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GPEEC – Direction générale de la mondialisation, de la culture, de l’enseignement et du développement international (DGM)

31 mai 2017

Les travaux sur la GPEEC pour ce qui concerne la DGM ont permis à la CFDT-MAE de partager un certain nombre de constats avec l’administration, tout en présentant ses revendications lors de cette réunion qui s’est tenue le 9 novembre 2016.

La DGM espère être à la fin d’un cycle de réduction des emplois

La DGM regroupe à peine 16 % des emplois de ce ministère. Les effectifs de la DGM représentent 2861 ETP sur les P185 et P209, dont 86% sont affectés dans le réseau à l’étranger. Il convient donc, selon l’administration, de stabiliser ses effectifs, notamment face aux nouveaux enjeux en matière de diplomatie économique, de tourisme, de renforcement de la présence française dans les pays émergents du G20 et les métropoles stratégiques et à la montée en puissance des opérateurs.

La démarche de la GPEEC de la filière « développement et influence » consistera aussi à adapter les emplois et les compétences aux nouvelles missions et priorités de la direction, notamment en développant les fonctions de pilotage et de contrôle ainsi que renforcer les compétences et la valorisation de l’expertise des agents titulaires dans les différents secteurs d’intervention de la DGM.

Enfin, la question de l’intégration ou non des effectifs des établissements à autonomie financière sous plafond d’emplois du ministère doit être examinée.

Réflexion sur les métiers

Les qualités managériales sont un point de plus en plus important, compte tenu notamment de la complexité liée à la gestion de personnels aux statuts et situations juridiques hétérogènes, notamment dans les établissements culturels à l’étranger.

L’exercice de la tutelle des opérateurs nécessite également la consolidation des effectifs et un pilotage stratégique autorisant par là-même des mobilités professionnelles entre les opérateurs et la DGM qui soient davantage encouragées.

Titulaires et contractuels

Les personnels sous contrat à durée déterminée (CDD) représentent plus de 80 % des emplois sous plafond. 56 % étaient en administration centrale en 2015, 44 % le sont en 2016. Cela est justifié par des recrutements de profils d’expertise de niveau élevé. L’administration rappelle le principe selon lequel le recrutement d’agents contractuels n’intervient que lorsqu’il n’a pas été possible d’identifier de candidat parmi les agents titulaires.

Par ailleurs, elle rappelle que plus de 40 % des personnels recrutés sur CDD en fonctions à l’étranger sont en réalité des fonctionnaires détachés sur contrat.

S’agissant des personnels du MAEDI, l’administration rappelle qu’il s’agit de renforcer, pour les personnels titulaires, l’attractivité de la DGM et de valoriser, pour la suite de leur carrière, un passage dans cette direction générale ainsi que dans les postes du réseau culturel de coopération (COCAC, COCAC adjoints, SG, SG adjoints) et les opérateurs. La définition d’un parcours de carrière type intégrant ces affectations et les mobilités chez les opérateurs devra être posée et valorisée.

Les revendications de la CFDT et ses propositions

Depuis 2006, l’évolution des ETP de la sphère développement, coopération et action culturelle des programmes 185 (diplomatie culturelle et d’influence) et 209 (solidarité à l’égard des pays en développement) a connu la diminution la plus importante (-33 %) du ministère.

La CFDT-MAE ne peut donc que partager la position de l’administration et considérer que le cycle de réduction rapide des effectifs de la DGM (et en dernier lieu le transfert de 330 postes d’experts aux opérateurs), tant à l’administration centrale que dans le réseau à l’étranger, doit s’arrêter ou pour le moins, se stabiliser, afin de rendre parfaitement crédible la démarche de gestion prévisionnel des emplois, des effectifs et des compétences (GPEEC).

La CFDT-MAE rappelle qu’elle reste aussi très attachée à que soit réellement pris en compte, dans le périmètre de cet exercice ambitieux, les 3 500 agents de recrutement local, budgétairement hors périmètre mais parfaitement inclus dans la communauté de travail au sein des Instituts français.

Elle estime aussi nécessaire, puisque le périmètre d’action du MAEDI s’est élargi et que les opérateurs se voient déléguer de plus en plus de missions, de penser à un nouvel équilibre dans le schéma des emplois à la DGM : les effectifs chargés d’exercer la tutelle sont pour le moins très réduits alors qu’ils sont censés exercer une tutelle sur plusieurs dizaines voire dans certains opérateurs, de centaines d’agents.

La CFDT-MAE approuve la proposition de l’administration qui consiste à favoriser la mobilité des agents du MAEDI vers les opérateurs et celle des agents de ces derniers vers le MAEDI. Elle précise cependant que pour que cette politique prenne tout son sens, il ne faudrait pas faire reposer la réflexion sur des emplois précaires, comme le sont les CDD, mais au contraire sur des emplois pérennes. Le « retour sur investissement » s’apprécie à long terme et n’est pas compatible avec des contrats à durée déterminée. La CFDT-MAE confirme, comme elle l’a fait dans d’autres instances, qu’elle sera vigilante sur la pertinence des recrutements successifs de contractuels à durée déterminée, et rappelle que des besoins pérennes ne doivent pas être gérés par des recrutements précaires.

S’agissant des détachements sur contrats, la CFDT-MAE a pu constater que les règles de gestion n’étaient pas toutes clairement connues de la population concernée et invite l’administration à remédier à la situation.

La CFDT-MAE demande enfin si un passage à la DGM en administration centrale constitue le préalable indispensable au départ en poste dans ce réseau. Pour la CFDT-MAE, il conviendrait aussi de « faire confiance aux secrétaires de chancellerie et aux secrétaires des affaires étrangères » et les former à la coopération culturelle et à la gestion des EAF.

La CFDT-MAE conclut en rappelant son intervention récente devant l’assemblée des Français de l’étranger (AFE) à propos du droit des collègues de recrutement local français à percevoir l’allocation d’aide au retour à l’emploi (ARE) lorsqu’ils s’installent à nouveau en France et indique qu’il existe une possibilité « d’ingénierie juridique dans ce domaine ».

Thèmes : DGM, GPEEC

GPEEC des grandes directions « employeurs » : focus sur les métiers de la communication à la DCP – 18 mai 2017

24 mai 2017

La CFDT-MAE vous propose de revenir sur le groupe de travail GPEEC consacré à la direction de la communication et de la presse (DCP), dans le cadre du dernier cycle de rencontres portant sur l’évolution prévisible des « métiers » et des besoins en compétences, d’ici 5 à 10 ans, des grandes directions « employeurs » du ministère.

Comme lors des rencontres précédentes (DFAE, DIL, DGP, DGM et DUE, le groupe de travail est présidé par la Directrice générale de l’administration et de la modernisation (DGAM), accompagnée du directeur de la DCP, également porte-parole du ministère. La CFDT-MAE est représentée par Anne COLOMB et Thierry FRANQUIN.

  • Une mission stratégique « internalisée »

La communication est une fonction stratégique pour le Département, prise en compte, au quotidien, dans l’organisation du Ministère (cabinets), qui a choisi de confier cette mission, en interne, à la direction de la communication et de la presse (DCP). Cette direction, qui est composée de deux sous-directions et de pôles, assure l’animation de la communication interne et externe du Département. La DCP fait un point presse quotidien et son directeur assure les fonctions de porte-parole. Seuls deux autres ministères connaissent une situation analogue : le ministère de l’intérieur et celui chargé de la défense. La direction de la communication et de la presse est, également, chargée de la diplomatie numérique, vecteur fort de notre politique d’influence, et pilote aussi le réseau de presse et de communication des postes.

La DCP absorbe la dictature de l’instant

Tout ce travail nécessite une grande réactivité aux événements, dans un monde de plus en plus bouleversé et dans lequel la fonction d’information n’a jamais été aussi importante. La DCP doit prendre en compte l’émergence de nouveaux modes de communication, en particulier ceux des réseaux sociaux qui génèrent de l’information en dehors des acteurs traditionnels que constituent les médias. Le rôle de la direction de la communication et de la presse consiste donc à absorber le stress de l’action immédiate et d’en préserver les autres directions de l’administration centrale et les postes. La DCP effectue, également, une mission de veille stratégique sur la perception, par les médias, du ministère et de ses missions.

La communication s’effectuera en dix langues

La communication repose sur la stratégie ministérielle de communication à destination de l’administration centrale et des postes. A moyen terme, la communication numérique s’effectuera en 10 langues, au lieu de 6 actuellement (français, anglais, allemand, espagnol, arabe et chinois). Par ailleurs, il s’agit également, pour cette direction, de piloter la mise en place d’une communication « décentralisée » assurée localement par les postes. Des centres régionaux de communication sont en place (la communication relative au monde arabe est coordonnée par l’ambassade de France en Egypte, celle relative au monde hispanophone l’est à Mexico).

  • Les ressources dont disposent la DCP

Les moyens budgétaires sont passés de 4 à 2,5 M € en 7 ans. Les effectifs, qui étaient de 107 postes de travail en 2010, sont passés à 100 en 2016 (sans compter un diplomate d’échange), répartis entre 78 titulaires et 22 contractuels. Parmi les fonctionnaires, on compte 25 agents A, 14 agents B et 39 C. Par ailleurs, l’importance croissante du numérique, le recours, lui aussi croissant, à l’audiovisuel et la montée en puissance de l’événementiel ont justifié le recours à des agents contractuels. En outre, à l’étranger, le réseau « presse » comprend aussi bien des titulaires que des recrutés locaux.

  • Les différents métiers exercés

Le travail de la DCP repose, aujourd’hui, sur les métiers de la presse (relation avec les journalistes), du numérique (développeurs informatiques, rédacteurs Web, réseaux sociaux et Diplonet), de l’audiovisuel (cadreurs, photographes), de la communication et de l’évènementiel (graphisme) et de la veille (agences de presse, presse, médias audiovisuels, Internet et réseaux sociaux). Parmi les agents qui exercent ces métiers, beaucoup participent à des astreintes, soit au titre de la presse, soit au titre du Web.

  • La mise en place de « Diplolab »

Cette cellule informelle, composée d’agents des deux sous-directions (presse et communication), est chargée d’une veille stratégique de l’actualité à travers tous les vecteurs d’information actuels. Elle a vocation, d’ici 5 ans, à se professionnaliser et à évoluer grâce à une technicité croissante.

  • Une professionnalisation croissante et inéluctable

L’évolution majeure de ces dernières années, appelée à se poursuivre, est celle d’une professionnalisation croissante et inéluctable des différents métiers de la communication, dans un contexte de montée en puissance du numérique et de la concurrence sur le marché de l’information. Le recours à des agents contractuels doit pouvoir être envisagé à chaque fois qu’un profil adapté ne parvient pas à être identifié parmi les titulaires et, dans ce cadre, il est important de maintenir une possibilité de « CDIsation », au cas par cas.

  • Diffuser la culture de la communication et du numérique

La direction est active dans la diffusion de la culture de la communication et du numérique au sein du ministère. Des progrès importants, en lien avec la DRH, ont été réalisés ces dernières années par le biais de modules de formation adaptés et pratiques. Il est de l’intérêt du Département qu’un nombre croissant de titulaires passent, durant leur parcours, par des fonctions dans ce domaine.

  • La CFDT relève la diversité des personnels de la DCP

La CFDT relève que la DCP réunit une diversité de personnels soumis à des régimes juridiques différents (fonctionnaires, contractuels CDI et CDD), ce qui constitue en soi un défi managérial et, pour la gestion des agents non permanents, une contrainte supplémentaire en termes d’attractivité des salaires.

  • La CFDT milite pour une pérennité des parcours

La CFDT-MAE constate également que les qualifications auxquelles la DCP fait appel correspondent à des besoins permanents et que des fonctionnaires qui ont été affectés à la DCP y reviennent. Dans ces conditions, et puisque le choix – heureux – a été fait de faire assurer la communication du MAEDI par des agents du MAEDI, il y a là des personnels qui pourraient ne pas être recrutés de manière précaire. Il existe pour des fonctionnaires de toutes catégories des parcours professionnels qui s’inscrivent, dans la durée, dans la filière « presse et communication » et des contractuels recrutés en raison d’une spécialité exercée, avant leur recrutement à la DCP, qui pourraient également apporter leur concours sur le long terme. Tout comme la CFDT l’avait relevé pour la DGM, il y a là un gisement d’emplois pérennes qui devraient être traités comme tels et non plus sur le mode précaire.

Ce point semble avoir retenu l’attention de l’administration.

Thèmes : Agent contractuel, Catégorie A, Catégorie B, Catégorie C, GPEEC

GPEEC des grandes directions « employeurs » : focus sur les métiers de la direction de l’Union européenne –17 mai 2017

24 mai 2017

Dans le cadre du groupe de travail portant sur la gestion prévisionnelle des emplois, des effectifs et des compétences (GPEEC), consacré à la direction de l’Union européenne (DUE), présidé par la Directrice générale de l’administration et de la modernisation accompagnée du directeur de la DUE, la CFDT-MAE revient sur l’exposé de l’administration, en séance, et les interventions de ses deux représentants syndicaux, Anne COLOMB et Thierry FRANQUIN.

  • Une direction à la fois géographique et fonctionnelle

Le directeur de l’Union européenne expose que la DUE présente la particularité d’être à la fois une direction géographique et fonctionnelle. Les sous-directions géographiques sont chargées des relations bilatérales avec les Etats européens (dont certains hors de la zone Union européenne). Certains Etats, dès lors que les négociations en vue de l’adhésion à l’UE sont ouvertes, rejoignent les pays couverts par une direction géographique. La direction comprend également deux sous-directions fonctionnelles : la sous-direction des politiques internes et des questions institutionnelles (DUE/INT) et la sous-direction des relations extérieures de l’Union européenne (DUE/RELEX).

  • Une direction peu dotée en effectifs

Au total, 89 agents travaillent à la DUE dont 20 agents de catégorie C, 2 de catégorie B (CAD), 64 de catégorie A, un diplomate d’échange et deux stagiaires. Cette année, un lauréat sur trois, dont le rédacteur « Brexit », a dû s’absenter pour suivre la formation de l’institut diplomatique et consulaire (IDC). Les départs vers l’IDC ont donc été échelonnés. Même s’il est difficile de donner des données finement chiffrées, on comprend que les effectifs « n’ont pas vocation à se réduire », quel que soit le périmètre futur des missions et il sera, en tout état de cause, nécessaire de réinvestir dans le champ du bilatéral, puisque 60% du commerce extérieur, 60% des investissements et 70% du tourisme sont réalisés avec les Etats membres de l’Union européenne. Si le schéma reste en place et, même, se développe, il faudra disposer de moyens adéquats pour suivre cette politique et tenir compte d’un éventuel élargissement de l’UE.

  • La spécialisation croissante des agents de cette filière

On observe sur la période récente une nécessaire spécialisation croissante des agents exerçant dans le champ européen et communautaire, qui requiert un niveau d’expertise qui va en augmentant et va de pair avec la technicité croissante des dossiers et les attentes à due concurrence des ministres délégués et des secrétaires d’Etat. Ces constats sont à prendre en compte dans les recrutements, qui doivent être accompagnés, en fonction des besoins, tant en formation initiale que continue. L’expertise déployée par les agents de la filière n’est certes pas remise en cause, mais elle est fortement concurrencée, notamment par les ministères qui ont remis la main sur les affaires européennes et se sont dotés de directions compétentes en la matière.

  • Une « filière européenne » élargie

Le directeur insiste sur la notion de filière européenne qui inclut le réseau des correspondants européens dans les ambassades (agents du Département), si besoin affectés dans des pays qui, sans être membres de l’UE, voient les relations se développer avec cette dernière, et deux représentations permanentes à Bruxelles : la représentation permanente auprès de l’Union européenne (RP/UE) et la représentation permanente auprès de l’Union de l’Europe Occidentale (UEO) et du Comité politique et de sécurité (COPS) de l’Union européenne. La filière européenne, comprend, en outre, les agents que le MAE affecte à la Présidence de la République, à Matignon, au Secrétariat général des affaires européennes (SGAE), et les RP à Bruxelles (RP/UE, RP/COPS).

  • La stratégie d’influence française

L’influence française dépend de notre capacité à être présents dans les structures européennes, en conséquence à financer des agents détachés au Service européen pour l’action extérieure (SEAE). Or s’agissant des candidatures à ce dernier, la concurrence est rude entre les Etats membres. Il convient dans le même temps de continuer de viser des affectations à la Commission de l’Union européenne, au Secrétariat général du Conseil, et au Parlement européen. S’agissant de cette dernière institution, l’Allemagne, Etat membre qui a le plus grand nombre de députés au parlement européen, a investi l’institution de manière majeure également dans ses structures administratives. Il convient de tenir le même raisonnement sur la présence française dans la politique des échanges avec les partenaires. Une relation institutionnalisée a ainsi été mise en place pour les échanges avec Berlin, et il importe de placer dans d’autres capitales européennes des agents du MAE (Rome, Prague, Copenhague).

Think tanks et communication

En matière de think tanks (groupes de réflexion ou laboratoires d’idées pour les questions européennes tels que la Fondation Robert Schuman ou la Maison de l’Europe), lorsque le département a voulu investir dans la politique d’influence, l’irruption de ces acteurs nouveaux, relativement mal connus, a posé une vraie question. Depuis, l’investissement se poursuit avec le centre d’analyse, de prévision et de stratégie (CAPS) et la direction de la communication et de la presse (DCP), puisque, à compter de l’année 2005, un véritable partenariat de communication a été institué et dont la gestion a été par la suite transférée à la DCP. C’est à présent un sujet partagé qui exige des compétences en matière de stratégie de communication.

  • Les évolutions liées au projet européen

L’avenir est lié aux évolutions du projet européen (exemple : Brexit et les pays entrants) et pour ce qui est du projet lui-même, on peut se fonder sur une synergie croissante entre le champ politique et géographique (exemple : l’arrivée de la Croatie dans la zone géographique couverte par la DUE dès l’ouverture des négociations en vue de l’adhésion à l’Union européenne).

  • Le vivier communautaire et européen

Il existe un vivier pour la filière communautaire, constitué notamment par les agents qui sont passés par le SGAE, ceux qui ont été experts nationaux détachés (END) dans les structures de l’UE, par DJ/UE, par la DUE, et depuis la création du SEAE, les agents qui souhaitent voir le Département y proposer leur candidature sont invités à l’indiquer à la DRH lors de leurs vœux en vue de la prochaine campagne d’affectations. Il s’agit donc de prendre en compte un vivier, une filière, une expertise, et de relayer une organisation et une cohérence dans une politique d’affectations, et notamment de veiller à la compétence communautaire des correspondants européens. Ceci est d’ailleurs en phase avec les objectifs fixés par le plan « MAEDI 21 » d’accroître l’effort de formation et des mobilités européennes.

  • La CFDT relève que les différents statuts ne posent pas problème

La CFDT-MAE relève que les problèmes identifiés, en matière de GPEEC, de la filière européenne – à l’instar de la direction des affaires politiques et de sécurité (DGP) – ne portent pas sur la cohabitation de différents statuts d’agents, contrairement à ce qui a été exprimé pour d’autres directions (DGM, SSD, DRH notamment). Le recours à des CDD, ponctuel, correspond à la période durant laquelle les lauréats, nombreux chaque année à la DUE, sont à l’IDC, et à chaque fois que cela est possible dès lors que les absences correspondantes pénaliseraient le service, des départs à l’IDC sont différés d’une année, étant observé que la DUE a pleinement conscience de la nécessité et de l’intérêt que cela présente pour les intéressés d’effectuer le cursus qui en tout état de cause est accompli.

  • La CFDT souligne la charge de travail des rédacteurs de la DUE

La CFDT rappelle qu’elle a constaté lors de visites de site (DUE/INT et DUE/RELEX, le 16 juin 2015), effectuées dans le cadre du CHSCT francilien, que de manière récurrente, la charge de travail était source de journées de travail anormalement longues et que la création d’ETP était nécessaire afin de remédier à cette situation.

  • La CFDT interroge la direction sur l’avenir des agents B et C

Comme pour la DGP, la CFDT-MAE interroge la DUE sur le rôle qui pourrait être dévolu aux secrétaires de chancellerie, au sein de cette direction, en relation avec ce qui avait été évoqué, en son temps, par M. DESMAZIERES au cours des réunions préparatoires GPEEC. Il s’agissait d’envisager de faire évoluer les fonctions traditionnelles de catégorie B vers celles de « chargé documentaire » capable de soutenir les rédacteurs géographiques dans leur mission politique voire de partager certaines activités en binômat. S’il est vrai que les secrétaires de chancellerie, au cours de leurs affectations à l’étranger, ont pu acquérir ou renforcer certaines compétences communautaires et la maîtrise de langues utiles à la DUE, qui pourraient être ici mises à profit, il convient, toutefois, que ces nouvelles tâches soient réellement enrichissantes et ne se limitent pas à la « simple » mise à jour des fiches pays. En ce qui concerne les agents de catégorie C, notamment ceux des CAD, la CFDT indique qu’il convient de bien les accompagner dans l’évolution de leurs tâches d’archivage, conséquence de la numérisation croissante de leur environnement de travail et de l’évolution de l’outil DIPLOMATIE.

Thèmes : Catégorie B, Catégorie C, DUE, GPEEC

Assemblée générale de la section CFDT-MAE – Nantes : Sujets revendicatifs et règlement intérieur

24 mai 2017

La section CFDT-MAE de Nantes a tenu ce mardi 23 mai son assemblée générale de printemps. 31 adhérents, dont 3 conseillers syndicaux nantais, étaient présents soit un taux  de participation de près de20% ; sept procurations avaient en outre été données et une camarade non-adhérente a également suivi nos échanges.

Revue des principaux points abordés et des débats :

  1. Eléments statistiques :

Le secrétaire de la section, Wilfrid ROUYER, a présenté les chiffres au 31/03/2017 : 1229 adhérents CFDT-MAE à jour de leur cotisation, dont 2/3 d’agents titulaires ; 33% de ces derniers en France, dont 158 à Nantes et 266 à Paris.

Notre pyramide des âges (tranche la plus représentée : 50/59 ans (30%), devant les 40/49 ans (21%) et les 30/39 (17,5%) s’avère un défi ; le secrétaire a expliqué à la section que le rajeunissement et le renouvellement générationnel passaient et par l’adhésion de trentenaires et que l’échéance électorale de décembre 2018 était l’occasion de susciter des candidatures de nouveaux/jeunes adhérents dans les diverses instances.

  1. Point sur les sujets revendicatifs particulièrement suivis par la section nantaise :

Le débat a été relancé sur l’avenir des corps de catégorie C ; un rappel du travail de notre camarade Thierry FOULON et de nos analyses dans le cadre de la GPEEC a été effectué et la perspective d’une enquête exhaustive sur les ADJADM/ADJTECH portée par des adhérents/permanents nantais et parisiens a été bien accueillie. L’établissement d’une plateforme revendicative sur la base de ses conclusions, comme nous l’avions fait au printemps 2015 avec les SCH s’avère plus que jamais une nécessité.

Le sujet du RIFSEEP au service central de l’état-civil a fait l’objet d’un tour de table animé. Les conclusions de l’enquête de Claire LEFEBVRE ont été rappelées : Alors que 30% des agents de catégorie C du MAEDI seraient sur un emploi recensé au groupe 1 du RIFSEEP, on constate que, selon les directions, ce taux varie très fortement. En effet, si la DGA (hors DRH et DAF) et SSD tournent en effet autour de 30%, certains services semblent avoir su se réserver la part du lion : 63% pour la DRH, 89% pour le CSRH et la DAF et 95% pour la DIL. En face, la DFAE dans son ensemble est à 9% et le service central de l’état civil, si on l’isole à 8% : une action est donc jugée indispensable en direction du DFAE afin de corriger rapidement le tir, l’exercice de « re-cartographie » étant en cours.

Les progrès en matière de procédure de délivrance de passeports diplomatique et de service pour les agents nantais partant en poste ont été relevés ; la simplification opérée par la DRH résulte d’une démarche active de la section. Toujours en matière d’expatriation, la section souhaite la relance de la question des délais de route, dont le premier groupe de travail s’est enlisé voici près d’un an.

Enfin, l’absence d’avancée sur « l’indemnité kilométrique vélo » a été vivement déplorée.

  1. Point sur le projet France Visas

Etienne ABOBI, en poste à la SDV a effectué un point sur l’avancée de France Visas. Ce projet, techniquement ambitieux suscite de nombreuses questions tant en matière de pérennité des ETPs en poste que de lutte « dématérialisée »contre la fraude.

  1. Adoption d’un règlement intérieur

La section de Nantes a, enfin, adopté à l’unanimité le projet de règlement intérieur présenté par le bureau ; il figure en pièce jointe à cet article.

Tradition ligérienne oblige, l’assemblée générale s’est poursuivie par un apéritif et un déjeuner en commun.

R.I. section Nantes

Thèmes : Nantes, Section Nantes

Une nouvelle question sur la FAQ

19 mai 2017

Question : Quelles sont les surfaces minimales pour un espace de travail ?

Lisez la réponse en vous connectant à votre espace adhérent.

 

Thèmes : faq

Sortie par le haut pour la restauration collective des agents installés à l’Ilôt Saint-Germain

19 mai 2017

La CFDT, alertée par plusieurs adhérents, avait rapidement signalé à la délégation pour la politique sociale (DPS) le problème de tarification que rencontraient les agents à la cantine de l’Ilôt Saint-Germain (ISG) et avait demandé une réunion du groupe de travail « restauration collective » afin de trouver une solution au plus vite.

Cette réunion s’est tenue le mercredi 10 mai et de bonnes nouvelles y ont été annoncées :

  • La DPS a reconnu un système de calcul de tarif difficile à appréhender car celui-ci repose sur une variation des tarifs en fonction du nombre d’éléments choisis qui sont comptabilisés en « points » dont la valeur dépend de la fréquentation du restaurant. Elle ignorait que cette variation était appliquée de manière rétroactive. La variabilité sera absorbée par un complément de la subvention de la DPS à titre exceptionnel pour solder cette situation inextricable. La DPS prendra en charge le surcoût de la rétroactivité de tarif du repas à la cantine de l’ISG. Les agents ne paieront donc pas de surcoût pour les repas déjà consommés.
  • La DPS a cherché une alternative afin de proposer aux agents concernés une autre cantine. Elle s’est rapprochée de celle du ministère de l’éducation nationale (MEN), rue de Grenelle. Celle-ci est gérée par une association qui, selon la DPS, produit des repas de bonne qualité (18% de bio, plat végétarien systématique, etc.). Le tarif d’un repas à cette cantine est cependant plus cher que celui d’un repas aux cantines du MAE. La DPS passera une nouvelle convention avec le restaurant du MEN. Les agents seront informés de cette nouvelle solution de restauration par mail et par Diplonet, qui pourrait être mise en place mi-juin.

Thèmes : Cantine, CAS

GPEEC des grandes directions « employeurs » : focus sur les métiers de la diplomatie à la DGP – jeudi 15 mai 2017

17 mai 2017

La CFDT-MAE souhaite revenir sur le dernier cycle de rencontres, entre octobre 2016 et mars 2017, portant sur l’évolution prévisible des « métiers » et des besoins en compétences, d’ici 5 à 10 ans, des grandes directions « employeurs » du ministère dont certaines réunions avaient déjà fait l’objet d’une précédente publication sur notre site (en particulier la DFAE et la DIL).

Dans le cadre du groupe de travail GPEEC (gestion prévisionnelle des emplois, des effectifs et des compétences), consacré à la direction générale des affaires politiques et de sécurité (DGP), présidé par la Directrice générale de l’administration et de la modernisation accompagnée du directeur général adjoint de la DGP, la CFDT-MAE revient sur l’exposé de l’administration, en séance, et les interventions de ses deux représentants syndicaux, Anne COLOMB et Thierry FRANQUIN.

  • Un environnement international mouvant et instable

L’environnement international général est mouvant, instable, il se fragmente et est caractérisé par une remise en cause du multilatéralisme sur lequel la France a beaucoup investi ces trente dernières années, au profit du bilatéral et du « bi-multi », dans un monde qui connaît de plus en plus de de crises imprévisibles qui ont des conséquences sur le travail et l’organisation de la DGP (ex. printemps arabes, Brexit). Dans un contexte de diminution des moyens de ce secteur chargé de l’analyse politique et des négociations, il existe deux options : la première est de se recentrer sur certains métiers et la seconde est de maintenir la diversification existante. La seconde option a été choisie par les autorités françaises et la DGP se place dans l’hypothèse où le ministère continue de couvrir les activités récemment entrées dans son périmètre, notamment la diplomatie économique et le tourisme.

  • Une nouvelle organisation du travail et des parcours

La réactivité demande une nouvelle organisation du travail, notamment la mobilisation de task forces. Les moyens sont en baisse et les métiers de la diplomatie changent. L’organisation des parcours est donc à repenser pour que soient intégrées ces nouvelles dimensions. L’analyse politique n’est pas une pratique innée et c’est tout au long de la carrière que s’effectue la formation. On n’arrive pas, et c’est là une spécificité, à la DGP directement formé. Si les rédacteurs sont recrutés avec un bon niveau initial, ils vont néanmoins apprendre la diplomatie tout au long de leur parcours.

  • Rédacteurs : la pression des éléments de langage

La direction générale est trop peu pourvue en personnels, or, moins on a de moyens, plus on a du langage, puisque la France est un pays qui a fait le choix d’être à vocation mondiale. Les rédacteurs sont ainsi sous la pression, obsessionnelle, des éléments de langage (EDL), alors qu’il conviendrait d’avoir de plus en plus de recul. Il est impératif de rationaliser la manière de travailler, de ne plus se situer sous la constante pression de la mise à jour d’EDL, au détriment de la réflexion de fond.

  • Le rôle dévolu aux agents de catégorie B et C

Pour ce qui est des agents de catégories B et C, la démarche est  différente. S’il y a moins de spécificité, il n’en demeure pas moins que sans ces fonctions, essentielles, que sont les fonctions de secrétaires, de chefs ou d’agents de centre d’archives et de documentation (CAD), qui manient des documents et des informations marquées par un fort degré de confidentialité, la DGP ne fonctionne pas.

  • La CFDT prône le maintien des missions et l’augmentation des effectifs

S’agissant du périmètre nouvellement élargi des domaines de compétences du MAEDI (diplomatie économique, tourisme), il est pertinent que le MAEDI y réfléchisse, que les missions continuent ou non d’être exercées par ce ministère ou non, car les missions devront en tout état de cause être exercées par une administration qui devra disposer des moyens suffisants pour les mener à bien. Dans la mesure où l’option a été prise de ne pas renoncer à certaines missions, il est impératif non seulement de ne pas réduire les effectifs, mais de les augmenter. La question de l’intérêt qu’il y aurait à conserver sur la durée au MAEDI certaines expertises mérite d’être posée.

  • La CFDT interroge la DGP sur l’avenir des catégories B et C

La CFDT-MAE revient sur le rôle qui pourrait être dévolu aux secrétaires de chancellerie, au sein de cette direction générale, en relation avec ce qui avait été évoqué, en son temps, par M. DESMAZIERES au cours des réunions préparatoires GPEEC. Il s’agissait d’envisager de faire évoluer les fonctions traditionnelles de catégorie B vers celles de « chargé documentaire » capable de soutenir les rédacteurs géographiques dans leur mission politique voire de partager certaines activités en binômat. S’il est vrai que les secrétaires de chancellerie, au cours de leurs affectations à l’étranger, ont pu acquérir ou renforcer certaines compétences régionales et la maîtrise de langues rares, qui pourraient être utilement mises à profit par la DGP, il convient, toutefois, que ces nouvelles tâches soient réellement enrichissantes et ne se limitent pas à la « simple » mise à jour des fiches pays. Par ailleurs, comme d’autres organisations syndicales, la CFDT s’interroge sur l’évolution envisagée des fonctions des agents de catégorie C.

  • Réponses de la direction générale des affaires politiques :

Pour ce qui est de la diminution des moyens, la DGP constate qu’elle est préjudiciable à l’élaboration des productions puisqu’elle a notamment pour conséquence une réduction des frais de mission. Il arrive ainsi que des nouveaux rédacteurs ne puissent se rendre dans les pays correspondant à leur portefeuille, rendant ainsi nécessaire l’appel à des compétences extérieures. La réduction du nombre des experts techniques internationaux (ETI), qui a chuté de 38 000 à 500 en trente ans, rend la situation encore plus difficile. Enfin, s’agissant des formations longues, il serait bénéfique que les diplomates qui partent en entreprise soient à leur retour affectés sur des fonctions de diplomatie économique.

Pour ce qui est des agents de catégories B et C, la DGP est également d’avis qu’il y a de nombreuses pistes à explorer, et qu’il convient de prendre en compte des fonctions jusqu’alors non développées, en particulier, pour le retour d’expérience sur les négociations et la manière de considérer les archives et la mémoire desdites négociations en vue d’une utilisation ultérieure. « Le nouveau, c’est ce qui a été oublié ». Il y a en effet une sous-utilisation des fonctions exercées dans les CAD. Pour les fonctions de secrétariat, elles sont conduites à évoluer pour assurer la cohérence de la chaîne documentaire ; cela devrait être possible avec le déploiement du portail Diplomatie v2 qui va augmenter les capacités d’un archivage fin.

 

Thèmes : Catégorie B, Catégorie C, GPEEC

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