La situation des recrutés locaux à Alger se dégrade de plus en plus depuis le passage en 2010 du salaire de l’euro vers le dinar algérien (monnaie non convertible). Les agents ont perdu 40 % de leur pouvoir d’achat. Les seules augmentations sont le coût-vie, non applicable au taux FMI et le 1% d’ancienneté. Les conditions de travail se dégradent et les agents ne sont plus motivés. Pour cela nous avons envoyé une plate forme de revendications à l’administration qui résume la situation des ADL d’Alger.
Nous ferons part de ces revendications demain, jeudi 14 mars, à Madame Claudine Lepage, Sénatrice des français établis hors de France, lors d’un déjeuner.
La section CFDT-MAE d’Alger