DIL pour l’exhaustivité des 5 pages de la fiche qui font le point sur les deux gros projets franciliens ERA et SPALLIS qui vont fortement impacter plusieurs centaines d’agents dès le 1er trimestre 2025 et a minima pour cinq ans – même si à la CFDT on pense que sera beaucoup plus long – ainsi que, je cite, un « bilan d’étape de la relocalisation des effectifs nantais ».

La CFDT relève, en toile de fond de la note et comme pour justifier les évolutions futures d’aménagement des bureaux, la circulaire de l’ancienne Première Ministre, qui prévoit notamment l’instauration de nouveaux ratios d’occupation immobilière exprimés en surface utile brute par « résident », et non plus par mètres carrés de bureau, avec une cible pivot de 16 m2 à atteindre.

L’information a posteriori ne pourra jamais remplacer le dialogue en amont

La CFDT aurait également souhaité, à cette occasion, que l’on rappelle un autre point important de la circulaire de l’ancienne Première Ministre qui précise également que « toutes les évolutions envisagées devront être précédées… d’un dialogue de qualité avec les représentants du personnel, …au niveau le plus adapté et en associant étroitement les agents à toutes les étapes… »

En effet, il nous semble qu’un déficit existe dans ce domaine au MEAE. Le souci de transparence et la volonté d’informer a posteriori les syndicats et les agents ne pourront jamais remplacer la consultation et le dialogue en amont avec les agents concernés et les organisations syndicales. Nous aurons l’occasion d’y revenir plus tard au cours de cette intervention.

  • Sur le projet SPALLIS

La CFDT-MAE avait proposé lors du CSAC dédié du 23 avril dernier, dans le cadre du projet SPALLIS de déménagement de 250 collègues – issus d’au moins cinq services parisiens (direction de la DGA, la DIL, la DCSD, la DSE et la MAI), auxquels devraient s’ajouter une soixantaine d’agents pour la relocalisation d’activités temporaires au carrefour Pleyel à Saint-Denis – un certain nombre de demandes de compensation au bénéfice des agents dont la vie quotidienne sera, pour beaucoup, bouleversée en raison de la nouvelle localisation de leurs bureaux.

Ces demandes de compensation concernaient notamment :

–  La possibilité pour les agents, quel que soit le service, de commencer le plus tôt possible le matin et finir le plus tôt possible dans la journée pour éviter les heures de pointe, comme le prévoient les bornes horaires du RI d’administration centrale ;

– Un crédit d’heure de 30 minutes par jour pour compenser la durée supplémentaire de trajet domicile/travail AR ;

–  Une autorisation de télétravail à hauteur de 3 jours par semaine pour tous les agents affectés à Saint-Denis qui le souhaitent ;

– Et une priorité d’affectation sur la transparence pour les agents délocalisés.

Nous remercions la Direction des Immeubles et de la Logistique et en particulier son Directeur, d’avoir anticipé un certain nombre de ces mesures et d’en avoir intégré d’autres à sa réflexion, y compris celles exposées par les collègues d’autres organisations syndicales. Toutefois, d’après ce que l’on comprend de la note, il semblerait, six mois plus tard, que ces mesures d’accompagnement pour pallier les conséquences de l’éloignement du site de SPALLIS, soient toujours en cours d’études : pourrait-on savoir où en est le niveau de réflexion des différents services à ce sujet ?

Par ailleurs, la CFDT relève que deux mesures proposées par la CFDT ne figurent pas parmi les points listés dans la note, à savoir la possibilité de télétravailler 3 journées pour les agents qui n’en bénéficient pas et en font la demande et la priorité qui serait accordée aux candidatures des agents affectés sur le site SPALLIS, dans le cadre d’une future transparence. Ces mesures sont-elles définitivement écartées ?

  • Fortes inquiétudes sur la délocalisation de la Délégation à la Solidarité et à l’Engagement (DSE)

Comme cela a déjà été présenté par la CFDT lors d’une intervention précédente, les collègues de ce service nous ont fait part d’un certain nombre d’irritants et de fortes inquiétudes sur l’avenir du service et de leurs missions.

Perte de visibilité et sentiment d’éloignement des assistants sociaux

Je ne reviendrai donc pas dessus, d’autant plus que le nouveau Directeur des ressources humaines, nous a apporté un certain nombre d’éléments en séance, mais je souhaitais tout de même mettre l’accent sur la perte de visibilité et le sentiment d’éloignement ressentis par les assistants sociaux à la suite du déménagement, prévu au printemps 2025, et leur forte crainte du manque d’accessibilité du bâtiment Spallis aux agents du Département qui travaillent sur les autres sites franciliens.

Quid des futures conditions de travail des agents de la DSE après le déménagement ?

Pour mémoire, les agents de la DSE considèrent n’avoir jamais été associés, à aucun moment, en amont de la réception d’un mail annonçant le déménagement de leur service. Ils sont toujours en attente de précisions sur leurs futures conditions de travail, au sein de ce nouveau bâtiment, et s’interrogent encore sur la qualité d’accueil et le respect de confidentialité qui pourront être assurés aux agents qui solliciteront un entretien auprès d’eux. En retour, il semblerait que la réponse qui leur a été apportée initialement consisterait à privilégier les entretiens téléphoniques ou à distance plutôt qu’en présentiel.

[La CFDT-MAE reviendra plus en détail sur la partie de son intervention concernant les projets de déménagement prévus à l’intérieur du site des Invalides qui ont « fuité » depuis plusieurs semaines.]

  • Immobilier à Nantes

A Nantes, beaucoup de questions restent en suspens.

La densification du bâtiment Breil IV va-t-elle se poursuivre ?

En effet, de nombreux agents se posent la question de savoir si la densification effectuée sur l’aile A du 2ème étage de Breil IV va continuer, malgré les contraintes budgétaires, et s’il est prévu de l’étendre à d’autres ailes du bâtiment ?

La CFDT-MAE souhaiterait également savoir ce qui est prévu de réaliser sur les murs récemment peints en bleu au rez-de-chaussée bas de Breil IV et dans quel délai. Et même si cette question relèverait plutôt de la formation spécialisée nantaise, au cas où il serait prévu d’y accrocher des tableaux et/ou d’y percer des trous, la CDFT-MAE souhaiterait connaître si un diagnostic technique d’amiante du bâtiment a été réalisé.

La CFDT s’interroge sur l’agencement de nouvelles salles à Breil I et propose des solutions d’agencement de nouveaux espaces dans ce bâtiment

Par ailleurs, deux nouvelles salles de formation et réunion ont été aménagées à Breil I à Nantes au rez-de-chaussée. L’administration peut-elle préciser à quels services ces salles sont-elles destinées ?

Au même niveau, une salle comportant une climatisation est actuellement inoccupée. Ne pourrait-elle pas être transformée en salle de repli canicule ? En effet, cela ne nécessiterait que l’installation de mobilier d’assise (comme les bancs dans la salle de repli canicule de Breil IV) et donc un besoin en investissement réduit.

La CFDT propose également de réaménager, à moindre coût, le hall côté automates à café en remplaçant les vieux canapés et fauteuils par des tables mange-debout et tabourets hauts, par exemple, ainsi que d’autre mobiliers plus bas adaptés à nos collègues à mobilité réduite. Cela permettrait aux agents de ce site de bénéficier d’un lieu de pause et de convivialité, sans devoir se rendre à Breil IV. »

Réponses de l’administration :

A Paris :

En retour, la Direction des Immeubles et de la Logistique a indiqué être consciente du caractère anxiogène du déménagement pour les agents concernés, en l’absence de nouvelles informations et d’avancées rendues publiques depuis la fin du mois d’avril, et s’engage désormais à un dialogue régulier avec les organisations syndicales. La Direction propose aux représentants du personnel une nouvelle visite du site de Spallis et annonce la tenue d’une 1ère réunion d’information avec les agents, sur le site INV, le vendredi 11 octobre (pm. cette réunion « d’accompagnement au changement » en présence du DGA adjoint, du DIL et de l’entreprise chargée de l’aménagement des locaux a bien eu lieu entretemps, mais n’a pas entièrement levé les doutes et répondu à toutes les interrogations des agents).

Par ailleurs, la DIL a confirmé avoir pris bonne note des propositions de mesures d’accompagnement du déménagement à SPALLIS par les organisations syndicales (par exemple une subvention compensatoire pour la restauration par l’administration ou la mise en place d’une navette le soir).

En outre, interrogée par les représentants du personnel sur une éventuelle prime qui pourrait être accordée aux agents qui déménagent à Saint-Denis, l’administration, sans fermer la porte, a toutefois déclaré que les personnels du MEAE, en l’état actuel de la réglementation, n’étaient pas a priori éligibles à la « prime de fidélisation » dans le 93.

Enfin, concernant les rumeurs circulant sur le site des Invalides, la DIL a assuré que les plans d’occupation des lieux, qui avaient pu circuler dans les services, n’étaient que de simples projets et que la DIL restait ouverte à la discussion.

A Nantes :

La DIL a confirmé l’existence d’une stratégie durable d’expansion des sites (1 400 postes de travail à terme) et a répondu, qu’à ce stade, la décision de construire un nouveau bâtiment (Breil V) ou de réhabiliter d’anciens locaux n’avait toujours pas été actée [bien que la CFDT-MAE soit parfaitement informée des difficultés concernant le projet BREIL V].

Dès lors, la DIL a convenu que certaines décisions ne pouvaient plus attendre (rénovation technique de Breil III, réparation des ascenseurs, sécurisation périphérique du bâtiment Breil IV notamment) et a annoncé que l’architecte du MEAE à Nantes travaillait sur tous ces aspects.

Nota bene : La CFDT-MAE se réjouit que l’administration ait repris ses propositions suite au CSAC du 9 octobre et qu’elle ait lancé le 14 octobre une consultation des agents pour l’aménagement de l’espace de convivialité de Breil I, avec un mobilier similaire à celui que nous avions suggéré, qui prenait en compte nos collègues PMR.

La CFDT-MAE espère cependant que cette installation se fasse plutôt – comme elle l’a suggéré au CSAC – dans le hall au niveau des automates à café. En effet, l’accès pour nos collègues PMR y sera plus simple et une salle de repli canicule est réclamée de longue date par les agents du site de Breil I. Notre syndicat ne manquera pas de revenir vers l’administration sur ce sujet.

* * *

A l’occasion du déménagement prévu en 2025 à Saint-Denis, la CFDT-MAE réitère avec force son refus des « open spaces », « flex offices » et autres espaces de travail « innovants » et restera pleinement mobilisée, aux côtés des agents, pour que la gestion catastrophique de l’aménagement du site de Convention, il y a une quinzaine d’années, (où l’on a d’abord expliqué aux personnels les vertus des opens spaces mis en place puis fait marche arrière, sous la pression et les réclamations, en recloisonnant les espaces) ne se reproduise pas sur le site de Spallis.

Thèmes : Assistants sociaux, bureaux agiles, CSAC, Déménagement, Dialogue social, Immobilier, Nantes, paris, Schéma pluriannuel de stratégie immobilière

La CFDT-MAE soutient les revendications légitimes des assistants sociaux sur l’avenir de leur métier – CSAC du 9 octobre 2024

22 octobre 2024

La CFDT-MAE, lors du CSAC du 9 octobre dernier, a souhaité soutenir, avec force, les revendications légitimes des collègues de la Délégation à la Solidarité et à l’Engagement (DSE), en relayant leurs fortes inquiétudes quant à l’avenir de leur service et de leurs missions au sein du Département.

En particulier, la CFDT-MAE a mis en avant le bilan, particulièrement préoccupant, des évolutions récentes du service social et leur impact négatif sur le travail des assistant(e)s sociales/sociaux.

  • Le poste de conseillère technique du service social, pourtant essentiel, ne serait pas renouvelé

En effet, il apparaît que le poste de la conseillère technique du service social, supprimé le 31 août dernier, ne serait pas renouvelé.

Si tel était le cas, le Département serait, à notre connaissance, le seul ministère à ne pas avoir de conseillère/conseiller technique à la tête du service social, un service qui ne disposerait donc plus de l’encadrement technique indispensable à l’exercice du métier d’assistant(e) social(e). Dès lors, le soutien dans le traitement des dossiers et le suivi des situations individuelles, l’aide à la prise de décision et la mutualisation des bonnes pratiques professionnelles ne seraient plus assurés de la même manière, ce qui serait préjudiciable à l’activité sociale mise en œuvre par les assistantes sociales et les assistants sociaux. 

Des risques psychosociaux

Par ailleurs, cette suppression comporterait en elle-même des risques psychosociaux importants du fait de l’exposition répétée des assistant(e)s sociales/sociaux à des situations difficiles et à la souffrance des demandeurs en quête de solutions à leurs problèmes. Cette situation à risque et dégradée des personnels sociaux devrait alors être également signalée et évoquée au sein de la Formation spécialisée.

  • Les assistant(e)s sociales/sociaux se sentent de plus en plus isolé(e)s au sein du nouvel organigramme de la DSE

Une autre évolution alarmante concerne le nouvel organigramme de la Délégation à la Solidarité et à l’Engagement, à première vue pertinent, mais où les assistantes sociales et les assistants sociaux se sentent de plus en plus isolés.

Pour les collègues de la DSE, il existe à la fois un manque d’information sur les évolutions prévues de leur service et un manque total de volonté, de la part de l’administration, de les consulter et de les associer en amont de ces changements.

Un sentiment de malaise généralisé

Ainsi, des bruits de couloir suggèrent qu’un nouveau projet de modification de l’organigramme de leur délégation, un an après la refonte RH, serait en cours, sans que les agents concernés aient été le moins du monde associés à la réflexion préalable, ou, a minima, informés des enjeux de ces aménagements. Tout ceci renforce l’impression des agents du service qu’ils ne sont pas entendus et accentue leur sentiment d’isolement généralisé.

  • Exclusion des assistantes sociales de la formation spécialisée ministérielle

A ceci s’ajoutent la déception et la contrariété des assistantes sociales d’avoir été exclues de la formation spécialisée ministérielle, qui leur permettait, jusqu’à présent, d’être visibles et clairement identifiées comme actrices de prévention au sein du Ministère, de rester en veille attentive sur les problématiques sociales et de prendre connaissance des observations et des analyses des collègues psychologues et des médecins, dans le cadre d’une approche interdisciplinaire de leur métier.

Une ingérence répétée dans les accompagnements sociaux

Enfin, il semblerait qu’une ingérence répétée soit constatée dans les accompagnements sociaux, ce qui est préjudiciable au traitement serein, adapté et équitable des situations individuelles.

Réponses de l’administration :

Le nouveau Directeur des ressources humaines, qui a indiqué être pleinement conscient des difficultés du service, s’est engagé, en lien avec la DSE, à traiter cette situation et à apporter des réponses de sorte que ce sujet ne soit pas à nouveau évoqué au prochain CSAC.

En séance, l’administration a également fait part de son souhait de voir le rôle et les missions des assistant(e)s sociales/sociaux davantage connus des agents.

* * *

Le métier d’assistant(e) de service social est très exposé du fait même de la nature des missions exercées et des sujets traités. Il nécessite, par conséquent, un cadre d’intervention clair, valorisé et respecté au sein du Département. Or tous ces changements et plus encore la méthode avec laquelle ils ont été imposés, fragilisent grandement les agents de cette filière. Le manque ressenti de considération, le déni des compétences et des qualifications et le rejet d’un dialogue constructif ont créé un climat délétère au sein du service social qui assure pourtant un rôle absolument essentiel auprès des agents du MEAE.

La CFDT-MAE estime qu’il faut désormais sortir de cette spirale négative et traiter en urgence ce malaise profond. Notre organisation plaide pour que la DRH agisse rapidement pour rassurer nos collègues – à Paris mais également à Nantes – quant à leurs futures conditions de travail, la pérennité de leur métier et de leurs missions au sein du Ministère, et ceci avant que des signes plus graves ne fassent leur apparition.

Thèmes : Assistants sociaux, Déménagement, Immobilier, RPS

Semaine en 4 jours : une expérimentation seulement sous la contrainte ?

18 octobre 2024

Le comité social d’administration centrale (CSAC), qui s’est tenu le 9 octobre dernier, a été l’occasion de faire un point d’étape sur l’expérimentation de la semaine en 4 jours.

La CFDT-MAE a exprimé son regret suite à la décision de l’administration de suspendre, pour le moment, la mise en œuvre de l’expérimentation « dans l’attente de nouvelles instructions de la DGAFP ».

La CFDT revendique depuis plusieurs années la semaine en 4 jours auprès de l’administration, et s’est tout de suite prononcée en faveur de son instauration lorsque l’ancien Premier ministre Gabriel Attal en a fait l’une de ses mesures phares pour la fonction publique en janvier 2024.

Force est de constater que la proactivité de l’administration à ce sujet n’était liée qu’à une volonté du nouveau gouvernement : en effet, à peine l’annonce d’un changement de locataire à Matignon actée, l’expérimentation, qui devait être lancée au plus tard à l’été 2024, a été suspendue.

Et pourtant, la semaine de 4 jours est déjà largement expérimentée dans le monde du travail et son intérêt démontré par la pratique : perçue comme un moyen d’équilibrer vie personnelle et professionnelle par les agents et agentes (ces dernières travaillant plus souvent en temps partiel – avec pour conséquence un salaire moindre – pour bénéficier d’une journée libre), cette mesure est également un facteur de flexibilisation du temps de travail et d’attractivité au recrutement pour les employeurs.

Sa mise en œuvre n’est pas sans contrainte : la CFDT-MAE prend bonne note du bilan mitigé à ce stade de l’administration, et des inquiétudes remontées par les 40 agents du SCEC qui s’étaient portés volontaires pour cette expérimentation (qui n’a pas eu lieu à ce stade puisqu’elle s’est limitée à un recensement du nombre et du profil des agents volontaires et des inquiétudes de leurs encadrants et de ces derniers).

Ce constat est pourtant sans surprise, puisque cet exercice s’est déroulé sans consultation, en amont, des organisations syndicales, et sans concertation dans son élaboration : La CFDT-MAE regrette que le Département, alors qu’il en avait la possibilité en l’absence d‘instruction de la DGAFP sur les modalités de mise en œuvre de cette expérimentation, n’ait pas répondu favorablement à notre demande d’ouverture d’une négociation préalable sur le choix des services d’expérimentation, le calendrier et les modalités de mise en œuvre, ainsi que l’évaluation du dispositif. En effet, il nous semble qu’une expérimentation limitée au SCEC, avec l’organisation et les contraintes qui lui sont propres, est peu représentative de l’ensemble du ministère.

La mise en place de cette mesure au Département, aurait dû être accompagnée d’un véritable dialogue social de qualité : les représentants du personnel sont le relais des préoccupations et des souhaits des agents. La CFDT-MAE revendique une mise en œuvre concertée de cette mesure, et non descendante, qui permettrait une meilleure adaptation à notre environnement professionnel, notamment en ce qui concerne les droits aux RTT, au télétravail, à l’organisation des collectifs de travail et à la qualité de vie au travail, sujets de préoccupation exprimés par les agents et encadrants.

Ainsi, la CFDT-MAE réitère son engagement en soutien de cette mesure, et sa disponibilité pour reprendre sans attendre les négociations sur cette expérimentation avec l’administration.

Notre nouvelle page Facebook vient d’être lancée, suivez-nous, likez et partagez !

15 octobre 2024

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La CFDT-MAE appelle à la grève et à la mobilisation le jeudi 2 octobre !

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