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Formation à l’apprentissage de la langue des signes (CSAM novembre 2023)

17 décembre 2023

La CFDT-MAE a bien lu la proposition de l’administration sur l’apprentissage de la langue des signes, et trouve cette proposition insuffisante. 

La CFDT-MAE réitère sa demande que « l’apprentissage de la langue des signes » soit intégré dans l’offre permanente des cours extensifs et intensifs de langue du Département car il s’agit d’une langue à part entière au même titre que les langues parlées.

La CFDT-MAE demande que la formation pour l’apprentissage de la langue des signes soit ouverte à tous les agents en administration centrale comme à l’étranger, car trop souvent seuls les agents dans le périmètre du service d’affectation de nos collègues en situation de handicap suivent cette formation, ce qui limite les possibilités d’échange pour nos collègues sourds ou malentendants.  

La numérisation des dossiers administratifs des ADL nécessite des moyens renforcés (CSAM novembre 2023)

17 décembre 2023

La CFDT-MAE félicite l’administration pour la mise sur pied du projet « Expresso » qui a pour objectif non seulement de numériser tout le réseau, mais également de répondre aux besoins spécifiques des agents de droit local, notamment l’accès à leurs dossiers individuels dans lesquels ils pourront trouver, par exemple, les éléments nécessaires et un argumentaire à leur évolution professionnelle.

La CFDT-MAE a pris connaissance du projet qui a pour objectif de numériser tout le réseau en 2024.

La CFDT-MAE souhaite savoir, premièrement, si l’administration a effectué une évaluation auprès des postes bénéficiaires, ensuite elle souhaite connaître qui pilote le projet dans les postes, et enfin notre organisation demande à connaître le bilan de l’expérimentation dans les 7 postes pilotes.

À notre connaissance, les dossiers des agents ne sont pas alimentés au fil de l’eau, et nous nous interrogeons sur les moyens donnés aux postes pour atteindre les objectifs fixés.

RI des ADL : harmonisation entre la Chancellerie, le Consulat et les IF (CSAM novembre 2023)

17 décembre 2023

La CFDT-MAE souhaite aborder la question des règlements intérieurs (RI) des agents de droit local (ADL) :

Les postes doivent, en accord avec les dispositions du droit local, mettre en place un règlement intérieur.
Le règlement Intérieur constitue un guide à la disposition du chef de poste, des gestionnaires et des agents de droit local eux-mêmes. Ce document, qui traduit un souci de transparence et de dialogue avec les agents, est élaboré en concertation avec l’avocat conseil du poste, spécialisé en droit du travail et le Bureau des recrutés locaux.

La CFDT-MAE aimerait connaître le nombre de postes disposant de règlement intérieur des ADL et en particuliers le nombre de règlements intérieurs des ADL à jour par rapport à la législation locale du travail.

L’administration se dit favorable à l’harmonisation des règlements intérieurs dans les postes entre la Chancellerie, le Consulat et les Instituts français :

Question 1: quelles mesures sont prises par l’administration pour contrôler que cette harmonisation se fait ?
Question 2: comment expliquer qu’en 2023 des règlements intérieurs d’Institut Français sont toujours validés par la DGM ?

Enfin, la CFDT-MAE souhaite que l’administration rappelle aux COCACs qu’ils ne peuvent échapper aux règles du dialogue social à l’étranger et faire valider leur règlement intérieur en consultant les représentants du personnel du CSAPE.

L’attribution de la médaille du travail doit être négociée avec les représentants du personnel (CSAM novembre 2023)

17 décembre 2023

La CFDT souhaite souligner que bon nombre d’agents recrutés locaux peuvent prétendre aux divers échelons de la médaille d’honneur du travail, tels que la médaille d’argent après 20 ans d’ancienneté, la médaille de vermeil après 30 ans, voire la grande médaille d’or après 40 ans de service, au moment de leur retraite.

De plus, selon les textes, il est prévu qu’en cas d’accord écrit négocié entre les représentants des salariés et l’employeur, l’employeur peut verser une somme d’argent pour récompenser les services ou accorder un ou plusieurs jours de congé. Fin de citation.

La démarche pouvant être initiée aussi bien par l’employé que par l’employeur, la CFDT-MAE demande l’attribution de cette distinction honorifique aux RL, surtout à ceux qui la demandent, en fonction des années d’ancienneté travaillés, et avec une gratification que l’administration et les représentants du personnel auront négocié et signé.

L’administration doit appliquer partout le droit d’option et ouvrir des négociations sur les retraites des ADL (CSAM novembre 2023)

17 décembre 2023

Lors du dernier CSAM de juillet, la CFDT-MAE s’était déjà longuement exprimée sur les conventions bilatérales de protection sociale et le droit d’option des ADL. Elle avait dénoncé le fait que la faculté d’exercer ce droit d’option n’avait pas été uniformément proposée aux ADL des pays dans lesquels une telle convention a été conclue.

A titre d’exemple, nous avions axé notre propos sur la situation de nos collègues en Argentine qui, du fait des manquements de l’Administration, doivent se battre depuis plusieurs années pour qu’enfin on entende leurs voix et qu’on respecte leurs droits. Nous ne reviendrons pas ici sur l’historique de cette situation.

Depuis, le poste a acquis un logiciel d’un coût d’environ 8 000 euros, lui permettant de traiter les contrats à venir, acquisition qui aurait dû aller de soi à partir du moment où la convention bilatérale avait été signée – en 2008 – et était entrée en vigueur. A l’avenir, les nouveaux contrats de travail des ADL d’Argentine ne seront pas confrontés à cet imbroglio. Mais quid des ADL qui ne se sont jamais vus proposer le droit d’option ?

Pour mémoire, en ce qui concerne les ADL français, il existe une prescription quinquennale applicable en matière de cotisations arriérées. Aussi, plus l’Administration tardera à régulariser ces arriérées, plus la facture sera élevée. En effet, l’employeur sera alors tenu de prendre à sa charge ces arriérés de cotisations de la part « employé » précédant les 5 dernières années.

La CFDT-MAE réitère sa demande que le Département recense, sans délai et dans l’ensemble des réseaux, les postes et Instituts qui ne se sont pas ou qui ne se sont qu’incomplètement acquittés de leurs obligations en matière d’information de l’existence d’un droit d’option dans le pays de résidence et qu’il mette tout en œuvre pour identifier un interlocuteur dans les services de la DRH à Paris, qui coordonnera les initiatives aux fins de résolutions des questions d’affiliation et de rétroactivité des cotisations.

Outre la situation de nos collègues ADL en Argentine, nous vous avions aussi communiqué les préoccupations en matière de retraite des ADL dans un certain nombre de pays. Pour mémoire, il s’agissait de la Norvège, des Pays-Bas, d’Israël, de la Russie, du Niger et du Cameroun.

Cette liste, dans la perspective du groupe de travail sur la retraite des ADL, très attendu par ces derniers, et dont la CFDT-MAE attend toujours de connaître la date de la 1ère réunion, s’est enrichie depuis de nouvelles contributions

Ainsi, en Irlande, à la suite du mouvement de grève de décembre 2008, la mise en place d’un fonds de pension irlandais avait été obtenue. Cependant, il avait été demandé que ce « complément » retraite,  indispensable dans un pays dans lequel le niveau de pension est le même pour tous : (environ 280 euros par semaine à ce jour), soit mis en place en France pour éviter des fonds trop spéculatifs et incertains. A cette époque, il nous avait été répondu que le dispositif devait rester local.

Il existe deux problèmes au choix qui a été ainsi fait :

  • le niveau des salaires qui ne permet pas à tous de contribuer à ce fond ;
  • et le fait que les ADL français ne peuvent pas bénéficier des avantages fiscaux importants liés à ces cotisations puisqu’ils ne payent pas leurs impôts en Irlande mais en France (Convention fiscale France-Irlande).

Cela limite, de façon non négligeable, l’intérêt d’une participation à ce fonds irlandais.

En Serbie, le sujet est au centre des « préoccupations » des ADL, conscients que le montant mensuel de leur pension ne leur permettra pas de vivre décemment. Cela tient entre autres au fait que pendant plus de vingt ans, ils ont été déclarés avec un montant minimal et de facto avec des versements de cotisations retraite minimales. Il leur a fallu attendre 2005 à l’Ambassade et 2006 à l’Institut, années d’établissement de leurs premiers contrats de travail et de leurs bulletins de salaires en bonne et due forme, pour qu’ils soient effectivement déclarés sur la base de leurs salaires «réels». Avant cela, leurs salaires étaient versés en espèces et ils n’avaient donc aucune visibilité sur les cotisations – dont celles de la retraite – versées auprès des caisses et organismes serbes. Cela a eu impact catastrophique sur le montant des retraites des ADL puisque le système serbe prévoit le calcul de la retraite sur la base des cotisations réglées pour l’ensemble des années travaillées. Or, les années déclarées au minimum font nettement chuter le montant global des cotisations. Ainsi, il a été estimé qu’une personne recrutée en 1990, qui partirait sous peu à la retraite, toucherait une pension d’à peine 500 euros. Alors que si, depuis le début de sa carrière, les cotisations avaient été versées conformément au droit local du travail, elle aurait pu prétendre à une pension de près de 800 euros, pension qui est loin de permettre une retraite sereine dans un pays où le système des retraites et de sécurité sociale est défaillant.

S’ils bénéficient d’une indemnité de départ à la retraite représentant près d’un an de salaire brut, cette dernière ne peut néanmoins être considérée comme une compensation pour le préjudice subi. En effet, pour certains agents, le préjudice subi représente jusqu’à plus de 20 ans de cotisations non conformes.

Les chancelleries britannique et allemande, confrontées à la même problématique, ont dédommagé ou compensé les pertes subies des salariés. La chancellerie Italienne a fait de même car des employés l’ont poursuivie en justice.

Les ADL du poste saluent le fait que suite au COS de décembre 2022 et à la venue de l’Inspection en mars dernier, la Département semble vouloir se saisir du dossier et entamer une réflexion à ce sujet. De leur côté, les agents concernés ont commencé à rassembler les éléments utiles à leur reconstitution de carrière même si la tâche n’est pas aisée de retrouver des pièces datant des années 80 et 90.

En Thaïlande, La législation locale offre une retraite uniquement aux fonctionnaires à partir de l’âge de 60 ans et pas au reste de la population. Les personnes âgées continuent donc à travailler même après l’âge officiel de la retraite à 60 ans pour ne pas se retrouver sans revenu et ce, uniquement quand leurs entreprises le permettent. Chacun se doit donc d’épargner en vue de sa retraite, chose non aisée à accomplir avec le niveau des salaires en Thaïlande.

Concernant les ADL, leur situation varie en fonction de l’année de leur contrat (avant ou après 2014). Auparavant, un agent ayant 30 ans de service pouvait recevoir 600 000 THB en IFF (un peu plus de 15 000 euros). Désormais,  le même agent ne recevra plus que 260 000 THB (environ 6 700 euros) pour toute une carrière au service de l’État français. Cela a eu pour conséquence de démotiver certains agents, les amenant parfois à démissionner pour trouver un métier plus avantageux sur le plan de la rémunération et donc sur le montant de leur future pension.

A Madagascar, l’organisme qui gère les retraites est la CNAPS (caisse nationale de prévoyance sociale). Les agents peuvent prétendre à une retraite complète s’ils ont cotisé au minimum 15 années de service. Cependant, depuis janvier 2023, le plafond salarial pris en compte par la CNAPS est de 394 euros. S’il augmente un peu tous les ans, les cotisations sont limitées à 1% du salaire et ceux qui gagnent plus que le plafond ne peuvent cotiser qu’à hauteur de 1% du plafond.

Les retraites perçues sont donc, même avec une ancienneté de plus de 20 ans, d’environ 230 euros mensuels. D’où une grosse perte du pouvoir d’achat pour ces agents, une fois retraités. A noter également : il n’y a plus de couverture santé pour les retraités.

L’indemnité de fin de fonctions n’est pas suffisante. A titre d’exemple, les agents au niveau 1 à 5 de la grille des salaires, donc pour la plupart des employés, ne toucheront, pour 10 ans de services, qu’un montant compris entre 1 000 et 3 000 € et entre 2 000 et 5 000 euros pour 20 ans de service.

Au vu de tous ces situations, la CFDT-MAE souligne qu’il est urgent que l’Administration se saisisse enfin de cette problématique pour mettre un terme à des situations irrégulières et socialement dommageables pour nos collègues ADL.

La CFDT-MAE rappelle son souhait de négocier et signer un accord-cadre contraignant pour poser un cadre juridique, un socle de garanties et de droits communs pour tous les ADL du réseau.

La CFDT-MAE revendique l’octroi de congés d’aération dans les pays fortement pollués (CSAM novembre 2023)

17 décembre 2023

La CFDT-MAE est engagée en faveur de la transition écologique. Face au changement climatique, elle appelle à une accélération d’une adaptation systémique et juste pour faire face aux enjeux environnementaux.

Nous souhaitons alerter l’administration sur le dérèglement climatique et plus particulièrement les pics de pollution dans certains pays, c’est le cas à New Delhi.

Nous souhaiterions savoir ce que l’administration met en place pour prévenir les conséquences de ces pics de pollution qui mettent en danger la santé de nos collègues et de leurs familles.

La CFDT-MAE propose la mise en place de congés d’aération pour les agents et leurs familles affectés dans les pays qui connaissent des pics de pollution récurrents.

Une crise climatique devrait être considérée par l’employeur comme une crise politique.

La CFDT-MAE demande une réinternalisation du traitement des visas (CSAM novembre 2023)

17 décembre 2023

La CFDT-MAE constate que globalement France-Visas fonctionne bien. C’est un système complexe dont les développements informatiques sont sans fin mais l’essentiel a été fait et finalement cela marche. Et est-ce encore un programme informatique ou bien un outil à présent normalisé qui a vocation à fonctionner sous le contrôle de la direction « métier » ?

Sur le rapport Hermelin et ses recommandations en matière d’attractivité, nous retenons d’abord, et surtout la proposition 37.

Recommandation n°37 : Reconstituer les effectifs d’agents instructeurs dans les postes, en priorité dans les pays cibles en termes d’attractivité.

En 2023, il y a eu 11 créations de postes. C’est très insuffisant. Quid de 2024 ? Les vacations, insuffisantes, ne satisfont pas du tout l’énorme besoin de nouveaux collègues pour permettre aux services de travailler normalement. Combien de créations de poste d’agents titulaires sont prévues en 2024 ?

Sur le rapport Hermelin, clairement, nous nous opposons à la recommandation 38 :

Recommandation n°38 : Étudier la possibilité juridique de confier à des recrutés locaux l’instruction de dossiers simples.                                          

Il ne s’agit pas d’une réaction de défiance, ni d’un manque de compétences. Il s’agit simplement de protéger nos collègues ADL de toute forme de pression dans les pays en tension.

A la fin, tout compte fait, il faut des titulaires expatriés pour instruire les demandes de visas. Les autres pays européens, nos amis allemands en particulier, sont plus nombreux pour traiter moins de dossiers.

Un point encore sur cette recommandation : qu’est-ce qu’un dossier simple ? Dès qu’un type de demande voit son traitement simplifié, des demandeurs non légitimes essaient d’en abuser. Il n’existe donc pas de dossiers « simples ».

Sur le rapport Hermelin, deux questions encore. Où en sommes-nous de la proposition 32 ?

Recommandation n°32 : Prioriser dans la feuille de route du programme France-Visas :

1/ la dématérialisation de l’ensemble des demandes de visa ;

2/ l’interfaçage de France-Visas avec EES ;

3/ l’interfaçage de France-Visas avec l’ANEF.

Nous entendons que les expériences de dématérialisation n’ont pas donné satisfaction. C’est pourtant un enjeu pour nos collègues qui traitent les demandes et qui s’inquiètent de l’évolution de leurs pratiques liée à cette dématérialisation, par ailleurs préconisée par l’Union dans sa résolution d’octobre 2023.

Nous pensons que sur cet enjeu majeur, la dématérialisation des demandes de visa, les développements et surtout le suivi de ceux-ci devraient être largement réinternalisés et accompagnés par des spécialistes des métiers.

Et de la proposition 35 ?

Recommandation n°35 : Expérimenter un algorithme de pré-sélection des dossiers de demande de visa                                             

Déléguer la décision ou au moins l’instruction ou au moins une partie de l’instruction à un algorithme, et tous nous pensons à l’AI, a un côté magique.

Nous ne disons pas que l’AI n’y parvient pas mais d’abord, il faut remettre les choses à leur place, il faut faire en sorte que les collègues des services des visas aient les moyens nécessaires à l’accomplissement de leur mission dans de bonnes conditions.

Ensuite, nous avons le souvenir d’une première expérience (AVIS) dans trois postes. Quel bilan avons-nous tiré de cette expérience ? (Nous imaginons que le bilan était plutôt négatif puisque nous avons abandonné ce projet).

Une expérimentation a déjà eu lieu avec AVIS sur 3 postes, des conséquences ont-elles été tirées, si oui qu’elles sont-elles ?

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