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L’administration présente le projet « Collège des Hautes Etudes de l’Institut Diplomatique » – 4 avril 2019

10 avril 2019

Le jeudi 4 avril, l’administration a présenté au Centre de Conférences Ministériel le projet de « Collège des Hautes Etudes de l’Institut Diplomatique » (CHEID). La CFDT-MAE était représentée par Anne Colomb et Thierry Franquin.

Pour mémoire, une information publique sur la création du nouvel institut vient d’être publiée sur une page dédiée du site France Diplomatie permettant d’expliciter le concept et les tarifs, ainsi que les modalités pour déposer sa candidature.

  • Un projet conçu pour remédier à un déficit de visibilité du ministère sur le territoire national

Ce projet est né de la constatation par le Conseil d’Orientation de l’Action Extérieure (COAE), de juin 2018, du manque de visibilité du ministère et de connaissance de ses métiers sur le territoire national et dans l’annonce faite par le Ministre lors de la Conférence des Ambassadeurs fin août 2018 de « l’ouverture des promotions de l’IDC à des personnalités extérieures afin que notre action soit mieux connue et que nous puissions nourrir notre réflexion des apports de la société dans son ensemble ».

Le projet CHEID a été approuvé par le Ministre lors du COMEX du 1er février 2019.

  • Et pour dispenser une formation non diplomante animée principalement pas des intervenants cadres du ministère

Ce contenu de cette formation est ainsi présenté par l’administration :

« Cette formation de haut niveau se déroulera sur une vingtaine de jours de formation répartis sur 10 mois, de septembre à juin. Elle comportera un ensemble de 10 séances de 1 jour ½ sur les sites du Ministère, avec présentations et études de cas, et se concentrera sur les cœurs du métier diplomatique tels que l’analyse géopolitique, la négociation et la capacité à agir sur la marche du monde, la protection consulaire et la gestion de crises, le rayonnement de la France avec la diffusion de ses valeurs et la promotion de son économie, ou l’ingénierie diplomatique (du protocole à la communication).

Plusieurs sessions de terrain en France (exercice de simulation de négociation et de gestion de crise, en cellule de crise et au camp de Beynes, participation à des moments forts de l’année diplomatique) et à l’étranger (2 à 3 voyages d’étude au sein de l’activité de nos ambassades et représentations multilatérales, en groupe restreint, feront partie de la formation.

(…) Un suivi sera ensuite assuré avec les alumni du CHEID.

Outre les cadres du Ministère (principalement Directeurs, Ambassadeurs) sélectionnés en fonction des thèmes mais aussi de leurs capacités de pédagogie et de communication, les correspondants du CAPS et des personnalités de haut niveau seront également mises à contribution pour favoriser des échanges ouverts. »

  • Destinée à un public venant d’horizons professionnels variés et qui prendra en compte l’objectif parité hommes /femmes

« Le groupe ne devrait pas excéder 40 personnes (30 auditeurs extérieurs et 10 auditeurs internes au Département), âgés de 35 à 50 ans, ayant déjà une bonne expérience professionnelle. Les auditeurs externes seront sélectionnés parmi des cadres du secteur privé à haut potentiel, élus nationaux et locaux, hauts fonctionnaires, universitaires, journalistes, etc. Ils devront détenir/demander une habilitation « confidentiel défense ».

  • Un projet à coût nul

Ce projet, autofinancé par les frais d’inscription, répartis en trois tarifs, en fonction de la provenance des auditeurs (*) formera sa première promotion à partir de septembre 2019, après une mise en place de la cellule porteuse (3 agents) et des démarches auprès des publics-cibles, et élaboration des contenus pédagogiques. La clôture des inscriptions est prévue le 15 mai 2019, la liste des candidats sélectionnés sera annoncée le 20 juin. Ils devront avoir obtenu leur habilitation (confidentiel défense), et participeront à la Conférence des Ambassadeurs fin août 2019.

Commentaires :

La CFDT-MAE est favorable à ce que le Département s’ouvre à la société civile et, en particulier, à des personnes relais du monde politique, économique, universitaire et des médias, capables, à l’issue de cette formation, de mieux comprendre nos métiers, nos contraintes et notre valeur ajoutée.

Notre organisation syndicale a donc approuvé la démarche dans son principe, ne voyant que des avantages à mieux communiquer sur les métiers du Département, en effet souvent perçus de manière erronée ou partielle, voire caricaturale, sinon méconnus. Elle a appelé l’attention sur la nécessité de prendre en compte dans le programme de la diversité des métiers exercés, dans tous les réseaux, qu’il s’agisse du réseau diplomatique et consulaire, culturel et de coopération et économique et touristique.

Par ailleurs, il conviendra de bien placer le curseur s’agissant de ce qui peut ou non se dire dans une formation de ce type. Les auditeurs doivent pouvoir participer « de l’intérieur » au fonctionnement du Ministère et accéder, pour ce faire, à un certain nombre d’informations confidentielles sans toutefois aller au-delà de que leur permet leur niveau d’habilitation.

 

                                                                    ***

 (*)  1°/ journalistes de la presse écrite et indépendants, 2°/ fonction publique, élus nationaux et représentants de chambres consulaires, journalistes de télévision et de radio, chercheurs et universitaires, entreprises de moins de 1.000 salariés, et 3°/ entreprises de plus de 1000 salariés.

Thèmes : CHEID, Formation

Résultats de notre enquête (1/4) : les « Catégorie C » prêts à partir, à l’étranger… ou ailleurs ?

26 juin 2018

Vous avez été très nombreux – plus de 700 – à répondre à notre enquête lancée en mars dernier. Syndiqués ou non, femmes ou hommes (dans une proportion qui reflète celle que l’on observe dans le corps), anciens et nouveaux, en poste ou à l’administration centrale. Le temps que vous avez passé à répondre à nos questions n’aura pas été vain, puisqu’il nous permet aujourd’hui de dresser le portrait, au plus juste, d’une espèce singulière au sein de la biodiversité des fonctionnaires français : le titulaire de catégorie C du ministère de l’Europe et des affaires étrangères.

Avec un premier constat : le titulaire de catégorie C du ministère de l’Europe et des affaires étrangères est plutôt pessimiste. Oh, bien sûr, dans la vie de tous les jours, il n’est pas exclu qu’il soit heureux de vivre et de joyeuse compagnie, mais quand on l’interroge sur son avenir au sein de son ministère, il répond sept fois sur dix qu’il ne l’envisage pas de manière positive.

Allons bon. D’où vient donc cette morosité ? Peut-être de la gestion des affectations à l’étranger, qui ne satisfait qu’à peine un tiers d’entre vous ? Et pourtant vous déclarez à près de 90% avoir obtenu un de vos vœux en Transparence initiale ou complémentaire. Ce critère, pourtant régulièrement mis en avant par la DRH pour juger de votre satisfaction, apparaît du coup peu pertinent et, pour le moins, insuffisant. Il est vrai que la plupart sont partis au moins une fois à l’étranger, et à part les 10 % qui n’y ont jamais mis les pieds et ne rêvent même pas de tenter l’expérience, les autres sont rompus à l’exercice : c’est le cœur de votre carrière pour les 4/5 d’entre vous, dont un noyau dur (30 %) qui essaie de rester le plus possible à l’étranger. Il faut dire que 20 % d’entre vous étaient recrutés locaux avant de passer le concours et avaient donc déjà fait le choix de l’expatriation à temps complet…

Non seulement la gestion des affectations à l’étranger ne fait pas l’unanimité, mais vous reprochez à l’administration son manque de transparence : plus de 60 % des personnes interrogées disent ne pas être correctement informées des règles de gestion concernant les affectations. La satisfaction en matière d’affectations en administration centrale pose, semble-t-il, moins de problème avec seulement une grosse moitié d’insatisfaits, mais il est vrai que les enjeux ne sont pas les mêmes quant à la diversité des destinations géographiques et aux difficultés d’adaptation en milieu difficile…

Une gestion plus fluide et transparente des affectations suffirait-elle à rendre le sourire aux « catégorie C » ? Pas sûr, car on distingue d’autres nuages dans votre ciel : vous pointez par exemple le manque de reconnaissance professionnelle. La faute à FANEV ? « Scolaire », « archaïque », « inutile et injuste », « laxiste »…  l’outil ne remporte pas l’adhésion. Il vous semble plutôt mal adapté, ne rend pas bien compte, dites-vous, de votre travail et de votre investissement.

Un manque de reconnaissance donc, et surtout, des perspectives de promotion difficiles.  Alors que vous êtes plus de la moitié à espérer occuper un jour des fonctions supérieures (B ou A), la porte vous paraît bien difficile à franchir : le ratio de promotion interne ne semble pas adapté à près de 90 % d’entre vous. Vous êtes pourtant prêts à passer les concours (plus de la moitié d’entre vous), ou un examen professionnel qui vous permettrait d’évoluer soit vers le principalat de 1ère ou 2ème classe, soit vers la catégorie B. A bon entendeur, salut !

D’autant que vous appréciez ce que propose le ministère en matière de formation : les trois quarts d’entre vous en reconnaissent la variété. Avec un bémol toutefois, que vous êtes nombreux à apporter : encore faut-il pouvoir les suivre, ces formations ! Plusieurs d’entre vous (plus de 40 %) ont déjà rencontré des difficultés pour s’y inscrire : « nécessités de service », « éloignement », « refus de la hiérarchie », « absence de prise en charge », « horaires incompatibles », « charge de travail », « cours complet »… La liste est longue des entraves que vous rencontrez en France, mais surtout à l’étranger, et évoque jusqu’aux questions de garde d’enfants pour suivre les trois mois d’IFAAC à Nantes quand on réside à Paris…

Pessimiste donc, et pourtant volontaire, résolument tourné vers l’étranger, le « C » sait qu’il sert à quelque chose, mais aimerait bien qu’on le lui reconnaisse. Et il vaudrait mieux ne pas trop attendre pour lui donner des raisons d’espérer… 45 % de ceux qui nous ont répondu envisagent de quitter le ministère avant leur retraite…

L’enquête sur les « C » continue… Ne ratez pas la suite des résultats de notre sondage.

Les « C » seront à l’étranger au prochain épisode !

 

Résultats détaillés du questionnaire « tronc commun ».

Thèmes : agents titulaires, Catégorie C, FANEV, Formation, Postes à l'étranger, Transparence

Message aux adhérents parisiens – Dialogue social en poste : préparez-vous à partir !

3 mars 2017

Chères et chers collègues,

La section syndicale CFDT-MAE de Paris  souhaite proposer à ceux d’entre vous qui partent à l’étranger, à l’été 2017, ou qui envisagent de le faire les années suivantes, une information ou formation spécifique sur le dialogue social (DSP),  tel qu’il est mis en place dans l’ensemble de nos postes à l’étranger (ambassades, consulats, instituts).

Cette courte formation – modulable en fonction de vos besoins et de vos disponibilités – s’adresse à tous les adhérents, quelles que soient leur catégorie et leur fonction, qu’ils aient à gérer et à animer des équipes en poste ou pas.

L’idée est de s’adapter à vos besoins et à vos attentes dans un contexte où vous n’avez que peu de temps (1 à 2 heures, une demi-journée, 1 ou 2 journées) à consacrer à ce thème avant votre prochain départ. Nous sommes flexibles et nous pouvons intervenir sur les différents sites parisiens à des horaires qui vous conviennent.

Pour mémoire, cette formation peut également être très utile à ceux qui envisagent d’assumer des fonctions de représentant du personnel CFDT à l’étranger en leur permettant de découvrir les enjeux liés à ces mandats.

Ces formations sont couvertes par le droit syndical et peuvent faire l’objet d’une autorisation spéciale d’absence qui est à demander auprès de nous.

Alors si vous êtes intéressé(e), n’hésitez pas à nous contacter, nous nous ferons un plaisir de vous répondre.

Contact : cfdt.mae@diplomatie.gouv.fr

Liens : www.cfdt-mae.fr

www.facebook.com/cfdt.mae
Nous espérons vous rencontrer très prochainement.

Le bureau de la section CFDT-MAE Paris

Thèmes : DSP, Formation

La formation au cœur des enjeux de gestion prévisionnelle des emplois et des carrières

1 février 2016

Une réunion s’est tenue le 27 janvier 2016, en présence de toutes les organisations syndicales. Elle était animée par la sous-directrice de la formation, accompagnée du sous-directeur RH1. La CFDT-MAE était représentée par Nathalie Berthy, Denise Dariosecq et Nadine Monchau.

Un projet de règlement intérieur de l’IFAAC qui devra être amélioré avant sa présentation pour avis formel au CTM

Le règlement intérieur de l’IFAAC, approuvé par l’arrêté du 23 novembre 2009, doit être amélioré. Un projet de nouvel arrêté est donc présenté aux organisations syndicales. Il apporte des modifications majeures à la formation dispensée par l’IFAAC et notamment au tronc commun, qui s’insère désormais dans un « passeport formation » d’une durée de 4 ans (à chaque année correspondant une phase de formation) réservé aux secrétaires de chancellerie comme le montre le schéma en annexe (cf. en fin d’article), qui est un document de travail susceptible d’évoluer lors d’autres concertations prévues avec les représentants du personnel.

Le tronc commun, qui constitue désormais la 3ème phase de ce cycle, fusionne les aspects théoriques et pratiques (c’est la fin des modules distincts de « spécialisation ») ; la notation, jugée infantilisante par les stagiaires et les formateurs, est remplacée par une évaluation de l’acquisition des compétences (non acquis ; en voie d’acquisition ; acquis) ; le jury de l’IFAAC se tient en fin de formation et non plus au milieu comme aujourd’hui (après le tronc commun et avant la spécialisation).

Si la plupart des organisations syndicales se félicitent de la suppression de la notation et de la fusion au sein d’un même cycle des aspects théoriques et pratiques de la formation, elles restent dubitatives sur d’autres points. la CFDT-MAE soulève des interrogations et des inquiétudes :

– L’organisation en 4 phases de ce « Passeport formation », qui s’adresse aux nouveaux venus dans le corps des SCH, accompagne la réforme « de fait » des temps de séjour pour les primo-partants, sujet sur lequel la CFDT s’est déjà exprimée.

– Les agents de catégories C sont désormais exclus de ce passeport formation. S’ils continueront de pouvoir accéder aux stages de spécialité organisés par l’IFAAC, comment traitera-t-on le cas des agents C polyvalents ?

– Un agent qui effectue la totalité du passeport formation partira à l’étranger entre 1 an et un an et demi après avoir terminé la phase 3 (acquisition des compétences métiers). C’est beaucoup pour espérer tirer un bénéfice maximum de la formation.

– Dans sa note accompagnant le projet de règlement intérieur, il est écrit que « RH2 envisage de conditionner le départ à l’étranger des stagiaires concernés à la validation de ces sessions de formation ». S’il est sain de parler ouvertement de cette question, alors que cette pratique a déjà court sans que cela soit dit, il reste que les SCH ont passé un concours difficile qui leur donne accès à un corps ayant une vocation statutaire à servir à l’étranger. Lier un départ à l’étranger à la validation d’une formation revient à ajouter une condition supplémentaire, ce qui est d’autant moins acceptable que les autres catégories d’agents qui suivent des formations ne sont soumis à aucune évaluation de cette nature (par exemple, les agents A à l’IDC).

RH4 soutient que la situation des SCH est particulière car leur concours ne les prépare pas aux métiers qu’ils exerceront, alors qu’un SAE à qui on demandera de rédiger des notes mettra en œuvre les qualités qui ont été évaluées au moment du concours.

Le projet de règlement intérieur supprime la présence, parmi le jury de l’IFAAC, du représentant des stagiaires, pourquoi une telle initiative ?

Ce projet prévoit que le stagiaire sera évalué sur son investissement personnel, ses connaissances réglementaires et techniques, et son intégration au groupe (sociabilité, partage d’expérience, esprit d’équipe). La CFDT-MAE conteste absolument ce dernier critère : les qualités relationnelles d’un agent doivent être évaluées en situation professionnelle et non en formation, par un supérieur hiérarchique dans le cadre de FANEV et non par un formateur. RH4 convient qu’il n’est pas certain que  ce critère, qui s’éloigne des questions de formation, ait sa place dans le règlement intérieur.

La contestable dispense de certains agents B promus A d’une participation au stage initial de l’IDC

Pour la CFDT-MAE, l’IDC doit être le creuset commun de formation des nouveaux agents A, afin de faciliter le décloisonnement, d’encourager les changements de filière, de favoriser la connaissance réciproque entre agents issus de différents horizons pour lutter contre le fonctionnement en silot. A cet égard, l’intégration à cette formation des ASIC, dont l’essentiel de la carrière se déroule dans la filière informatique, était un symbole et une avancée majeure.

Dès lors, certains de nos collègues B promus A qui étaient tout-à-fait prêts à suivre cette formation se sont étonnés de se voir « dispensés » alors qu’ils n’avaient rien demandé !

RH4 explique que pour certains agents B qui sont promus en fin de carrière et qui n’envisagent pas de changer de filière, leur participation à l’IDC, qui est une formation longue et coûteuse, n’a pas été jugée nécessaire. Elle convient néanmoins qu’il y a pu avoir un problème de communication avec RH2 sur les intentions réelles des agents.

La CFDT-MAE alerte l’administration sur le risque que « l’exception » s’étende, pour des raisons budgétaires, à d’autres catégories d’agents qui ne sont pas directement affectés dans la filière politique (ASIC, SAE issus des IRA), ce qui signerait progressivement la fin d’un IDC ambitieux, généraliste, ouvert.

La CFDT insiste sur les formations santé sécurité au travail et sur les formations à destination des recrutés locaux

La CFDT a demandé que les formations dont pourront bénéficier les élus en CTPE se fassent sur un temps sanctuarisé, pris sur le temps de travail, comme cela est le cas en administration centrale pour les représentants des personnels dans les CHSCT. Elle a proposé la tenue d’un groupe de travail sur les modalités de ces formations si nécessaire.

La CFDT a noté l’effort de formation en direction des managers sur la thématique des risques psychosociaux ainsi qu’une nouvelle formation pour les membres des commissions de recrutement spécifique handicap. A ce sujet, elle a rappelé l’importance de la sensibilisation des services accueillant des personnes en situation de handicap pour prévenir toute difficulté (équipement requis, intégration dans l’équipe de travail).

Formation des élus CTPE à la santé & sécurité au travail

 La CFDT remercie l’administration d’avoir  bien pris en compte ses remarques, régulièrement faites lors des CHSCT ministériels , concernant la formation des élus en CTPE et de l’avoir intégrée dans le programme 2016. Cependant, la CFDT s’interroge sur l’accès des élus en CTPE travaillant dans les instituts français ainsi d’ailleurs que pour les personnels de résidence qui au même titre que les autres collègues doivent bénéficier de cette formation. RH4 a semblé découvrir qu’il n’y avait pas que les agents travaillant en consulat ou en ambassade qui avaient droit à cette formation mais bien l’ensemble des élus. La CFDT reste donc très vigilante et n’hésitera pas à le rappeler régulièrement à l’administration.

Le projet de règlement de l’IFAAC a été présenté aux organisations syndicales la veille de la tenue à Nantes du Comité d’Orientation Pédagogique de l’IFAAC, à l’occasion duquel il doit être examiné. Ces délais très courts ne sont pas de nature à nous rassurer sur le texte qui sortira de cette réunion. Nous demandons qu’un texte amélioré, notamment qui ne comporte plus l’évaluation de l’intégration au groupe, soit présenté au prochain Comité Technique Ministériel. La CFDT-MAE a également pris bonne note de la disponibilité de RH4 et RH1 pour organiser un dialogue régulier sur les questions de formation, qui implique aussi les autres sous-directions et notamment RH2, en raison du lien entre formation et gestion prévisionnelle des compétences, emplois et des carrières.

Projet de passeport formation SCH – IFAAC

Thèmes : Formation, ifaac, SCH

Nantes – Premier contact et mise au clair avec le nouveau sous-directeur de l’Etat-Civil

5 octobre 2015

Participent à cette réunion le délégué aux affaires générales à Nantes (DAGN), le sous-directeur du SCEC et son adjoint, le chef du bureau accueil et courrier (BAC) et son adjoint, la cheffe de la section accueil du BAC, la cheffe du bureau des affaires générales (BAG) et son adjointe, coordinatrice-formation au sein du service.

La CFDT est représentée par Claire Lefebvre, Caroline Holier et Emmanuelle Merlet. Les syndicats FO et CGT sont excusés.
Accélération de la fermeture du guichet (déjà évoquée au printemps dernier).

Le DAGN note que le plan B palliant la fermeture du guichet d’accueil du public n’est pas satisfaisant. L’environnement n’est pas adapté et pose des problèmes de sécurité. Par ailleurs, via les réseaux sociaux, les usagers connaissent les critères d’urgence d’où une légère augmentation de la fréquentation. La suspension définitive de l’accueil du public doit donc être mise en place et l’accès à Breil IV limité : ouverture des portes par badge et mise en place d’un interphone.
Les incidents survenus à l’encontre des agents de la sécurité, même s’ils ne font pas partie du MAEDI, seront signalés au comité spécial d’hygiène sécurité et conditions de travail.
La communication de la fermeture du guichet a déjà été faite auprès de l’ensemble des mairies et préfectures, des notaires, de nos postes à l’étranger et de l’ensemble des CAF de France.

Le problème de l’acheminement du courrier par La Poste est évoqué, qui génère appels, voire déplacement des usagers sur place pour l’obtention d’une copie d’acte. Le BAC en convient. L’ensemble des syndicats souligne la nécessité de demander à La Poste de tenir ses délais d’acheminement, y compris dans les petites agglomérations.
La CFDT interroge l’administration sur les urgences avérées, telles que les décès. Réponse : les usagers doivent contacter le SCEC par téléphone. Le BAC faxe les actes aux mairies afin que les usagers puissent entamer leurs démarches sans avoir à se déplacer.
La CFDT demande que l’on renforce les effectifs habilités à traiter les demandes urgentes qui parviennent par courriel sur les boîtes génériques. Le BAC en convient. Les responsables du SCEC rappellent leur volonté de maintenir les ETP du SCEC mais, dans un contexte de réduction des effectifs de la fonction publique, il leur est impossible d’augmenter les ETP du service.
Le chef du BAC informe que les ETP du guichet d’accueil ont été reportés à la réponse téléphonique (520 appels/jour, 70 mails/jour et 300 fax, principalement mairies et notaires). Le BAC traitait, avec 4 ETP, 60% des appels téléphoniques. Son objectif est à présent, avec 5 ETP, d’en traiter 75 %. Avec la dématérialisation, notamment COMEDEC (Communication Electronique Des données d’Etat Civil) puis les notaires via la plate-forme Planete, le BAC pourrait renforcer la réponse téléphonique dans le but de satisfaire, au niveau du BAC, l’intégralité des appels entrants. A ce jour, les appels non traités par le BAC sont pris « en débordement » par 200 agents du SCEC.

Formation état-civil pour la réponse téléphonique ? Il existe un mémo…

Depuis deux ans, les nouveaux agents qui ont à faire de la réponse téléphonique reçoivent une journée de formation. La CFDT demande que les agents du SCEC qui répondent au téléphone mais n’ont pas suivi cette formation puissent en bénéficier. Accord de principe de l’administration. La CFDT met aussi l’accent sur l’importance d’une formation sur le fond (état civil). Réponse : un mémo est à la disposition des agents…

Nécessaire harmonisation des pratiques au sein du SCEC.

La CFDT souhaite que les procédures soient standardisées, notamment au niveau des formatrices, qui ne sont pas toujours associées aux réunions ni informées des mesures qui y sont prises. Réponse : une réunion de tous les formateurs du SCEC va être mise en place ; le processus d’harmonisation sera mis en place mais la précédente tentative avait échoué !
La CFDT demande également que soient publiées sur le Portail Diplomatie les notes de service modifiant les procédures afin que tous les agents du service puisse y avoir facilement accès. Une nouvelle communauté d’intérêts portant plus spécifiquement sur la fraude à l’état civil devrait être créée sous Diplomatie.

Le droit à la formation est « imprescriptible ».

Le syndicat Solidaires demande si le sous-directeur apportera une réponse au courrier intersyndical qui lui a été adressé. Réponse : l’administration trouve que les syndicats y sont allés « un peu fort » avec leur « tract » et que ce « tract » avait fait l’objet d’une réponse 48h avant sa publication. Le sous-directeur de l’état-civil reconnaît l’importance des formations linguistiques au cœur de notre vocation, en soulignant qu’il doit toutefois relever quelques défis, comme d’assurer une activité suffisante du service et une meilleure répartition de la charge de travail, sachant qu’une centaine d’agents a demandé à suivre une formation linguistique. La CFDT le rassure en rappelant que les cours de langue ne commencent que le 5 octobre, alors que la formation initiale a déjà eu lieu. Le DAGN clôt la réunion en rappelant que le droit à la formation est un droit « imprescriptible ».

Thèmes : Etat-civil, Formation, Nantes, SCEC

Le point sur…Les Recrutés Locaux

3 décembre 2014

Nouvelle publication du syndicat CFDTMAE, « Le Point sur » rassemble dans un même document des données pratiques pour permettre aux collègues concernés d’accéder rapidement à l’information recherchée. Celle-ci est constituée de textes – règlements, instructions, accords-cadres, télégrammes – qui définissent les principaux droits et garanties des agents. Après le numéro du « Point sur » consacré aux 3 000 contractuels du MAE, la CFDT s’intéresse aux … recrutés locaux. Ce travail d’information nous a paru particulièrement nécessaire : non seulement les recrutés locaux constituent la catégorie d’agents la plus nombreuse et quasi-majoritaire au MAE, mais nombre d’entre eux sont éloignés des sources d’information.
Une minorité seulement de recrutés locaux a accès au réseau Éole, à Diplonet et au portail Diplomatie.
Sans compter que certains postes sont toujours réticents à partager l’information, à afficher les règlements intérieurs (quand ils existent) et à rendre publics les grilles et cadres salariaux de leur poste.

Lire le point sur les recrutés locaux dans l’espace adhérent.

Thèmes : Conditions de travail, Dialogue social, DSP, Formation, Licenciement, Protection sociale, Recrutés locaux, Rémunération

Formation professionnelle au MAE : de bonnes intentions mais les moyens suivront-ils ? (7 mars 2014)

25 mars 2014

Sont présents à cette réunion, organisée en visioconférence avec Nantes, la sous-direction de la formation et des concours (RH4) et le bureau du dialogue social (RH1/D). La CFDT-MAE est représentée par Nadine MONCHAU et Anne COLOMB.

 

Le MAE donne la priorité à la diplomatie économique, à la sécurité des postes et à la stratégie genre et développement.

L’administration expose le « document d’orientation à moyen terme de la formation dans la stratégie RH du Département 2014-2017 », qui sera présenté au comité technique ministériel (CTM) des 14 et 15 mai 2014, conformément au décret du 15 octobre 2007 relatif à la formation professionnelle tout au long de la vie des fonctionnaires de l’Etat. Ce document d’orientation – dont l’administration précise qu’il ne concerne pas les personnels des Instituts français – rappelle les priorités interministérielles, notamment la prévention des risques psychosociaux, la sensibilisation des agents à la lutte contre les discriminations, l’accompagnement à la mobilité (notamment vers le SEAE et le reclassement des agents contractuels en fin de contrat) et la mise en place de l’Opérateur National de Paye (NB ce n’est que postérieurement à l’élaboration du document et à la réunion qu’a été connue la décision d’abandonner le projet). Les priorités ministérielles retenues en matière de formation sont la diplomatie économique, la sécurité des postes, et la stratégie genre et développement 2014-2017.

Le document rappelle les contraintes budgétaires alors que le besoin de formation est croissant puisque « les réductions des effectifs ont accentué l’exigence de polyvalence demandée aux agents, dont on attend qu’ils soient « autonomes, opérationnels et capables de déployer un large éventail de compétences ».

Les moyens tant budgétaires que logistiques (peu de salles de formation par rapport aux besoins), ainsi qu’une trop lente diffusion de la culture de formation représentent des contraintes à prendre en compte. Afin d’optimiser les ressources, des marchés publics aménagés (MAPA) ont été prévus. Ainsi, les coûts de transports, particulièrement importants au MAE, sont la cause avancée par l’administration pour expliquer la baisse du nombre de collègues recrutés locaux qui ont pu bénéficier de formations en France.

Les objectifs annoncés, outre ceux qui résultent des orientations interministérielles et des priorités annoncées du Département, sont la réduction des coûts et l’amélioration de la qualité des formations, le renforcement des compétences en anglais, le renforcement des compétences informatiques des agents (agents ressources et secrétaires de chef de poste, agents de la DSI, formation bureautique).

Ainsi, la réduction des coûts et l’amélioration de la qualité passent par le développement du recours à des formateurs internes au ministère, le recours aux offres interministérielles étant réservé aux cas où les besoins du MAE ne sont pas spécifiques : Institut de la gestion publique et du développement public – IGPDE – pour ce qui est notamment des formations budgétaires, Centre de formation du ministère de la défense pour les formations dans le domaine du management et des ressources humaines. Le développement de la formation en ligne est également prévu.

 

L’anglais ne doit plus être une langue étrangère au MAE

A terme, le renforcement des compétences en anglais devrait à terme aboutir au fait « que l’anglais ne soit plus une langue étrangère au MAE. Tous les agents doivent en avoir une maîtrise opérationnelle correspondant aux exigences de leurs fonctions. A terme, les agents de catégorie A devront tous posséder le niveau C1, les agents de catégorie B le niveau B2 et les agents de catégorie C le niveau B1. Ce renforcement ne doit en aucun cas aboutir à un abandon de la diversité de nos enseignements linguistiques qui demeure une spécificité ministérielle et un atout majeur de la diplomatie française. »

Les engagements de chacun sont rappelés (administration, formateurs, stagiaires) et le principe de l’égal accès pour tous à la formation est acté.

 

En réponse à des questions de la CFDT, des précisions sont apportées

La CFDT salue la sincérité du document, la volonté de responsabiliser les acteurs et les bénéficiaires de la formation, ainsi que la place faite dans les orientations gouvernementales, reprises dans le document d’orientation du MAE, à la formation portant sur les problématiques relatives aux risques psychosociaux, ainsi que l’attention portée à la formation de recrutés locaux.

S’agissant de l’aide au reclassement des agents contractuels en fin de contrat, la CFDT demande ce que cela recouvre. Il s’agit essentiellement de formations relatives à l’élaboration et à la présentation de CV, de lettres de motivation et de préparation aux entretiens. Aucun retour sur l’efficacité et l’aide apportée par ces formations n’a pu être faite, faute de retour par les intéressés.

La CFDT appelle par ailleurs l’attention de l’administration sur le fait qu’il convient d’informer en temps utile (i. e. pendant la durée du contrat) les agents de leurs droits en matière de droit individuel à la formation (DIF).

Les marchés publics aménagés portent sur l’informatique, la formation au management, la prise de parole en public, le media training, l’accompagnement du changement, le coaching et la négociation diplomatique, qui comprend des expertises internes ce qui a pour effet d’en diminuer le coût.

La CFDT demande des précisions sur les formations locales, mises en place notamment dans le domaine linguistique : il s’agit de crédits délégués par la DAF. LA CFDT demande si le « e-learning » ne pourrait pas venir en complément de la formation linguistique sur place, qui est présentée comme un remède au moins partiel pour les agents de l’administration centrale qui n’ont pas eu connaissance de leur affectation en temps utile pour s’inscrire à une formation extensive dès le mois d’octobre. Dans cette hypothèse, un temps de « e-learning » sanctuarisé et pris sur le temps de travail pourrait être bienvenu.

Les formations à envisager dans le domaine hygiène, sécurité et condition de travail (HSCT) sont amenées à croître de manière incontournable, notamment en faveur des recrutés locaux (RL) dès lors que la dimension HSCT va être désormais traitée dans le cadre du dialogue social dans les postes. De la même manière, ils sont également confrontés aux problèmes liés au management, à la gestion du temps et sont à ce titre concernés, comme les agents de droit public, par les formations mises en place sur ces sujets. C’est pourquoi, si les RL ne sont à l’évidence pas oubliés dans ce document stratégique, il ne faudrait pas cependant que les actions dont ils bénéficient restent, lorsqu’elles se déroulent en France, cantonnées à la préparation aux concours (réservée aux seuls ressortissants de l’Union européenne), aux stages IFAC et d’attachés de presse.

Lorsque l’administration évoque l’égal accès pour tous à la formation, il lui est demandé de préciser qu’il s’agit des fonctions actuelles ou envisagées.

S’agissant des objectifs relatifs au renforcement des compétences en anglais, l’administration précise que l’apprentissage en cours d’une autre langue que l’anglais ne sera pas interrompu si l’intéressé ne le souhaite pas, au profit du renforcement de la compétence en anglais.

Pour ce qui est de l’apprentissage de l’outil « Diplomatie », un accompagnement, y compris en termes de prévention des RPS, est attendu, en particulier par les personnels exerçant des métiers qui vont être profondément modifiés par ce nouvel outil, à notamment les personnels des CAD, auxquels une reconversion va s’imposer. L’administration indique que pour ces derniers, les formations sont en cours.

Thèmes : Formation

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