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Conférence de presse donnée à Nantes par l’intersyndicale amiante le 29 octobre

3 novembre 2009

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Après la manifestation organisée par l’intersyndicale (INSEE, MAE, Trésor Public) le 27 février dernier, la conférence de presse donnée à Nantes par l’intersyndicale amiante le 29 octobre suscite un vif intérêt parmi les médias nantais, qui retracent l’historique du combat syndical visant à la reconnaissance du Tripode en “site amianté” et les déboires du documentaire, actuellement en cours de tournage, avec Bercy.
—

Article de Ouest -France

Colère des agents amiantés du Tripode à Nantes, confrontés aux blocages de Bercy sur leur dossier. Le ministère a même tenté de freiner leur film sur l’amiante.

Raconter l’histoire d’un combat

Le Tripode de Nantes, ses 18 étages et son amiante qui tombait en fine poussière sur les bureaux des agents de l’Insee, du ministère des Affaires étrangères et du Trésor public. En 1992-1993, enfin, 900 agents l’évacuent, après des années de sensibilisation et de mobilisation. Le 27 février 2005, le Tripode disparaît du paysage. Auparavant, 300 tonnes d’amiante ont été retirées de la carcasse de béton. Depuis, les agents continuent à se battre pour une meilleure détection et prise en charge des pathologies liées à leur exposition à l’amiante. C’est cette histoire que l’intersyndicale (1) veut raconter dans un film, «une histoire humaine, celle d’une prise de conscience». L’administration devait contribuer, à hauteur de 10 000 €, au financement. Un haut fonctionnaire de Bercy a bloqué la participation. Film «à charge», écrit-il. Ce que réfute l’intersyndicale. « C’est un film militant, qui donne la parole à tout le monde, et où apparaissent les avancées de l’administration. » En même temps, les syndicats découvraient des « pressions » sur des acteurs du dossier pour les empêcher de témoigner dans le film.

Le véritable enjeu

Le film sortira tout de même, précisent les syndicats. Une souscription publique est lancée. Au-delà, le refus ministériel traduit un raidissement sur le dossier du Tripode. Les syndicats veulent obtenir le classement de l’immeuble comme site amianté. Avec, à la clé, le suivi médical systématique de tous les amiantés, la possibilité pour les malades de partir en préretraite, et la transparence sur les chiffres de maladies détectées et de mortalité. « En mars, à leur grande surprise, nos fédérations syndicales ont reçu une fin de non-recevoir sèche et dure de la part des conseillers sociaux de Christine Lagarde et Éric Woerth », note l’intersyndicale nantaise.

Nantes, un test national

Reste que, par un heureux concours de circonstances, les fédérations syndicales ont réussi à présenter le dossier nantais aux deux ministres Christine Lagarde et Éric Woerth. Ce fut une explication face à face, sans passer par les filtres et verrous habituels. « Pour la première fois, nous avons eu le sentiment d’être écoutés », disent les syndicats, lesquels croient déceler, depuis, des signes d’ouverture. Ils seront fixés le 18 novembre lors d’une réunion au ministère. Les syndicats espèrent un déblocage du financement du film, et une reprise des discussions sur le dossier du tripode nantais. Si ce n’est pas le cas, la suite s’annonce à la hauteur de l’enjeu. Les fédérations préparent une action nationale, en décembre, et à Nantes. « Ce qui se passe ici est emblématique. Si le dossier amiante ne se règle pas à Nantes, il ne se réglera pas ailleurs, dans les bâtiments qui furent construits ou rénovés dans les années 1970. »

Marc Le Duc

Article de Presse Ocean

Coup de gueule des syndicats. Bercy annule une subvention de 10 000 € pour un tournage. NANTES

“Avec ou sans crédits du ministère, le film se fera », ne démordent pas Francis Judas et Yvon Kerhervé, de la CFDT à l’Insee.

« Depuis plusieurs semaines, une réalisatrice, Catherine de Grissac, travaille au tournage d’un documentaire consacré aux amiantés du Tripode de Nantes. » Le bâtiment a été démoli en février 2005, après deux années de désamiantage. Pendant vingt ans, les agents de l’Insee, du Trésor public, du ministère des Affaires étrangères, ont travaillé dans ses 18 étages. Ils ont tous été exposés à l’amiante. « Les agents d’entretien ont été les plus touchés. Deux électriciens sont décédés. Ils n’avaient pas 45 ans. »

Pour soutenir le budget de près de 70 000 €, nécessaire à la réalisation du documentaire, « le Comité d’hygiène et de sécurité (CHS) de Loire-Atlantique avait voté une ligne de crédits de 10 000 € », détaillent Francis Judas et Yvon Kerhervé. Mais Bercy a vu rouge en lisant le scénario.

Le ministère a interdit au CHS l’achat des droits du film, et gelé le versement des 10 000 €. « Le CHS n’est pas habilité à financer ce type de projet, explique une note interne. Le scénario conduit à penser que le dossier du Tripode ne fera pas l’objet d’une présentation équilibrée et restera un documentaire « à charge » contre l’Administration. » Les syndicats fulminent : « C’est une décision politique ! Le documentaire revient sur une histoire humaine, sociale. Il n’a rien de «militant». Selon eux, le ministère des Affaires étrangères a accordé pour sa part 5 000 €. Sans rechigner. Ils visent deux poids, deux mesures.

«Les agents des Affaires étrangères sont encouragés à mener des dépistages pour l’amiante. Les résultats sont communiqués afin que l’on sache combien d’anomalies sont imputables à l’amiante », explique Patrick Audaire (CFDT). « C’est différent pour les agents du Trésor et de l’Insee. Nous n’avons aucun retour des campagnes de dépistage, regrettent Francis Judas et Yvon Kerhervé. Nous demandons le classement du Tripode en « bâtiment amianté », cela permettra aux agents de bénéficier d’un suivi médical systématique.»

EV

Article de 20 minutes Nantes

Entre 1972 et 1993 plus de 1 800 agents de l’Insee, du Trésor public ou du ministère des Affaires étrangères ont été exposés à l’amiante, dont le Tripode était truffé. Fermé, puis dynamité en 2005, l’énorme bâtiment de l’Ile de Nantes n’a aujourd’hui toujours pas été classé comme site amianté. C’est l’objet du combat que mène depuis trente ans l’intersyndicale des anciens du Tripode. « Cette reconnaissance est indispensable pour pouvoir obtenir un suivi médical [avec scanner] de l’ensemble des agents ainsi que des possibilités de départ en retraite pour ceux qui sont malades. Notre dossier est ignoré par le ministère des Finances. Ça ne peut plus durer », s’agace l’Intersyndicale. Les anciens du Tripode exigent donc des « réponses » avant le 18 novembre, date de tenue d’un groupe de travail sur l’amiante à Bercy. A défaut, ils menacent de réaliser une action d’envergure en décembre et de « bloquer les instances paritaires » où ils sont amenés à siéger. L’intersyndicale dénonce également le refus récent du ministère des Finances de subventionner un film documentaire retraçant l’histoire du Tripode alors que celui-ci s’était engagé à verser 10 000 euros (sur un budget de 70 000 euros).

Frédéric Brenon

Thèmes : Amiante, Communication, Nantes, Tripode

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