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Plan de prévention

Programme annuel de prévention : Il reste encore des questions sans réponse

28 décembre 2017

L’inspecteur de santé et sécurité au travail (ISST) a présenté son programme annuel de prévention. Ce programme rend compte de l’état d’avancement de la démarche santé et sécurité au travail (SST) et propose des axes d’action pour l’année à venir. Le périmètre d’action est ministériel et concerne l’ensemble des agents composant la communauté de travail du ministère.

S’agissant des mesures réalisées, les constats de la CFDT-MAE rejoignent ceux de l’ISST, qui  relève que, si l’on dresse le bilan des trois années pleines après la mise en place du dialogue social dans les postes (janvier 2015),  la machine est en marche sans pour autant avoir atteint sa vitesse de croisière, faute d’acquisition du savoir-faire dans le domaine HSCT dans les temps initialement prévus.

Pour 2018, le programme propose quatre actions.

1. Il s’agit de poursuivre la politique de formation et l’information en SST. C’est là en effet la pierre angulaire du système, dès lors qu’elle s’adresse à tous.

2. Le document relève la nécessité « d’accompagner le fonctionnement des comités techniques de proximité à l’étranger dans la formalisation de la démarche SST » : En d’autres termes, il convient de faire de la pédagogie, afin que, dans les postes, les questions SST soient pleinement traitées, dans une partie dédiée de l’ordre du jour.

La CFDT-MAE demande quelles directives seront données, sous quelle(s) forme(s) dans cette articulation du dialogue entre l’administration centrale et les postes.

La CFDT souhaite que les courriers formels échangés soient communiqués aux organisations syndicales siégeant au CHSCTM.

3. Le programme évoque la mise en œuvre et/ou poursuite des actions programmées en 2017 non finalisées, notamment par une meilleure organisation des compétences pour une meilleure gestion du domaine SST par les services en administration centrale.

Comme elle l’a dit dans d’autres instances de dialogue social, la CFDT-MAE souligne à cet égard qu’on bute sur le traitement par la DRH des affaires signalées, une fois que les acteurs ou certains d’entre eux, i. e notamment l’assistant de prévention, l’ISST, les syndicats, les psychologues, l’Inspection générale, sont intervenus ensemble ou séparément. Lorsqu’on est en présence d’un diagnostic partagé par divers intervenants sur une situation déviante, après, que se passe-t-il ?

Quant à l’exploitation des procès verbaux des comités techniques de proximité à l’étranger par l’administration centrale, on en revient aux problèmes d’effectifs, ce qui pose la question, curieuse, qu’il faut d’autant plus d’effectifs pour traiter les problèmes liés à la prévention des risques ou aux risques eux-mêmes qu’on aura opéré des coupes sombres dans les services dans lesquels des risques sont avérés. La question récurrente des mauvaises économies, déjà évoquées par notre syndicat dans d’autres cadres garde là aussi tout son sens.

Il est également proposé un appui à la réalisation des documents uniques d’évaluation des risques professionnels (DUERP) et à un contrôle des plans d’action insérés dans les DUERP : Une fois que les représentants des personnels prennent toute leur part dans l’exercice, ils ne peuvent effectivement le mener à bien seuls. Comment l’administration va-elle s’y prendre ?

4.  La poursuite de la prévention au Département sur certains risques spécifiques :

La CFDT-MAE qui a pris toute sa part dans l’élaboration de ce document et dans les travaux qui ont conduit à son actualisation, attend des nouvelles dans la droite ligne du discours du ministre au CTM, sachant que deux points restent encore non aboutis, qui ne doivent cependant pas différer l’actualisation : il s’agit de la reconnaissance du travail des agents et des relations entre les services de l’administration centrale et les cabinets.

Enfin, il s’agit d’engager une démarche spécifique pour la prévention du harcèlement sexuel. 

Thèmes : Plan de prévention, Santé au travail

La CFDT salue l’entrée en vigueur du plan de prévention des risques psychosociaux (RPS) au MAE

21 janvier 2013

(Télécharger le plan de prévention des risques psychosociaux au bas de cette page) .

L’accord du 20 novembre 2009 sur la santé et la sécurité au travail dans la fonction publique se décline en trois axes et chaque axe regroupe plusieurs actions. L’axe 2 de cet accord regroupe six actions, au nombre desquelles l’achèvement de la mise en place généralisée du document unique (action 6) et l’évaluation des problèmes de santé liés aux risques psychosociaux (action 7).

 A cette fin, l’accord prévoit, après l’élaboration d’un plan national de lutte contre ces risques psychosociaux, sa déclinaison au niveau local pour assurer un dialogue social sur ces questions. Ce dialogue permettra d’intégrer les risques psychosociaux dans le document unique, dans lequel sont transcrits et mis à jour les résultats de l’évaluation des risques pour la santé et la sécurité des travailleurs.

Au MAE, l’administration a commencé en 2010 par temporiser et a déclaré « attendre les instructions du ministère de la fonction publique » ce qui, de l’avis de notre syndicat, n’était pas de mise pour une action à initier « à compter de 2010 ». Devant l’insistance de la CFDT, le groupe de travail sur la prévention des risques psychosociaux a été institué sans tarder.

Les travaux de ce groupe ont fait régulièrement l’objet de compte rendus de la part de la CFDT.

L’année 2012 a été marquée par la nomination d’un chef de projet dédié et le groupe s’est fixé pour objectif de parvenir à l’élaboration d’un plan de prévention pour la fin de l’année civile. L’échéance a été respectée et le plan a été publié sur Intranet le 3 janvier 2013. Conçu comme un document par nature perfectible, évolutif et qui s’inscrit dans le long terme, il constitue une étape majeure dans la lutte contre les risques psychosociaux.

Ce plan de prévention, aboutissement de la première phase d’un traitement des RPS, ne peut cependant à lui seul remédier aux causes structurelles qui se trouvent à la source de nombre desdits RPS. La publication de ce plan, auquel la CFDT a apporté son entier et actif concours, ne doit pas faire perdre de vue que la prévention des RPS passe également, et au moins autant, par la prise en compte par nos autorités du fait que les réductions drastiques, voire toxiques, des moyens humains et matériels subies par ce ministère depuis plus de quinze ans maintenant en sont une des causes principales et constituent une des racines du mal. C’est à cela qu’il convient également de remédier.

Cela étant, il est apparu essentiel à la CFDT d’avancer quand cela était possible et de ne pas laisser passer l’occasion d’élaborer un plan d’action qu’il convient à chacun, quelle que soit sa position dans la hiérarchie de ce ministère, de s’approprier. S’agissant de la mise en œuvre et de l’actualisation à terme de ce document, un groupe de travail, auquel participe la CFDT, a été constitué le 10 janvier 2013, chargé de la mise en œuvre de l’action 22 du plan de prévention : « Confier à un groupe de travail restreint piloté par la DRH le soin de définir, au cours du 1er trimestre 2013, les contours et modalités exacts de réalisation d’enquêtes périodiques auprès des agents du département, ainsi que d’en établir le questionnaire, conformément aux orientations retenues par le groupe de travail sur les risques psychosociaux ».

Les prochaines étapes sont l’intégration des RPS dans le document unique et, ainsi que l’a demandé la CFDT lors du comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail du 21 décembre 2012, le début des travaux sur l’évaluation et la prévention des troubles musculo-squelettiques, dans le cadre de l’action 8 prévue dans l’accord du 20 novembre 2009.

Plan de prévention des risques psychosociaux

Thèmes : Groupe de travail, Plan de prévention, Risques psychosociaux

Le groupe de travail pour la prévention des risques psychosociaux entre dans le vif du sujet

9 avril 2012

Les travaux du groupe “prévention des risques psychosociaux” avancent et feront l’objet d’un point d’étape lors du comité central d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CCHSCT) du mercredi 11 avril 2012. La sixième réunion de ce groupe de travail est consacrée au suivi des mesures annoncées lors de la réunion précédente (communication, contacts avec l’Inspection) et au choix de la 1ère série d’indicateurs, les indicateurs de perception. La CFDT a notamment rendu compte lors de cette réunion de sa perception des phénomènes liés à la souffrance au travail au MAEE.

Lire le compte-rendu de la réunion du 6 avril en le téléchargeant ci-dessous.

Compte rendu du groupe de travail avril 2012

Thèmes : Harcèlement moral, Plan de prévention, Risques psychosociaux

Prévention du stress : la CFDT obtient la création d’un groupe de travail

28 mai 2010

Lors du comité central d’hygiène et de sécurité (CCHS) de novembre 2006 et lors du comité technique paritaire ministériel (CTPM) de décembre 2006, la CFDT-MAE a appelé l’attention de l’administration sur le stress au travail et demandé que ce dossier constitue dorénavant une priorité. Deux réunions mensuelles d’information ont été organisées par notre syndicat en janvier 2007 et nombre de dossiers individuels ont nécessité l’intervention de notre syndicat.
Dans ce contexte, le médecin de prévention a lancé une enquête qui s’est déroulée en trois phases (mai-juin 2007, octobre-novembre 2007 et janvier-février 2008) auprès des agents qui ont subi une visite médicale au Département. Le questionnaire portait sur l’estimation du stress vécu au cours des douze derniers mois, ses conséquences et ses causes potentielles.
Les réponses à 358 questionnaires ont notamment mis en évidence qu’une proportion de 16 % de la population interrogée estimait, sur une échelle de 1 à 10, son stress à 7 ou plus.
Le médecin de prévention a conclu dans son compte rendu fait au CCHS du 8 avril 2010, que « ces premiers résultats mériteraient d’être confirmés par une étude à plus grande échelle, avec un questionnaire validé permettant des comparaisons avec d’autres populations (…) ». Cela ne rendait que plus nécessaire la relance de ce dossier. Lors du même CCHS, la CFDT est donc intervenue longuement sur la nécessité de mettre en place au MAEE un plan de prévention du stress au travail.
Notre syndicat a insisté sur la nécessité de prendre en compte le phénomène dans toutes ses composantes et à tous les stades de ses manifestations : prévention, identification et gestion quand la prévention a échoué, sanctions quand une gestion critiquable est mise en évidence, qu’elle relève de la mauvaise gestion des ressources humaines, de la violence managériale ou du harcèlement moral, qui ne se réduit pas à une surdose des deux premiers phénomènes mais qui est de nature différente.
L’accord-cadre européen sur le stress au travail du 8 octobre 2004 a été transposé par l’accord signé par les partenaires sociaux français le 2 juillet 2008 sur le stress au travail. Il a été complété par l’accord européen sur le harcèlement et la violence au travail du 26 avril 2007. C’est dans ce contexte qu’est intervenu l’accord Santé et Sécurité au travail dans la fonction publique, du 20 novembre 2009. Il se décline en 15 actions, dont l’action 7, relative à l’évaluation et à la prévention des problèmes de santé liés aux risques psychosociaux prévoit « sur la base des expériences, des accords nationaux et internationaux et des travaux de recherche du secteur privé [1], des méthodes et des outils d’objectivation et de prévention des risques psychosociaux». Il est également proposé de «mettre à la disposition des employeurs des instruments permettant de prévenir ces risques et de définir une démarche de prévention», de «définir un plan d’action national de lutte contre ces risques et le décliner localement pour assurer un dialogue national sur ces questions et de développer le dialogue et la connaissance sur ces questions auprès des agents et la formation des chefs de service sur ces risques». Les actions doivent être initiées à compter de 2010.
La CFDT a souligné qu’elle ne voyait pas ce qui empêcherait le MAEE d’être parmi les « bons élèves » tant en interne qu’en interministériel.
L’un des points essentiels des accords ci-dessus rappelés est la reconnaissance du fait que, si toute manifestation de stress ou de violence au travail ne doit pas être considérée comme liée au travail, elle peut cependant résulter de facteurs tels que le contenu et l’organisation du travail, l’environnement de travail, une mauvaise communication dans le cadre de celui-ci notamment. En d’autres termes, on dépasse le plan personnel pour cibler les questions structurelles et organisationnelles de l’environnement de travail.
La CFDT a insisté sur le fait que les conditions étaient réunies pour mettre en oeuvre, au niveau du ministère, un plan de prévention du stress au travail. En effet, d’une part, le constat d’un stress au travail, grandissant en période de RGPP, est patent ; d’autre part, le cadre de réflexion méthodologique existe.
Les étapes d’une démarche relative à la prévention du stress et des violences au travail sont en général les suivantes :

  1. Pré-diagnostic réalisé par une ou plusieurs personnes désignées par le CCHS, qui aboutit à un engagement clair.
  2. Constitution d’un groupe-projet constitué de membres de l’administration, d’acteurs « anté au travail», de représentants des personnels et éventuellement de personnes volontaires. Ce groupe décide d’un échéancier et élabore ses règles de travail. Il informe l’administration et les personnels.
  3. Etablissement d’un diagnostic approfondi (intervention extérieure), pour évaluer le niveau de stress, et identifier les personnels les plus exposés.
  4. Restitution des résultats en CCHS.
  5. Elaboration d’un plan de mise en œuvre.
La CFDT demande à l’administration de reprendre à son compte cette démarche en étroite concertation avec les personnels, démarche qui impliquera l’ensemble des interlocuteurs en matière de ressources humaines et pas seulement les représentants de l’administration en CCHS.
L’administration, qui, dans un premier temps, voulait attendre que les instructions viennent du ministère chargé de la fonction publique, s’est finalement ralliée à la proposition de la CFDT de créer sans attendre un groupe de travail.
[1] Institut National de Recherche et de Sécurité (www.inrs.fr) et Agence Nationale pour l’Amélioration des Conditions de Travail(www.anact.fr)

Thèmes : Groupe de travail, Plan de prévention, Risques psychosociaux

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